Le premier président juif des USA
 
Un volontaire activiste juif,
dans l’armée de l'occupation juive, désigné
chef de cabinet d'Obama

Le député juif sioniste du Congrès us-américain Rahm Emanuel, après avoir servi comme volontaire dans l’armée de l'occupation israélienne, est désigné chef de cabinet d'Obama.

Après la victoire d'Obama du 4 novembre 2008, Israël s'est emparé d'une plus forte représentation à la Maison Blanche que ce qui était envisagé par le lobby juif.

Le député juif sioniste Rahm Emanuel, qui a servi dans l’armée de l'occupation israélienne et parle même l’hébreu, est officiellement désigné comme le prochain chef de cabinet à la Maison Blanche.

Né à Chicago, Emanuel, 49 ans, représente actuellement l’État de l’Illinois à la Chambre des Représentants. Il est aussi un des plus proches conseillers d’Obama qui l’a qualifié aussi bien d’ami que de partenaire politique.

Benjamin, le père juif d’Emmanuel, est un médecin né en Israël. Sa mère, Martha, est une juive sioniste usa-méricaine qui travaille pour Israël à Chicago. Enfant, Emmanuel a reçu une éducation religieuse juive sioniste dans une école conservatrice juive et parle hébreu avec son père.

Quand Bill Clinton entama sa campagne présidentielle, il désigna Rahm Emanuel pour diriger le comité des finances de sa campagne.

Emanuel se porta volontaire dans l’armée d'occupation israélienne quand la guerre du Golfe éclata. Il servit dans une des bases du nord d’Israël jusqu’à la fin de la guerre et, à son retour aux USA, il devint conseiller de Clinton à la Maison Blanche pendant près de huit années.

En 2003, Emanuel fut élu député de l’État de l’Illinois. En 2006, il fut élu président du Comité Démocrate de campagne du Congrès et aida le parti à obtenir la majorité à la Chambre des Représentants.

L'activiste juif sioniste Emanuel à rejoint la campagne d’Obama dès le début, après avoir décliné une offre de Bill Clinton pour s’associer à la campagne de son épouse Hillary en vue de l’investiture démocrate pour la présidentielle.

Amy, l’épouse juive de Rahm, s’est convertie au judaïsme peu de temps avant leur mariage. Ils ont deux enfants, tous deux scolarisés dans une école juive sioniste à Chicago. Obama avait  déjà annoncé pendant la campagne électorale que s’il devenait le prochain président US, il emmènerait Emanuel avec lui à la Maison Blanche, en qualité de chef de cabinet.
 

Obama fait tomber le masque

Et Rahm Emanuel, est donc officiellement devenu secrétaire général de la présidence des Etats Unis, le poste le plus influent de la Maison-Blanche. A 47 ans, il est membre du Congrès, élu de Chicago, donc de l’Etat de l’Illinois dont Obama est le sénateur. Il a activement soutenu la guerre en Irak.

Son style et ses prises de positions guerrières en politique ont valu à Emmanuel le sobriquet de « Rahm-bo ». Décrit par le quotidien Chicago Sun Times comme « mordant, impitoyable, froid, arrogant et manipulateur », Rahm Emmanuel est le fils d’un immigré juif sioniste israélien. Son père était un vétéran de l’organisation terroriste juive Irgoun, la milice extrémiste israélienne e criminelle du terroriste juif Vladimir Jabotinsky avant l’occupation juive de la Palestine. Rahm a toujours été un féroce supporter d’Israël et de l'occupation juive de la Palestine et porte une haine extrême envers les Palestiniens dans son cœur, au point qu'en 1991, il est même retourné en Israël pour servir comme volontaire au sein de l'armée israélienne Tsahal.

Il a gagné tous ses galons en politique électorale en devenant un spécialiste des campagnes négatives de diffamation et de désinformation mensongère. N’hésitant pas, par exemple, dans les années 80, à faire battre un républicain modéré du Congrès favorable à un Etat palestinien en faisant circuler une photo truquée de lui le montrant en compagnie de Yasser Arafat!

 

Une table massacrée à coups de couteau

Rahm Emanuel avait donc travaillé dans le staff de la première campagne présidentielle de Bill Clinton en 1992 et, par la suite, est devenu son principal conseiller en politique intérieure, jusqu’en 1998.

Comme l’a rapporté le magazine Rolling Stone, en 1996: lors d’un dîner célébrant la seconde élection de Clinton, Emanuel Rahm avait une telle dent contre les ennemis de son otage  président qu’il s’est emparé d’un couteau et a commencé à hurler les noms de ceux qui l’avait trahi. Avec chaque nom, il plantait son couteau dans la table en criant « Mort !…Mort !…MORT ! » Selon l’un des convives ayant assisté à cette scène d’horreur, « quand il a fini, la table ressemblait à un paysage lunaire. C’était comme dans une scène du film “Le Parrain !” »

Chef des campagnes démocrates pour la Chambre de représentants depuis 2005,  Rahm s’est spécialisé dans le recrutement de candidats millionnaires juifs, écartant de manière musclée les candidats qu’il considère « non-favorables à Israël ». Rahm a une soif inextinguible d'exercer le pouvoir de domination juive au service d'Israël.


Un autre principal "conseiller" juif

Un faucon juif - Dennis Ross - anti-Islam, anti-Iran, pourrait bien hériter du poste de secrétaire d’Etat dans la future administration Obama.

Dennis Ross, le principal conseiller de Barack Obama sur l’Iran mais aussi possible successeur de Condeleeza Rice au poste de Secrétaire d’Etat, avait signé un manifeste sur l’Iran qui prône une ligne guerrière dure. Tellement guerrier et dure que, si elle est appliquée, elle provoquera l’entrée en guerre de l’Amérique contre l'Iran.

A l’origine, le juif Ross, 59 ans, est un expert de feu l’URSS, rompu et formé à la Guerre Froide. Il a servi au Conseil de sécurité nationale de Ronald Reagan et notamment dans le staff du néo-conservateur Paul Wolfowitz, pour ensuite devenir le Directeur du planning du Département d’Etat sous James Baker, secrétaire d’Etat dans l’administration de Bush père. Il a également été l’émissaire spécial pour le Moyen-Orient de Bill Clinton.

Mais lorsqu’il menait les "négociations" israélo-palestiniennes, selon les dires de Dan Kurtzner, un juif orthodoxe - cité par Time magazine - qui participait à ces pourparlers aux cotés de Ross et qui est de surcroît un ancien ambassadeur en Israël soutenant Obama, les préjugés pro-israéliens de Ross étaient tellement visibles qu’il n’était pas perçu comme «  un médiateur honnête ». Le conseiller d'Obama est en outre le co-fondateur du Washington Institute for Near East Policy, un think-tank juif établi par l'organisation juive AIPAC, qui prône une ligne pro-israélienne dure et où Ross officie aujourd’hui comme un « Fellow distingué ».

Lorsque Obama a dévoilé qu’il l’accompagnait comme conseiller principal lors de son voyage en Israël en juillet dernier, Time a intitulé son article sur cet énergumène de la sorte : « Le choix conservateur d’Obama pour le Moyen-Orient » et a relevé que, compte tenu de son passé, il était «  surprenant de le voir devenir un membre officiel de l’équipe d’Obama ». Et pour cause ! Ross a été l'auteur du discours très guerrier d’Obama à la convention de l’AIPAC (American Israël Public Affairs Committee, le lobby juif pro-israélien qui est le véritable pouvoir qui gouverne les Etats-Unis) en juin 2008.

Un sommaire passé inaperçu dans le Washington Post

Intitulé « Meeting the Challenge : U.S. Policy Toward Iranian Nuclear Development » ., le manifeste anti-islamique et anti-Iran a été préparé par un groupe de travail de onze juifs dont Ross. Ses 87 pages ont soulevé tant d’inquiétude et d’indignation chez les intellectuels démocrates progressistes et experts en politique étrangère redoutant une frappe contre l’Iran qu’ils préparent pour après l’élection une lettre ouverte de protestation à l’attention d’Obama.

Deux sionistes ex-sénateurs ont présidé à la rédaction de ce texte : Dan Coats de l’Etat d’Indiana (un sioniste pur et dur) et le juif Chuck Robb de Virginie. Ce dernier est un ancien gendre du Président Lyndon Johnson, ancien officier du Marine Corps qui a servi au Vietnam et co-fondateur du "Democratic Leadership Council", l’association de démocrates juifs, très faucons en tot ce qui touche aux juifs et à Israël. Robb a également été nommé membre du "President’s Foreign Intelligence Board" par George W. Bush en 2005. Coats et Robb ont publié un sommaire vaguement maquillé du manifeste dans un article qu’ils ont co-signé dans le Washington Post du 23 octobre. Un article passé inaperçu…

Le groupe juif de travail qui a préparé le manifeste compte parmi ses autres membres une belle brochette de juifs extrémistes et d’ancien militaires sionistes de haut rang. Les principaux auteurs en sont le juif Michael Makovsky qui a travaillé au Pentagone de Donald Rumsfeld, sous Doug Feith, sous-secrétaire à la Défense, où Makovsky faisait partie de l’équipe qui a fabriqué de toutes pièces les faux renseignements sur les armes de destruction massive ayant servi à justifier l’invasion de l’Irak au service d'Israël. Autre co-auteur: le juif Michael Rubin, aujourd’hui membre du staff de l’American Enterprise Institute, un think tank bastion des juifs sionistes qui a, lui aussi, travaillé dans le cabinet de Rumsfeld.
 

Et que dit exactement ce manifeste ?

Qu’aucun accord permettant à la République islamique d’Iran d’enrichir de l’uranium sur son propre territoire de quelle que manière que ce soit (y compris sous le contrôle strict d’inspecteurs internationaux) n’est possible. Mais aussi que l’abandon total par Téhéran de l’enrichissement d’uranium est un préalable à toute négociation.
 

Pouvoir attaquer l’Iran depuis « plusieurs endroits »

Toujours selon ce texte, pour montrer à l’Iran qu’il ne laissera rien passer, le nouveau président doit en outre fortement accroître la présence militaire américaine dans la région dès «  le premier jour où il accède à la Maison-Blanche ». Plus précisément, il devra « mettre en place dans la région des forces militaires américaines et alliées plus importantes, déployer des groupes de porte-avions et des navires démineurs, implanter dans la région des stocks de matériel de guerre (y compris des missiles), augmenter localement le nombre de bases militaires, conclure des partenariats stratégiques avec des pays comme l’Azerbaïdjan et la Géorgie pour pouvoir être opérationnel contre l’Iran de plusieurs endroits ».

Le manifeste juif va même encore plus loin dans l’hostilité à l’encontre de Téhéran et ajoute que « la présence des forces U.S. en Irak et en Afghanistan offre de nombreux avantages en cas de confrontation avec l’Iran car l’Amérique peut y implanter plus de forces armées et de matériel sous couvert des conflits en Irak et Afghanistan ; et ainsi maintenir un effet de surprise [sic !] stratégique et tactique ».

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En clair, si Téhéran n’est pas prêt à abandonner tout enrichissement d’uranium sur son propre territoire (ce que l’Iran n’acceptera jamais comme préalable à une négociation), la guerre au profit d'Israël devient inévitable. Et toutes les étapes intermédiaires, y compris des négociations directes si le nouveau président américain choisit d’en mener, ne seront en réalité que du bla bla et prétexte à relations publiques pour se faire soutenir par la communauté internationale en vue d’une attaque - télécommandée par Israël - contre le République islamique d'Iran.

Le fait que ce conseiller juif sioniste - Dennis Ross - très écouté par Obama ait signé et aidé à rédiger ce manifeste de faucons juifs anti-Iran n’a pas encore été relevé par la presse américaine. Mais qu’un tel type ait l’oreille d'Obama et semble destiné à un poste important aux Affaires étrangères au sein de la future administration américaine fait tout simplement froid dans le dos.

 

Obama: Ni noir ni blanc, mais juif !

Le nouveau président des Etats-Unis n'est donc ni noir ni blanc : il est tout simplement juif sioniste!!

Un nombres de journalistes arabes idiots et stupides se sont pris de joie, car un candidat noir, ou demi noir, a été élu président des Etats Unis. Tout le reste passe au second plan de leurs commentaires.

Ce qu'ils ignorent, c'est qu' avant d'être élu par le vote des citoyens américains, Barak Obama avait d'abord été élu, par les juifs sionistes, par leur lobby et par  leurs  banques et leur complexe industrialo-militaire qui contrôlent, sans partage, la supère puissance américaine.

Juif pratiquant fanatique, il a tenu à obtenir, lors de l'examen du plan Paulson, une dispense de son rabbin pour pouvoir travailler en pleines fêtes du nouvel an juif de [Rosh Hashana].

Sa nomination a suscité l'enthousiasme de journaux israéliens. Maariv le présente comme «notre homme à la Maison Blanche». «Il va influer sur le président pour qu'il soit pro-israélien. Peut-il laisser sa conscience hors de la Maison-Blanche?», a affirmé Binyamin Emanuel au quotidien.

En récoltant plus de 600 millions de dollars auprès, surtout, des puissances financières juives pour sa campagne électorale, le nouveau président a battu tous les records. Ce seul fait nous rappelle que l'élection américaine est d'abord et avant tout une question d'argent, une question financière!

Le pauvre vote "populaire" ne faisant que choisir, ensuite, entre les deux seules alternatives juives qui lui sont offertes par le système sioniste, c'est-à-dire entre le choix "républicain" juif ou le choix "démocrate" juif. Et c'est, pour le peuple américain, à choisir entre la peste et le collera! Entre Sharon et Rabin!

L'élection d'Obama ne changera rien à la nature profonde de la politique américaine juive dans le monde. Que la guerre d'Irak se termine - après y avoir détruit le pays et son unité - et que celle d'Afghanistan augmente d'intensité, traduira seulement un déplacement tactiques des intérêts juifs et israéliens.

En Europe de l'Est, la même politique agressive - au service d'Israël - à l'égard de la Russie continuera de se développer.

La mafia financière internationale juive continuera de vivre aux frais du reste du monde, notamment en lui faisant payer au maximum les fruits empoisonnés de la crise financière provoquée pour mieux financer Israël est ses guerres d'occupation.

Le nouveau président des Etats-Unis, comme ses prédécesseurs, sera un outil docile au service du lobby financier juif, après avoir été un outil de propagande électorale au service de son idéologie.

La victoire d'Obama n'est pas une victoire des noirs. Elle sera peut-être ainsi perçue du fait de la propagande juive pour mieux détruire les identités et contrôler les Etats.

La victoire d'Obama est une victoire pour les juifs qui veulent instaurer un gouvernement juif planétaire au service des puissances financières juives.

Pour tous les autres, c'est-à-dire pour l'immense majorité des hommes et des femmes des peuples du monde entier, qu'ils se pensent de « gauche » ou de « droite », « progressiste » ou « conservateur », cette élection est très mauvaise.

Car la victoire d'Obama, c'est celle du lobby juif contre la démocratie, contre la diversité, contre les identités, contre le pouvoir aux peuples et aux nations. C'est la victoire du pouvoir  global juif contre toutes les nations!

L'illusion de la "démocratie américaine" aura servi, une fois encore, à masquer l'essentiel du débat, c'est-à-dire le fait qu'il n'y en avait pas de vrais débat sur les vrais problèmes.

 

Premier président juif Israélien des USA

L'ancien premier ministre français, Dominique de Villepin, a été un des rares hommes politiques français à rester lucide et à nous mettre en garde en déclarant au Journal du Dimanche «Obama est aussi choisi par des lobbies financiers: la moitié du financement d'Obama vient des grands groupes, de dollars venus de Goldman Sachs... ».

Les USA se sont donné le président choisi par les lobby juif. Tout le reste n’est que poudre aux yeux et manipulation médiatique.

Comment peut-on imaginer un seul instant que la présidence de Barack Obama va changer quelque chose au niveau de la politique sociale et économique des USA ou au au niveau la politique internationale des USA quand on sait qui l'a d'abord élu !?

Les lobby juif de la finance, de l’assurance et de l’immobilier (dont Warren Buffet, l’homme le plus riche du monde, ami de Bill Gates, et pressenti pour être le secrétaire au trésor, l’équivalent de notre ministre des finances) ont fait d'énormes généreux dons pour sa campagne électorale…

Si 77 % des électeurs de la communauté juive américaine (dont on connaît l’orientation ultra-sioniste) ont choisi Obama, ce n’est pas par hasard ou pour ses beaux, mais bien parce qu’il avait donné des gages à Israël et a offert sa totale allégeance à la mafia juive… Et le choix, après seulement 48 h qui ont suivi son élection, de l'extrémiste juif Rahm Emanuel comme directeur de cabinet de la Maison-Blanche – un des postes les plus élevés dans la hiérarchie du système politique américain, considéré par beaucoup comme plus important que celui du Vice-Président élu – est plus que signifiant. Le véritable numéro 1 de l’exécutif américain, exerçant une large influence sur la politique présidentielle, est ainsi un homme familialement issu du sionisme le plus extrémiste qui a choisi volontairement de servir comme auxiliaire dans l'armée israélienne Tsahal. Le quotidien Haaretz considère  Rahm Emanuel comme « israélien ».


Source :
Obama's Israeli adviser: Next White House chief of staff? , Traduit par Djazaïri, rédacteur du blog Mounadil al Djazaïri et ami de Tlaxcala, le réseau de traducteurs pour la diversité linguistique. Cette traduction est libre de reproduction, à condition d'en respecter l’intégrité et d’en mentionner l’auteur, le traducteur et la source. URL de cet article sur Tlaxcala : http://www.tlaxcala .es/pp.asp? reference= 6242&lg=fr
 


La domination juive aux Etats Unis
L'organisation juive "National Jewish Population Survey" (NJPS) a récemment rendu publique une étude dont les résultats sont clairs: les juifs (qui s'arrogent 99% du pouvoir politique aux Etats-Unis, parce qu'ils sont juifs) ne représentent en fait que 2% de la population américaine. Il y a 5,2 millions de juifs aux Etats-Unis, nombre à comparer aux 52 millions de citoyens américains d'origines allemande - qui n'ont aucun pouvoir politique dans leur pays parce qu'ils sont Allemands !!


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