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LE CULOT
de la propagande juive
veut s'imposer en "religion" mondiale!
 

Jugez-en, en lisant ceci, publié par l'un des hébdomadaires juifs de France:
http://www.lexpress.fr/actualites/2/a-l-onu-netanyahu-vilipende-les-negationnistes-de-la-shoah_790086.html

"A l'Onu, Netanyahu vilipende les "négationnistes" de la Shoah
Par Reuters, 24/09/2009

Benjamin Netanyahu a vilipendé les négationnistes de la Shoah en brandissant à la tribune de l'assemblée générale des Nations unies des documents nazis sur la planification de l'Holocauste des juifs pendant la Seconde Guerre mondiale. La veille, à cette même tribune, le président iranien Mahmoud Ahmadinejad avait nié l'existence de la Shoah. (Reuters/Ray Stubblebine)

Faisant allusion au président iranien Mahmoud Ahmadinejad qui, la veille, avait nié l'existence de la Shoah, le Premier ministre israélien a déclaré: "Hier, l'homme qui a qualifié l'Holocauste de mensonge s'est exprimé à cette même tribune.

"A ceux qui ont refuse de venir l'entendre et à ceux qui ont quitté la salle en signe de protestation, j'adresse mes félicitations. A ceux qui étaient ici pour l'écouter, je dis au nom de mon peuple, le peuple juif, et au nom de tous les gens de bonne volonté de la planète: n'avez-vous pas honte ? n'avez-vous aucune décence ?"

L'orateur tenait à la main deux documents : un exemplaire des minutes de la conférence de Wannsee de janvier 1942 au cours de laquelle l'état-major nazi planifia la "solution finale" qui conduisit six millions de juifs à la mort, ainsi qu'une copie des plans des camps de concentration et d'extermination d'Auschwitz-Birkenau.

"Ces documents sont signés de la main du bras droit d'Hitler, Henrich Himmler. Ces plans d'Auschwitz-Birkenau où un million de juifs furent assassinés (...), sont-ils aussi un mensonge ?", a interrogé l'orateur.

"Et que dire des rescapés dont les bras portent toujours les numéros de tatouage que leur ont imposés les nazis ? Est-ce que ce sont aussi des mensonges ?"

Le chef du gouvernement israélien a qualifié le discours du chef de l'Etat iranien d'"attaque systématique contre la vérité" et l'a accusé de "vomir (...) des propos antisémites".

Benjamin Netanyahu a ajouté: "Peut-être certains d'entre vous pensent-ils que cet homme et son régime douteux ne sont une menace que pour les juifs. Eh bien, si tel est votre point de vue, vous faîtes totalement fausse route. L'Histoire a montré à l'envi que ce qui commence par des attaques contre des juifs"  [inachevé sur le site juif, à l'heure où nous diffusons].


- Wannsee pour preuve d'une extermination? Même Yehuda Bauer, conseiller académique de l'Institut international de recherches sur l'Holocauste de Yad Vashem à Jérusalem, a catégoriquement rejeté cette preuve; dans le "Canadian Jewish News" du 30 janvier 1992 il écrivait: "Le public répète encore, jour après jour, l'histoire inepte [the silly story] qui veut que ce soit à Wannsee que l'extermination des juifs ait été décidée" (voy. "Revue d'histoire révisionniste" n° 6, mai 1992, p. 157-158).

- Les plans d'Auschwitz-Birkenau une preuve? Voir l'article de Haaretz où il est dit que les plans en question ne prouvent pas qu'il s'agissait d'un camp d'extermination.

- Les tatouages, une preuve de l'extermination? Inutile de répondre. Devant les progrès du révisionnisme, Netanyahu est-il en train de tenter sa dernière chance?

Netanyahu n'a pas vraiment réussi sa prestation antirévisionniste à l'ONU.

Il a d'abord fait un cadeau magistral aux révisionnistes: puisque les 2 seules "preuves" supposées de l'extermination sont "Wannsee" et "les plans d'Auschwitz", les révisionnistes n'ont plus qu'à diffuser leurs arguments et leurs vrais preuves bien documentées relatives à ces deux questions !

Ensuite le premier ministre israélien a été vivement critiqué par le plus grand quotidien juif d'Israël: en effet, le 25 septembre 2009, le quotidien israélien "Haaretz" publiait l'article suivant de Gideon Levy, membre de la direction du quotidien, dont la traduction en français est publiée sur le site Info-Palestine.

Dans son discours
Netanyahu a avili l’Holocauste

26 septembre 2009
Gideon Levy
Ha’aretz

Si le président iranien Mahmoud Ahmadinejad nie l’Holocauste, Netanyahu lui l’a galvaudé. Ou, comme le monde pourrait alors le penser, est-ce un droit de le nier ?

Et il est douteux qu’un quelconque historien de renom ne fasse sienne la comparaison du Premier ministre entre le Hamas et les nazis, ou entre le Blitz sur Londres et les roquettes Qassam sur Sderot. Dans le Blitz, 400 bombardiers et 600 avions ont tué 43 000 personnes et détruit plus d’un million de maisons. Les Qassam du Hamas, peut-être l’arme la plus primitive au monde, ont tué 18 personnes en 8 ans. Oui, elles ont semé une grande terreur... mais un Blitz ?

Et si nous pouvons comparer une organisation de résistance pauvrement équipée à la terrible machine de guerre nazie, pourquoi les autres ne compareraient-ils pas le comportement nazi à celui des soldats des Forces de défense israéliennes ?

Netanyahu a commencé son intervention comme s’il était président du mémorial de propagande juive de l’Holocauste Yad Vashem : Holocauste, Holocauste, Holocauste ; sa famille et la famille de son épouse. Puis il a parlé avec les mots de Shimon Peres, proposant un « avenir prometteur » à l’humanité.

Pas moins démagogique fut son attaque contre le régime iranien. Ils tirent sur les manifestants là-bas, a-t-il protesté avec véhémence. Comme si ce n’était pas ce qu’il faisait dans nos Bil’in et Na’alin occupés par les juifs.

Puis vint le meilleur : le massacre juif à Gaza de l'opération Plomb durci avait été une attaque ponctuelle. Israël avait téléphoné à des milliers de personnes pour leur dire de partir de leurs maisons. Partir où, Monsieur le Premier ministre ? En mer ? Et il soutient que les FDI, qui ont tué près de 1 400 Palestiniens pour la plupart des civils, avaient fait preuve de modération comme jamais auparavant.

Poursuivons : nous avons fait la paix avec tous les dirigeants arabes qui le voulaient, proclame le Premier ministre. Quid alors du Président syrien Bashar Assad qui trouve porte close depuis des années alors qu’il affirme vouloir la paix ? Personne ne lui a ouvert la porte.

Parler de sécurité et des victimes pourraient encore trouver des adeptes parmi les femmes de l’organisation WIZO (organisation internationales des femmes sionistes) en Amérique, mais c’est tout. Pour une puissance régionale qui détient presque tous les armements du monde dans son arsenal et se bat contre des peires organisations de résistance très males armées et sans défense, il lui est difficile d’être prise au sérieux quand elle parle de sécurité, spécialement quand cette sécurité ne concerne que les juifs.

Puis vinrent notre droit antique à la terre et les versets inévitables de la Bible, en anglais et dans l’hébreu originel, qui terminent toujours la performance dans de telles occasions - sauf que Netanyahu, contrairement à ses prédécesseurs, n’a pas enlevé sa kippa à ce moment crucial.

Il voulait que cet instant puisse émouvoir ses auditeurs; moi il m’a laissé, pour le moins, indifférent devant un Premier ministre propagandiste. L’Alléluia n’a été entendu hier qu’au soir, au stade Ramat Gan, au concert de Leonard Cohen.

Original de l'article sur Haaretz:
http://www.haaretz.com/hasen/spages/1116933.html


Avec son occupation intellectuelle, idéologique, culturelle et financiére d'un pays,
 - s´il ne rencontre pas de résistance - le judaïsme peut dissoudre et totalement
dominer n'importe quelle nation en moins de trois générations !

De mieux en mieux!
 Le ministère "français" même de la
  défense occupé par le pouvoir juif ! 
Lu le, 24 septembre 2009, sur le site même du ministère de la défense (en France!!):
Cadres de la défense: une nouvelle formation au mémorial de la Shoah

Pour la première fois un module sur le "rôle de la fonction publique dans le processus d'exclusion et la genèse des génocides" a été créé pour la formation des cadres de l'administration nouvellement affectés au ministère de la Défense.

Conçu à l¹initiative de la Direction de la mémoire, du patrimoine et des archives (DMPA) et mis en place par la direction des ressources humaines du ministère de la Défense, ce nouveau module permettra aux attachés d'administration de réfléchir sur l'attitude des agents publics dans cette période difficile ainsi que sur les limites du devoir d'obéissance et du service de l'Etat dans un régime non démocratique.

Résultat d'une collaboration entre le ministère de la Défense et le mémorial juif de la Shoah juive à Paris, cette formation comprend:

- la diffusion d'un documentaire juif illustrant le travail des fonctionnaires pendant la Seconde Guerre mondiale;

- une conférence du juif Marc-Olivier Baruch sur "Servir l'Etat sous Vichy";

- une visite du mémorial juif de la Shoah.

La première présentation aura lieu le vendredi 25 septembre 2009 à 13h30 au mémorial juif de la Shoah (Paris).


Le professeur Faurisson à son arrivée à l'aéroport judaïsé de Stckholm;
au contrôle douanier, on n'a pas contrôlé sa valise, mais son cerveau !!


Nos gendarmes face à la Shoah
par: Le professeur Robert FAURISSON,
septembre 2009

Cette année, dès l’âge de neuf ou dix ans, les enfants de France suivront, dans leur dernière année d’école primaire, des cours obligatoires de catéchisme ; il leur faudra apprendre et réciter les articles de notre nouvelle religion, celle de la Shoah. Mais nos gendarmes ne seraient-ils pas déjà logés à la même enseigne que nos enfants ? L’on est en droit de se poser la question quand on s’avise de consulter le « Site officiel Gendarmerie nationale ». On y constate, par exemple, qu’en 2008, au « concours Officier de Gendarmerie », les candidats avaient eu à traiter les deux sujets suivants :

Culture générale : La repentance est-elle justifiée ?

Histoire :  Le régime de Vichy.

On le sait, au somptueux dîner annuel du CRIF (Conseil représentatif des institutions juives de France), il arrive que figure parmi les invités le plus haut représentant de la gendarmerie française. Ce dernier peut alors, en bon gendarme qu’il est, procéder au constat suivant : dans son discours d’accueil, le président en exercice du CRIF ne manque pas de tancer tous ses prestigieux invités, c’est-à-dire l’élite de nos institutions gouvernementales, politiques, religieuses, diplomatiques, scolaires et universitaires. A la fin de la semonce du président, les invités, dans leur ensemble, accablent de compliments le donneur de leçons qui les a grondés et qui les a avertis qu’il les mettait sous surveillance pour l’année à venir.

Lorsque, en 2010, les pays de l’Union européenne auront adopté une loi Fabius-Gayssot aggravée (1) et peut-être même étendue (2), je suggèrerai qu’au même concours de recrutement les candidats se voient proposer les sujets suivants :

Culture générale : Donnez-vous raison au philosophe Alain Finkielkraut qui a déclaré : « Ah, qu’il est doux d’être juif en cette fin de XXe siècle ! Nous ne sommes plus les accusés de l’Histoire, nous en sommes les chouchous » (Le Monde, 7 octobre 1998) ? 

Histoire : Donnez-vous raison au philosophe Alain Finkielkraut qui a déclaré qu’aux yeux de certains les juifs peuvent apparaître comme « les chouchous de la mémoire » (Le Monde, 9 mars 2008) ? »

 « La peur du gendarme » : l’expression désigne généralement la peur qu’inspire le gendarme. Désormais va-t-elle aussi marquer la peur qu’éprouve le (futur) gendarme à l’idée que les correcteurs de ses copies ne le trouveront peut-être pas suffisamment docile aux leçons de ses maîtres ? J’ai connaissance du nom d’un candidat qui, en 2008, pour parer à tout danger, a surenchéri dans ses copies ; selon son propre aveu, il s’est « préoccupé de n’écrire que ce qu’on cherchait à [lui] faire dire ». Il a réussi son examen. Il va être officier de gendarmerie. Personnellement, je n’ai jamais eu maille à partir avec les gendarmes. Soit lors d’enquêtes de gendarmerie ordonnées sur mon compte, soit lorsque, à l’occasion de mes procès, il a fallu que je m’explique devant un tribunal en la présence de gendarmes ou de gardes du palais de justice, j’ai, au contraire, noté l’intérêt, pour ne pas dire la sympathie, avec laquelle ces derniers écoutaient le récit de mes enquêtes révisionnistes. « Ce gars-là, il est des nôtres ! », ai-je même un jour entendu un gendarme souffler à un collègue à la sortie d’une audience de la XIe chambre de la cour d’appel de Paris. Il faut dire que je venais d’expliquer à la présidente de la cour que, dans mes enquêtes, j’avais à plusieurs reprises consulté le laboratoire central de la préfecture de police de Paris, rue de Dantzig, et qu’en France comme à l’étranger j’avais conduit certaines de mes recherches soit dans le style de la police technique, c’est-à-dire sur la scène du crime supposé, soit selon les méthodes de la police scientifique, c’est-à-dire en recourant aux services de laboratoires. 

A partir des années 1995-1996, nos historiens officiels ont commencé à sentir qu’il y avait « de l’eau dans le gaz » d’Auschwitz. Auparavant ils avaient cru trouver un sauveur en la personne du pharmacien Jean-Claude Pressac, l’acolyte du couple Klarsfeld, mais, pour reprendre ses propres termes, Pressac avait fini par jeter aux « poubelles de l’histoire » (sic) le dossier, qu’il jugeait finalement « pourri » (resic), de l’histoire officielle de la déportation. Environ dix ans plus tard, un autre apparent sauveur, le Père Patrick Desbois, était porté au pinacle ; mais, là encore, il semble qu’il va falloir déchanter. En tout cas le sauveur commence depuis quelques mois à être sérieusement chahuté par certains de ses pairs. Il faut dire qu’avec sa Shoah de substitution, qu’il baptise « Shoah par balles » ou « Shoah par étouffement sous édredons ou coussins », le bon père apparaît surtout comme un sacré farceur. Ajoutons que, de nos jours, bien des juifs se mettent à craindre que l’obsédant tam-tam holocaustique ne provoque la fatigue générale (aux Etats-Unis on parle déjà couramment de « Shoa fatigue »). Ces juifs-là sentent que leur religion de la Shoah est en péril. Pour venir à son secours, ils n’ont d’autre ressource que d’en imposer l’enseignement et de faire peur à tout le monde. Ils comptent d’abord sur la peur ordinaire que tout honnête homme va éprouver devant la loi, les juges, les policiers, les gendarmes ou les chiens courants de nos médias ; mais ils tablent aussi sur une autre forme de peur, une peur sacrée, obscure, ambiante, qui incite chacun à pratiquer dans son for intérieur la plus radicale des censures : l’autocensure ; celle-là monte la garde de jour comme de nuit et ne laisse rien passer. 

Il n’empêche : à la place des juifs dans leur ensemble, on ne serait pas fier d’inspirer tant de peur à tant de braves gens. Un jour ou l’autre, les « caves » risquent de « se rebiffer ». L’histoire est sujette à de brusques retournements. Céline nous le dit en son français de France, « les couillons n’ont pas fini d’être ahuris par les galipettes de l’histoire. »

Robert FAURISSON
 


(1) La loi Fabius-Gayssot (13 juillet 1990) interdit de contester les « crimes contre l’humanité » tels que définis et punis notamment par le Tribunal militaire international de Nuremberg (1945-1946) ; il va de soi que « l’humanité » se réduit ici, dans la pratique, essentiellement aux seuls juifs et cela à l’exclusion formelle, par exemple, des civils allemands systématiquement phosphorisés ou des civils japonais systématiquement atomisés.

Dans les années qui ont suivi la promulgation de cette loi, compte tenu de la ferveur des juges à châtier toute forme possible de cette contestation, les condamnations prononcées par ces derniers ont fini par faire jurisprudence au point qu’il est devenu interdit non seulement de contester mais de paraître contester. Ainsi peut-on lire dans le Code pénal, 103e édition, 2006, p. 2059 B, que la contestation est devenue punissable « même si elle est présentée sous une forme déguisée ou dubitative ou par voie d’insinuation » ; en outre, « la minoration outrancière du nombre des victimes » est également devenue punissable. Si, pour répondre à un journaliste qui vous demande votre opinion sur l’existence de ce qu’on appelle « les chambres à gaz nazies », vous vous hasardez à répondre : « Personnellement, je n’ai pas d’opinion sur le sujet mais je souhaite que les historiens puissent librement traiter de ce point », vous encourrez les foudres de la justice française.

(2) Il est question que le délit de contestation s’étende également à la contestation des « crimes contre l’humanité » commis contre les Arméniens et contre les Noirs. En tout état de cause seraient exclus les crimes commis contre les Vendéens ou, à travers les siècles, contre les prolétaires de nos usines ou de nos champs ou encore contre la chair à canon de nos boucheries à répétition ou contre les victimes de l’Epuration ou contre les minorités allemandes déportées en masse (avec, à la clé, vols, viols et meurtres en série)


Dompter la jeunesse européenne à passer les "examens" juifs de l'holocauinquisition!




Ceux qui qui ne réussissent pas, aux examens juifs, sont arrêtés par la police
de la pensé, condamnés à de lourdes peines selon des "lois" médiévales  juives !!


 

 Les écoles "britanniques"
 occupées par le pouvoir juif

 Voici ce qu'on pouvait lire le 16 septembre 2009 sur le site du quotidien britannique "The Guardian":

"[Titre:]
Les élèves passent trop peu
de temps à étudier l'Holocauste

[Chapeau:]
D'après un sondage, certaines écoles étudient la question à fond, d'autres ne font que l'effleurer

Certains élèves consacrent seulement une heure de leur vie d'écolier à étudier l'Holocauste juif: tel est le résultat d'une enquête qui conclut qu'il existe de trop grandes variations d'une école à l'autre sur la façon d'enseigner les événements de la deuxième guerre mondiale (relatifs aux juifs).

Le sondage, réalisé auprès de 2.100 enseignants et financé en partie par le Department for Children, Schools and Families (Département des Enfants, Ecoles et Familles), révèle que, bien que l'étude de l'Holocauste juif soit une partie obligatoire du programme, certaines écoles ne font qu'effleurer le sujet alors que d'autres y consacrent 20 cours.

(...)

C'était peut-être l'événement le plus important de l'histoire du XXe siècle.

Il a modelé le monde et son influence perdure. Un enfant se doit de l'apprendre car c'est une partie primordiale de sa culture. Nous voulons que les écoles s'arrangent dans leurs programmes pour mieux enseigner cette question."

(...)"


Le juif Sarko: c'est moi l'État juif !


Culture occupée par la propagande juive !!

Le Pr Faurisson n'avait-il pas raison quand il disait que l'Holocauste n'était plus maintenu en vie que par "des récits, des romans, des nouvelles, des films, du théâtre, des spectacles en tout genre"? (article du 5/02/08 "Robert Faurisson répond à six questions de la journaliste italienne Giovanna Canzano"). Le CRIF (Conseil représentatif des institutions juives de France), sur son site, le 21 septembre 2009, nous annonce encore un nouveau film:
http://www.crif.org/?page=articles_display/detail&aid=16470&returnto=accueil/main&artyd=84
Un nouveau film sur la Shoah en tournage dans le Loiret

Samedi 19 septembre 2009, la petite gare de Saint-Jean-de-Braye, dans le
Loiret a replongé en juillet 1942, époque sombre de notre histoire, durant
laquelle des milliers de familles juives ont été raflées par les nazis.
Décor planté pour Gilles Paquet-Brenner, rapporte le journal "La République
du Centre", sur son site Internet, lundi 21 septembre 2009.
 
Le réalisateur tourne "Elle s'appelait Sarah", un long métrage adapté du
roman éponyme de Tatiana de Rosnay, dans ce cadre historique, avec Niels
Arestrup et Kristin Scott-Thomas dans les rôles principaux. La sortie du
film, dont le tournage doit s'arrêter en décembre, après une semaine de
prises à New York, est prévue pour le second semestre 2010.


Le pouvoir juif  appelle à l'interdiction
paneuropéenne du révisionnism !


Sur son site, le 7 septembre 2009, le CRIF (Conseil représentatif des
institutions juives de France) annonce la conférence suivante:

http://www.crif.org/?page=articles_display/detail&aid=16235&returnto=accueil/main&artyd=1

Une conférence sur le négationnisme
 au Parlement européen
07/09/2009

La Fédération Euro-Arménienne, le Centre Communautaire Laïc Juif et IBUKA-France co-organisent une conférence sur le négationnisme qui se tiendra au Parlement européen, à Bruxelles, le mardi 6 octobre prochain à partir de 9h30.
 
Cette conférence vient en prévision de la future interdiction paneuropéenne du négationnisme : cette décision doit être transposée dans les législations des 27 Etats membres avant la fin 2010. La conférence intitulée « Négationnisme et Démocratie en Europe » est placée sous le patronage du député européen Elmar Brok (Conservateur allemand) et vise à expliquer aux responsables politiques de l’Union européenne en quoi le négationnisme constitue une perversion de la liberté d’expression et une menace pour les fondements des sociétés démocratiques. Des responsables politiques, des juristes, des historiens et des chercheurs en sciences sociales – grandes figures de la lutte contre le négationnisme – présenteront de manière comparée les points communs entre les négationnismes des différents génocides. Ils viseront à convaincre les leaders européens de la nécessité d’étendre les dispositions pénales à l’encontre de l’ensemble des cas de négationnisme avéré comme le permet la décision européenne.


La conception juive de la seule forme du débat, acceptale par les juifs !!


Programe juif d'endoctrinement
et de lavage des cerveaux !

Agenda - Mémorial de la Shoah/Journées de formation
Publié le : 08-09-2009

En partenariat avec le Conseil régional d'Île-de-France, le Mémorial de la
Shoah propose tout au long de l'année aux professeurs, chefs
d'établissement, documentalistes et bibliothécaires des CDI.
Tout en abordant la problématique de l'enseignement de la Shoah, les
participants à ces journées renforcent leur connaissance du sujet.

- Mercredi 30 septembre 2009
La Sohah (I).
Définitions et comparaisons.
Avec Yves Ternon, docteur en histoire HDR, médecin, Yann Jurovics, juriste
(université d'Amiens), Joël Kotek, professeur d'histoire à l'université
libre de Bruxelles.

- Mercredi 21 octobre 2009
La Sohah (II).
Négationnisme.
Par Claire Mouradian, historienne (CNRS EHESS), Hélène Dumas, doctorante en
histoire (EHESS), Marc Knobel, chercheur au CRIF.

- Mercredi 18 novembre 2009
La Shoah. Objet d'Histoire et de pédagogie.
Par Georges Bensoussan, rédacteur en chef de la "Revue d'histoire de la
Shoah", Iannis Roder, historien, conseiller pédagogique au Mémorial de la
Shoah, et les services du Mémorial.

- Mercredi 9 décembre 2009
La représentation de la Shoah: littérature, cinéma, BD
Par Myriam Ruszniewski-Dahan, agrégée de lettres, Didier Pasamonik, éditeur
de bandes dessinées, et Antoine Germa, agrégé d'histoire.

- Mercredi 13 janvier 2010
Vichy et son langage
Par Philippe Gumplowicz, professeur d'histoire à l'université de Dijon,
Françoise Denoyelle, historienne, professeur des universités, et Dominique
Rossignol, docteur en histoire.

- Mercredi 10 février 2010
La passivité du monde face au crime nazi. Qui savait quoi?
Par Phillipe Boukara, historien (Science-Po, Paris), coordinateur formation
au Mémorial de la Shoah.
Projection du documentaire "Le Voyage du Saint-Louis" (1994) et la Mission
de Victor Martin (2001)

- Mercredi 10 mars 2010
Médecine, science et racisme dans les années 1930 et 1940.
Avec Yves Ternon, docteur en histoire HDR, médecin, Jean-Marie Winkler,
professeur d'histoire autrichienne à l'université de Rouen, et Claire
Ambroselli, historienne (INSERM), médecin.

- Mercredi 7 avril 2010
Violence de guerre, judéophobie: le terreau du désastre.
Par Pierre-André Taguieff, politologue, directeur de recherche au CNRS,
Annette Becker, professeur d'histoire à l'université Paris X et Joël Kotek,
professeur d'histoire à l'université libre de Bruxelles.

- Mercredi 12 mai 2010
L'après Shoah en France.
Par Didier Epelbaum, journaliste et docteur en histoire, Carole Piketty,
conservateur du patrimoine, et Virginie Sansico, docteur en histoire.

- Mercredi 10 mars [sic] 2010
Assistance, sauvetage et résistance des Juifs pendant la Shoah.
Par Phillipe Boukara, historien (Science-Po, Paris), coordinateur formation
au Mémorial de la Shoah et Frida Wattenberg, délégué à la mémoire des
Anciens de la Résistance juive en France.

De 9h à 17h30
Participation gratuite pour les enseignants franciliens dans le cadre du
partenariat avec le Conseil régional d'Île-de-France.

Réservation obligatoire.
Renseignements et inscriptions: tél. 01 53 01 17 54
Vous pouvez également vous inscrire en remplissant le formulaire ci-dessous
[en réalité le formulaire se trouve à:
http://www.memorialdelashoah.org/b_content/getContentFromNumLinkAction.do?itemId=228&type=1 ]


Et le seul négociateur ou débateur acceptable par les juifs !!


Un Glaive
nommé Faurisson
http://algerienouvelle.blogspot.com/2009/08/un-glaive-nomme-faurisson.html
08 août, 2009

Si vous pensiez le découvrir au fond d’un bunker hautement sécurisé, dont l’entrée serait protégée par deux kamikazes palestiniens et des militants du Hezbollah sur le toit, eh bien, sachez-le, ce n’est pas du tout le cas. Il habite une petite rue paisible, dans une charmante ville de France. J’ai été reçu par le professeur Robert Faurisson et sa femme, un couple adorable et d’une simplicité étonnante - surtout quand on sait qui est Robert Faurisson, l’un des hommes les plus honnis de France, considéré comme le diable en personne par les intellos « français »...
Lors de notre entretien, R. Faurisson m’a remis un document qu'il m’a permis de divulguer. Ce document provient d’un livre mystérieusement inconnu et si troublant, un livre à diffuser absolument : The First Holocaust, écrit par un avocat américain, Don Heddesheimer. Publié en 2003, ce livre contient des preuves concernant l’utilisation abusive du chiffre de « 6 millions » dans toutes les formes de propagande montées par les institutions israélites depuis, au moins, l’année 1900 ! En effet, déjà au début du XXème siècle, aux Etat-Unis et en particulier à New York, des paléo-sionistes lançaient des campagnes de collectes de fonds ayant pour leitmotiv « Six millions de nos frères sont en train de mourir en Europe (du fait de la faim, de maladies, de massacres perpétrés par la Russie tsariste, les Polonais et autres antisémites). Il faut leur venir en aide. Montrez-vous généreux. » Par exemple, le 21 avril 1926, le New York Times publiait un appel à verser en conséquence... 6 000 000 de dollars ! Excusez du peu. Par conséquent, en 1945, dès le lendemain de la seconde guerre mondiale, sans aucune enquête démographique au préalable, accuser les Allemands d’avoir exterminé 6 000 000 de juifs européens, ce n’était peut-être pas énoncer une vérité historique mais seulement reprendre, en quelque sorte, un vieux slogan publicitaire et un chiffre devenu, à force d’usage, quasiment rituel dans un certain milieu.

Le professeur Faurisson va bientôt publier un article sur ce sujet qui, manifestement, pose problème à l'intelligentsia pro-israélienne. Lors de notre entrevue nous avons abordé divers sujets tels que le révisionnisme historique (naturellement...), le drame palestinien, l’Iran, la politique internationale, l’affaire Dieudonné, les activistes du Net. Par ailleurs, nous avons une bonne nouvelle pour notre ami FASC : qu’il sache que le Professeur a bien aimé son slam sur la liberté d’expression.





 

L’affaire Toben
vue par Voltaire

Robert FAURISSON
22 août 2000

A l'heure où le révisionniste australien Fredrick Töben se trouve emprisonné dans son pays pour avoir fait de la peine aux juifs, il n'est pas inintéressant de relire un article du Professeur Faurisson écrit il y a neuf ans sur celui qui alors faisait presque ses premiers pas dans le révisionnisme et qui, malgré les obstacles, ne s'est jamais renié.

Pour l’historien, le sociologue ou le juriste, le cas du révisionniste australien Fredrick Toben est des plus simples et des plus instructifs. Il est aussi, à la fois, affligeant et divertissant.

Un jour, mû par la curiosité, cet Australien d’origine allemande quitta les antipodes pour se porter en Europe afin d’y consulter un Français, auteur de la formule : « No holes, no ‘Holocaust’ ». Puis, il se rendit en Pologne, à Auschwitz, où il constata de visu qu’en l’absence effective de ces « holes » (trous, orifices) dans le toit effondré d’une prétendue chambre à gaz homicide il y avait lieu de douter que de tels abattoirs chimiques eussent jamais existé en cet endroit, véritable centre de l’ « Holocauste ». Enfin, pérégrinant en Germanie, il y fit part de ses doutes et demanda des explications, ce qui, incontinent, lui valut de se retrouver en prison.

Voltaire eût aimé cette sorte d’ «affaire Calas » (en moins tragique). Il aurait pu s’en inspirer pour écrire un conte intitulé : Le Roi nu ou l’Imposture. On se plaît à imaginer que, comme dans une pièce classique du théâtre français, le récit se fût développé en cinq temps.

En un premier temps, notre héros, qui habite l’autre hémisphère, s’entend raconter qu’un certain roi d’Europe, cher aux juifs et donc aux Allemands d’aujourd’hui, passe aux yeux de sa cour pour être revêtu d’habits extraordinaires alors qu’en réalité il serait tout simplement nu ;  à prix d’or, d’ingénieux filous auraient fait semblant de lui confectionner les habits les plus rares. En un deuxième temps, notre Australien, moderne Huron, se rend donc en Europe et là, muni de quelques conseils sur la façon de mener son enquête, il veut aller y voir de près ; une fois rendu sur place, il a l’impression que ledit roi pourrait bien en effet être nu. En un troisième temps, il se met à poser la question autour de lui, allant jusqu’à souffler aux courtisans : « Votre roi ne serait-il pas nu ? » Faute de réponse satisfaisante, il s’avise, en un quatrième temps, d’aller en Germanie pour y consulter un homme de l’art ; ce dernier, allemand à coup sûr et peut-être juif, avait, par toute la terre, la réputation de si bien connaître la solution de l’énigme qu’il ne souffrait pas qu’on donnât une autre réponse que la sienne. Ce personnage, procureur à la mine tourmentée, invite le sceptique à revenir le voir le lendemain pour obtenir sa réponse. Ce que notre Australien ne manque pas de faire. Là, dans le cabinet du procureur, en présence d’un inconnu, on le prie de répéter sa question. Ce qu’il fait. Et c’est ainsi qu’en un cinquième et dernier temps, l’homme aux questions se retrouve derrière les barreaux d’une geôle allemande.

Dans la réalité de l’affaire Toben, le procureur se nommait Heiko Klein, l’inconnu était un homme de basse police et la geôle fut, pour sept mois, celle de Mannheim.

La suite aurait également inspiré Voltaire. Elle éclaire d’un jour cru le fonctionnement actuel de la justice allemande et le comportement qu’adopte toute une partie des démocraties du monde occidental dès lors que le plus sacré de leurs tabous, celui de l’ « Holocauste », leur semble en péril.

Extrait de sa prison, F. Toben, menottes aux poignets et sous bonne garde, fut conduit dans l’enceinte d’un tribunal. Mais, vu la gravité de son cas, il n’eut droit qu’à un simulacre de procès. Un avocat lui fut certes accordé mais à ce dernier les magistrats firent comprendre qu’il avait intérêt à se taire s’il ne voulait pas rejoindre son client en prison. L’avocat se tut et F. Toben fut condamné à la peine accomplie et à une forte amende, puis, le jour suivant, remis en liberté sous caution.

En Australie, les autorités se gardèrent d’intervenir en faveur de la victime. Elles ne furent pas loin d’applaudir à la décision des juges allemands et, selon toute vraisemblance, envièrent la liberté d’action de ces derniers.

Dans le reste du monde occidental, on se mit peu ou prou au diapason de l’Allemagne et de l’Australie. Les « élites » en place se turent ou approuvèrent. Personne, chez ces gens-là, ne s’avisa de crier au scandale. Nulle pétition en faveur de l’hérétique, nulle manifestation. « Amnesty International » jugea naturel et normal qu’un intellectuel, un universitaire se trouvât ainsi traité. En effet, précisément parce qu’il était un professeur, beaucoup estimaient sans doute que F. Toben aurait dû savoir qu’il est des questions qui heurtent la décence.

 

Déjà vingt ans auparavant

Vingt ans auparavant, j’avais personnellement vécu une expérience comparable à celle de mon collègue australien. Dans les colonnes du Monde, trente-quatre historiens français – dont certains comme Fernand Braudel jouissaient d’une renommée internationale – s’étaient fendus d’une déclaration commune pour me blâmer d’avoir posé une question que la bienséance aurait dû m’interdire de formuler.

J’avais découvert que l’existence et le fonctionnement des prétendues chambres à gaz nazies étaient radicalement impossibles pour des raisons physiques et chimiques accessibles à l’esprit d’un enfant de huit ans. A la fin des années soixante-dix, j’avais donc demandé aux accusateurs de l’Allemagne comment, pour eux, un tel meurtre de masse avait été techniquement possible. La réponse se fit attendre, puis fusa :

Il ne faut pas se demander comment, techniquement, un tel meurtre de masse a été possible. Il a été possible techniquement puisqu’il a eu lieu. Tel est le point de départ obligé de toute enquête historique sur ce sujet. Cette vérité, il nous appartenait de la rappeler simplement : il n’y a pas, il ne peut y avoir de débat sur l’existence des chambres à gaz (Le Monde, 21 février 1979).

J’eus la mauvaise grâce de penser que je venais de remporter là une victoire décisive. Mes adversaires se dérobaient. Ils se révélaient incapables de répliquer à mon argumentation sinon par une pirouette. Pour moi, le mythe des prétendues chambres à gaz nazies venait d’expirer.

 

Capitulation de Pressac, triomphe de Spielberg

Sur le plan scientifique, ces chambres à gaz retombaient donc au néant. La suite allait le confirmer. De 1979 à 1995, toutes les tentatives pour en démontrer l’existence allaient avorter : les Rückerl et les Langbein, les Hilberg et les Browning, les Klarsfeld et les Pressac, tous allaient essuyer les plus humiliants échecs. Ce n’est pas moi qui le dis mais l’un de leurs plus fervents apôtres, l’historien Jacques Baynac. En 1996, en deux longs articles particulièrement bien informés, ce farouche adversaire des révisionnistes traça, la mort dans l’âme, le bilan des vaines tentatives faites pour prouver l’existence des chambres à gaz nazies (Le Nouveau Quotidien [de Lausanne], 2 et 3 septembre 1996). Sa conclusion : les historiens avaient totalement échoué et, en conséquence, on s’était tourné vers les juges pour faire taire les révisionnistes. En mars 2000, Jean-Claude Pressac fera connaître en quelque sorte sa propre capitulation ; sur ce point on lira le texte d’un « Entretien avec Jean-Claude Pressac » que reproduit, dans son Histoire du négationnisme en France, Valérie Igounet, docteur en histoire et antirévisionniste convaincue (Paris, Éditions du Seuil, 2000, p. 613-652). Les deux pages finales de cet entretien sont stupéfiantes ; J.‑C. Pressac y promet les « poubelles de l’histoire » ... à l’histoire officielle des camps de concentration ! Censément daté du 15 juin 1995, l’entretien a dû être l’objet de remaniements bien postérieurs à cette date.

Mais, comme on le sait, le plan de la science et celui des grands médias diffèrent sensiblement. Sur ce dernier plan, à défaut du mythe expirant des chambres à gaz nazies, les mythes connexes du génocide et des six millions allaient, eux, bénéficier d’une tonitruante promotion. Hilberg et ses pareils ayant échoué en leur qualité d’historiens, Spielberg, cinéaste à effets spéciaux, a pris la relève et triomphe dans le péplum holocaustique. Aujourd’hui, la version casher de l’histoire de le seconde guerre mondiale a force de loi et d’usage si bien que les méchants « négationnistes » en paraissent anéantis. 

 

Le cas particulier de F. Toben 

Pourtant, ces rebelles que sont les révisionnistes restent, pour beaucoup, vivants et bien vivants, en dépit de la répression exercée par la police de la pensée et ses valets de justice ou de presse. Parmi ces révisionnistes figure F. Toben, qui n’a pas eu, à sa sortie de prison, la décence de marquer le moindre repentir ou, comme on dit aujourd’hui, la moindre repentance. Il est à craindre que, pour lui, le roi (des juifs) ne reste définitivement nu . « No holes, no ‘Holocaust’», ira-t-il répétant à tous les échos, ou bien encore par allusion aux faux habits (« clothes » en anglais) : « No clothes, no ‘Holocaust’.» 

A commencer par l’indomptable Paul Rassinier, bien d’autres révisionnistes que notre Australien ont souffert ou souffrent encore mille tourments. Récemment, l’un d’eux, en Allemagne, a été acculé au suicide. Professeur à Münster, Werner Pfeifenberger s’est donné la mort le 13 mai 2000 après des années d’un épuisant combat contre ses persécuteurs. Le 25 avril 1995, Reinhold Elstner s’était immolé par le feu sur une place de Munich.

Ce qui distingue l’affaire Toben des autres affaires révisionnistes,  c’est la simplicité et la rapidité de son déroulement, et donc sa force démonstrative. On dirait un abrégé, une épure. Ce n’est que l’histoire d’un homme qui, pour avoir fait une banale constatation matérielle, se retrouve en prison. A qui voulait l’entendre, il avait, en fait, tenu le discours suivant : « A Auschwitz-Birkenau, on déversait, paraît-il, jour après jour, par quatre orifices, spécialement aménagés dans un plafond de béton armé, une substance mortelle capable de tuer, à chaque fois, des milliers de personnes confinées dans une pièce située sous ce plafond. Comment une telle opération aurait-elle été possible vu que manifestement, ainsi qu’on le constate aujourd’hui, aucun de ces quatre orifices n’a jamais existé ? Certes, le plafond est maintenant en ruines mais, à la surface, on ne distingue aucun vestige de ces orifices et, si on se glisse sous les ruines, on peut voir que le plafond n’a jamais comporté ne fût-ce qu’un seul de ces orifices. Comment expliquez-vous cela ? » On ne lui avait pas répondu. Alors, il était allé trouver un homme qui, par définition, devait connaître la réponse à cette question (ainsi qu’à quelques autres questions de même calibre, matérielles et rudimentaires). Pour toute réponse, ce personnage crut nécessaire de le jeter en prison. Mais, une fois sorti de prison, que fit notre impertinent ? De plus belle, il répéta sa question, mais, cette fois, urbi et orbi.

Histoire édifiante dans sa brièveté et non dépourvue de sel.
 

Toben en héros “ingénu” de Voltaire

Je le répète : un Français, lecteur de Voltaire, est tenté de voir dans notre Australien une réincarnation, à sa manière, de Candide ou du Huron. Sous la plume de Voltaire, l’ingénuité, vraie ou feinte, de ces deux héros, forgés de toutes pièces, leur avait valu de vivre bien des épreuves mais elle les avait aussi aidés à surmonter l’adversité non sans nous ouvrir d’intéressantes perspectives sur les croyances et les superstitions qu’on trouve au fondement de nos sociétés et de nos institutions. L’histoire de F. Toben (d’origine allemande comme Candide) eût probablement intéressé Voltaire à un autre titre encore, celui de l’exécrable intolérance des juifs et de leurs grands prêtres (voy. Henri Labroue, Voltaire antijuif, Paris, Les Documents contemporains, 1942). 

Aujourd’hui, en France, les rééditions de certaines œuvres du « patriarche de Ferney » sont expurgées par crainte de déplaire aux juifs. Nul doute que, s’il revenait sur terre, Voltaire serait, à l’instar de Toben, embastillé pour l’impertinence de ses questions. Même la Suisse où, de son vivant, il savait pouvoir trouver refuge, ne manquerait pas aujourd’hui de le jeter aux fers.

(Fin)


Deux notes: 
Note pour le lecteur étranger : Voltaire (1694–1778) a notamment écrit Candide ou l’Optimisme (conte philosophique,1759), Le Huron ou l’Ingénu (conte satirique,1767) ainsi que le Dictionnaire philosophique ou la Raison par alphabet (1764). Voltaire intervint dans une série d’affaires judiciaires, comme celle du calviniste Jean Calas, pour dénoncer ce qu’il appelait les crimes de l’intolérance ou de la superstition. Il vécut les vingt dernières années de sa vie à Ferney, près de la frontière suisse.

Note sur une fausse attribution à Voltaire : C’est par erreur qu’on attribue à Voltaire le propos suivant :« Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites mais je défendrai jusqu’à la mort votre droit de le dire. » Parfois le propos s’agrémente d’un « Monsieur l’abbé … ». En réalité, dans un livre publié à Londres en 1906, un auteur anglais écrivait au sujet de l’attitude finalement adoptée par Voltaire en cas de désaccord profond avec l’adversaire : « I disapprove of what you say but I will defend to the death your right to say it was his attitude now. » (Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites mais je défendrai jusqu’à la mort votre droit de le dire était à présent son attitude). L’auteur s’appelait Stephen G. Tallentyre (de son vrai nom, Evelyn B. Hall) et le livre s’intitulait : The Friends of Voltaire. Source : Paul F. Boller Jr & John George, They Never Said It : A Book of Fake Quotes, Misquotes, and Misleading Attributions, NY-Oxford, O.U.P., 1989, p. 124-126. Telles sont, en tout cas, les informations que j’ai puisées dans un article de L’Intermédiaire des chercheurs et curieux (novembre 1993, p. 1157) que m’avait, il y a sept ans, aimablement communiqué le révisionniste belge Pierre Moreau auquel j’avais confié que je n’avais pu trouver cette citation dans les œuvres de Voltaire.




 

Quand Faurisson est invité par Dieudonné,
les juifs (UEJF) ne sont pas contentes
28 Dec 2008
AFP- 28 Dec 2008 - L'humoriste Dieudonné a invité vendredi sur la scène du Zénith de Paris le révisionniste Robert Faurisson, qui conteste depuis plus de 30 ans la réalité de l'Holocauste, à qui il a décerné un prix de l'infréquentabilité et de l'insolence, affirment le Journal du Dimanche, le Parisien et Le Post.

La ministre de la Culture, Christine Albanel, s'est déclarée "consternée" par cette "provocation qui "heurte et blesse à nouveau les mémoires [juives]", dimanche dans un communiqué.

"Dieudonné vient rappeler qu'il est bien un nouveau leader de l'extrême-droite en choisissant d'honorer Robert Faurisson", a estimé de son côté l'Union des étudiants juifs de France (UEJF), selon qui "assister à un spectacle de Dieudonné, c'est participer à un meeting d'extrême-droite".

Dans une vidéo en ligne publiée par le site internet Le Post, qui montre intégralement la scène qui s'est déroulée à la fin du spectacle, Dieudonné déclenche une ovation en l'honneur de M. Faurisson accueilli sur scène par une accolade. Le trophée lui est remis par une personne déguisée en déporté juif.

"Vos applaudissements vont retentir assez loin (...) Votre présence ici et notre poignée de main sont déjà un scandale en soi", ironise Dieudonné devant 5.000 spectateurs.

- "Tu nous dis +J'ai fait le con+ (ndlr: titre du nouveau spectacle de Dieudonné). C'est sûr, mais ce soir tu es vraiment en train de faire le con!", lui lance Robert Faurisson.

- "C'est même la plus grosse connerie que j'ai faite mais la vie est trop courte. Déconnons et désobéissons le plus vite possible!", répond Dieudonné sous de nouveaux applaudissements nourris.

Interrogé par le JDD, Dieudonné affirme:  "pour moi, c'est la liberté d'expression qui compte".

Selon le journal, Jean-Marie Le Pen, son épouse Jany et sa fille Marie-Caroline, étaient présents dans la salle, ainsi que la militante pro-palestinienne Ginette Skandrani et le leader radical noir Kémi Seba, responsable du mouvement Tribu Ka dissous en 2006 par le ministère de l'Intérieur.

Dieudonné M'Bala M'Bala, dont une fille a pour parrain le président du Front National, a été condamné en juin en dernière instance à 7.000 euros d'amende pour ses propos sur la mémoire de la Shoah tenus à Alger en 2005 et qui avaient provoqué un tollé [juive] en France.

Son dernier spectacle en date est repris ce week-end dans son théâtre de La Main d'Or à Paris, avant une tournée.

Robert Faurisson, souvent condamné pour négationnisme, fait l'objet d'une nouvelle enquête judiciaire pour avoir qualifié l'Holocauste de "religion officielle" qui "continue d'abuser des millions de gens par des procédés grossiers".



 

 Robert Faurisson

Une nouvelle perquisition
et ses conséquences

Le jeudi 13 novembre 2008, à 6h15 du matin, deux officiers de police judiciaire (OPJ), venus la veille de Paris et accompagnés de deux (ou trois ?) policiers en uniforme, ont  fait irruption à mon domicile non sans provoquer un fracas délibéré. Ma femme, qui est cardiaque, en a éprouvé une commotion dont je crains maintenant les suites. Pendant une heure et demie elle a été confinée dans une pièce, sous bonne garde, avec l’un de ses frères et l’épouse de ce dernier qui, cette nuit-là, se trouvaient à notre domicile et qu’en criant un policier s’est employé à faire sortir de leur lit.

Ce comportement de malotrus est d’autant moins admissible que les deux OPJ savaient le mauvais état de santé de ma femme. Ils avaient déjà perquisitionné mon domicile le 24 janvier 2008. Ce jour-là, placé en garde à vue dès mon arrivée au commissariat de Vichy et averti qu’après mon audition les policiers se porteraient avec moi à mon domicile pour une perquisition, j’avais signalé aux deux OPJ que, ma femme étant cardiaque, je lui avais  caché ma convocation au commissariat. Je leur avais précisé qu’à une heure donnée ma femme quitterait notre domicile et je leur demandais d’attendre cette heure-là pour y faire leur apparition. Or ils n’avaient tenu aucun compte de mon avertissement et, par leur arrivée intempestive à la maison, ils avaient provoqué chez ma femme un sérieux malaise cardiaque.

Ce 13 novembre 2008, je les ai vertement tancés. Je leur ai dit leur fait. Ils se sont calmés.

Les policiers en uniforme sont repartis à 7h30. Les OPJ, une jeune femme et un homme jeune, ont opéré de 6h20 à 10h30.

J’ai refusé de répondre à leurs questions. A toutes les questions de la police, j’ai pris le pli, depuis près de trente ans, de répondre : “Pas de réponse”, et cela même si la question est bénigne. Je refuse de collaborer avec la police et la justice françaises dans la répression du révisionnisme historique.

Une fois de plus, mes deux OPJ ont fait chou blanc. Une fois encore, ils n’ont trouvé ni l’ordinateur, ni les documents recherchés.

Ils étaient porteurs de cinq (!) commissions rogatoires. Les plus importantes concernaient ma participation à la conférence de Téhéran (11-12 décembre 2006). Jacques Chirac est à l’origine de ces plaintes-là ainsi qu’une organisation essentiellement juive.

Je sollicite l’indulgence de mes correspondants si, à l’avenir, je suis amené, pendant un certain temps, à laisser leurs messages ou leurs lettres sans réponse. J’entre dans une période de turbulence. Je ne trouve toujours pas d’avocat pour succéder à Eric Delcroix, qui a pris sa retraite. Soit dit en passant, je prie mes correspondants de ne pas venir me recommander tels ou tels avocats, réputés courageux mais qui ne sont que des lâches habitués à plastronner. (Un modèle du genre : Jacques Vergès. Je suis peiné de voir combien peu ont percé à jour la comédie qu’il nous joue. Son ficelle, de la grosseur d’une corde : la surenchère dans l’antiracisme. Barbie raciste ? Vous plaisantez ! Il n’y a pas eu plus racistes que les colonialistes français ou encore les Australiens, exterminateurs de la race tasmanienne).

En France comme ailleurs, les juifs exigent, en ce moment, une répression accrue du révisionnisme. A mesure que l’Etat d’Israël multipliera les provocations à l’endroit des Palestiniens, il se mettra dans un péril croissant, jusqu’à entraîner, ne lui en déplaise, la disparition du régime sioniste. Pour l’heure, ce régime doit à tout prix sauvegarder l’arme numéro un de sa propagande de guerre : le mensonge de la religion de “l’Holocauste” avec ses prétendues chambres à gaz homicides.

Attendons-nous tous à être traités en Palestiniens. Pour ma part, je ne plierai pas. Certains me reprochent parfois d’oublier, dans mon combat, que le premier devoir d’un homme serait de préserver la sécurité de sa femme et de ses enfants. Mais peut-être n’est-ce là que le second devoir d’un homme. Peut-être le premier devoir d’un homme est-il d’être un homme.

Robert Faurisson

 

 Zénith 
Procès Dieudonné/Faurisson
Ci-dessous un compte rendu du procès Dieudonné/Faurisson le 22 septembre 2009, rapporté par un révisionniste assistant à l'audience.

Finalement le procès s'est déroulé seulement l'après-midi: d'un commun accord entre les parties, les deux affaires sont traitées en une seule audience. En réalité, pendant tout l'après-midi il ne sera guère question du Pr Faurisson qui, à la demande de son avocat, n'est pas présent. Le procureur, Mme de Fontette, semble en être soulagée: "Le vieil homme n'est pas ici", dit-elle avec satisfaction.

L'après-midi commence par l'enregistrement des parties-civiles: huit en tout! Le dénommé Boüard, original bien connu de la XVIIe chambre et qui se présentait comme intervenant volontaire pour la défense de Faurisson, est évincé et même expulsé manu militari.

Le président fait projeter l'enregistrement vidéo du sketch du Zénith.

Puis a lieu l'interrogatoire de Dieudonné: remarquable! On comprend tout de suite que le président Nicolas Bonnal compte le juger sur ses intentions et non pas sur les faits. Dieudonné est aussi à l'aise dans le prétoire que sur scène, mouchant les avocats adverses et montrant au président sa commisération d'avoir à juger une telle affaire et de lui faire perdre son temps. Quelques réparties:

- Le Pdt: Pourquoi avoir invité Robert Faurisson? Réponse: J'ai servi un attentat humoristique.

- Le Pdt: Quelle est la symbolique de la quenelle? Réponse: J'ai lancé le mot il y a à peu près un an; glisser une quenelle dans le fondement des médias.

Quelques phrases de Dieudonné:

- Mettons fin à cette "hystérie" qui voit de l'antisémitisme partout.

- Je suis le baromètre de la démocratie.

- Je me suis livré à un acte de subversion en invitant les infréquentables.

Je vous préviens dès maintenant que je le referai avec un autre infréquentable, l'homme à la chaussure (l'Iraken qui a jeté sa chaussure à la tête de Bush).

Deux mots sont souvent repris, tant par le président que par Dieudonné:

"insolence" et "provocation". Mais où est le délit?

Ensuite c'est le tour des plaidoiries des 8 parties civiles, qui, elles, sont plus que lamentables:

évidemment aucun argument mais seulement des pleurs, des lamentation et des violons... et surtout de la haine, qui s'est traduite dans la bouche du bâtonnier Charrière-Bournazel par des mots orduriers adressés aux supporters de Dieudonné dans la salle, tels "éboueurs" et "ordures"..

Puis c'est la plaidoirie de Me Bastardi Daumont, du Barreau de Nice, avocat du Pr Faurisson, qui commence à peu près ainsi: "Ici on ne fait pas de droit; moi, je vais faire du droit". Sa plaidoirie, bien charpentée, est fondée uniquement sur le droit et la notion d'injure. Me Bastardi Daumont a demandé la condamnation de la LICRA à 5000 euros. Belle prestance, belle voix, une belle autorité malgré son jeune âge. Sa plaidoirie ne durera que 16 minutes.

C'est ensuite le tour de la longue plaidoirie de l'avocat de Dieudonné.

Comme il est de règle, la parole est donnée en fin d'audience à Dieudonné qui déclare: "Je répète que je ne vois pas ce que je viens faire ici, devant tous ces avocats geignards."

Entendu à cette occasion

- L'avocat de la LICRA, Me Jacubowicz, parlant de Dieudonné à une journaliste dans la salle des pas perdus: "C'est une gifle à la justice: il ne joue pas le jeu du justiciable!"

- Quelqu'un ayant assisté à l'audience demande à Me Bastardi Daumont: "Cela ne vous gêne pas, au sein de votre Barreau, d'assurer la défense de Robert Faurisson?" Réponse: "Non, pas du tout. Je me spécialise dans les affaires pénales, ça m'intéresse et je suis fier d'avoir assuré cette défense."

Jugement le 27 octobre 2009


La magistrate a requis un an de prison avec sursis et 10000 euros d'amende contre l'humoriste. Verdict rendu le 27 octobre.

Dieudonné plaide
"l'attentat humoristique"

Par Victoria Cassagnaud,  le 23/09/2009

 L'humoriste était jugé mardi 22 septembre pour avoir remis "le prix de l'infréquentabilité et de l'insolence" à l'historien révisionniste Robert Faurisson au Zénith en 2006. Il encourt un an de prison avec sursis et 10 000 euros d'amende.
C'est avec vingt-cinq minutes de retard que Dieudonné s'est présenté, détendu et souriant, au tribunal de Grande Instance de Paris, accompagné de son avocat, de celui de Robert Faurisson, de ses deux gardes du corps et d'une trentaine de supporters surchauffés. Dans la vaste salle d'audience bondée pour l'occasion, l'ambiance est étouffante. L'humoriste a choisi de prendre lui-même sa défense et tiendra le micro près d'une heure et demi. "Je suis là pour faire mon spectacle, j'espère que vous viendrez aux autres!" lance-t-il à l'auditoire. Derrière lui, seul son public se gondole.

La magistrate a requis un an de prison avec sursis et 10000 euros d'amende contre l'humoriste. Verdict rendu le 27 octobre 2009.

Cinq associations juives pro-juives se sont portées parties civiles au procès de l'humoriste, dont l'Union des Etudiants Juifs de France (UEJF). "Saviez vous que Robert Faurisson était négationiste?" interroge un avocat de la partie civile. "Non", répond l'accusé. Quand le juge lui demande toutefois pourquoi il a invité l'historien à son spectacle, l'intéressé rétorque: "pour servir un attentat humoristique" aux médias. Médias jugés trop frileux à son égard. Interrogé sur la symbolique du pyjama à rayures porté sur scène par son accolyte lors de la fameuse remise de prix, Dieudonné évoque d'abord un "pyjama à carreaux", puis, dans un sourire, "le manque de moyens" de sa production.

Les débats se poursuivront sur le même ton durant près de 4 heures, interrompus à plusieurs reprises à la demande du juge pour "aérer" les lieux rendus irrespirables. Entre les supporters conquis par le show et les parties civiles, la 17e chambre correctionnelle s'est transformée le temps d'un après-midi en salle de spectacle d'un goût douteux. "En tournant en dérision la communauté juive, il m'apparaît que Dieudonné M'bala M'bala a blessé et humilié", a conclu la procureur de la République Anne de Fontette. La magistrate a requis un an de prison avec sursis et 10000 euros d'amende contre l'humoriste. Verdict rendu le 27 octobre 2009.
 


Commentaires

Slone - 24/09/2009

Dieudonné estime qu'il est honteux de diaboliser, de marginaliser un homme pour des propos. "On ne peut se réconcilier qu'avec ses ennemis", selon les termes de Dieudonné. Les médias pro-israéliens ne lui pardonnent pas son engagement pro-palestiniens et continueront de mentir à son sujet, mais le peuple est moins imbécile que les journalistes ne le pensent.
 

loli - 24/09/2009

DIEUDONNE tu as raison de jouer la mauvaise foi..car de toute facon ils t'auraient quand meme condamné...on n'oublie pas que tu as gagné plus de trente procès ..ils s'acharnent sur toi et tu deveint finalement un héros! ne t'en fait pas on sait que tu es un humaniste avant tout! tu n'es pas le raciste ou l 'antisémite qu'ils veulent nous dépeindre! il suffit de voir tes spectacles! tout le monde y passe: les arabes , les chinois, les juifs (sauf qu'avec certains, ça ne passe pas; certain sionistent saute sur l'occase pour te cracher dessus, en passant ils aimeraient bien récupérer un peu d'argent ...et t'humilir)... tu es soutenus on t'aime!

 

maeda - 24/09/2009

c'est pas parce qu'on n'est pas drôle qu'on mérite la prison pour autant...déjà qu'elles sont blindées! enfin bref oui dieudonné aujourd'hui est trainé injustement devant les tribunaux, je met au défi n'importe qui le critiquant de regardé et de juger sans a priori ne serait ce qu'un de ses spectacle pour voir s'il a le même avis ensuite. et pour tout ceux qui disent ou pensent qu'il n'a pas de talent, demandez vous pourquoi il joue à guichet fermé partout ou il va (même au canada!!). Pour ceux qui le traitent d'anti sémite il n' y a qu'a voir les débats qu'il à eu avec des juifs eux mêmes censuré par les sionistes, son combat n'a rien de religieux mais il dénonce juste un état comme beaucoup de pro palestinient qu'on entend jamais a la radio et a la télé ou alors en faisant toujours le même amalgame : anti sioniste = anti sémite CE QUI N'A RIEN A VOIR!

 

SanSystem - 23/09/2009

Je reviens de son dernier spectacle "Sandrine"dan son théatre "La main d'or" à Paris, et franchement, à mourir de rire, cet homme est extrêmement drôle, ses sketchs plein de 2eme degré, et tout le monde s'en prend plein la figure, le chinois, les arabes, les noir, ... et oui les juifs aussi, je vois pas pourquoi il en aurai pas aussi un peu. Je comprends pas pourquoi on s'acharne comme ça sur lui , juste pour cette partie. Moi c'est ça qui me fait peur en France.

 

maceo - 23/09/2009

C'est un scandale, Dieudonné fait un sketch tout aussi sadique sur les pygmées et personne n'en parle...pourquoi? Il y en a assez de ce culte victimaire orchestrée par des associations communautaires et/ou religieuses ! Quand on observe les propos des chefs d'Etat tels que Sarkozy, des Hommes politiques, comme Brice Hortefeux sur d'autres "minorités", il n'y a pas la même réaction, tout d'un coup on nie le racisme. Qu'on se mette au travail sur les inégalités, les problèmes sociaux tels que le chomage , et qu'on arrête nous occidentaux de s'ingérer dans les affaires des pays dominés etc. ; là dieudonné (le seul humoriste critique) arrêtera peut être de provoquer pr se faire entendre!!!

 

greg - 23/09/2009

Merci dieudonné pour ton utilisation pertinente et jusqu'au boutiste de ton art. Rire de tout pourquoi pas et cest d'autant plus important encore quand cela gene une majorité : vive la liberté d'expression

 

tayeb - 23/09/2009

seul les gens qui cherche a se faire leur propre idees sur le cas Dieudonné peuvent savoir les autre nes ont que des moutons a qui ont peur faire avaler skon veu yen a tellement c dingue mais ski mréjoui c dvoir tt les autres
 

l'humaniste - 23/09/2009

je me suis penché sur l'affaire Dieudonnée il y a quelques mois de celà suite à une video visionnée sur ma tv.Et ensuite sa a fait une réaction en chaine; video sur plateau télé, spéctacle,...Donc pour vous dire que je suis bien calé sur l'affaire Dieudonnée car j'ai écouté les 2 camps et essayé de savoir qui avait tort et qui avait raison. Alors moi ce que je pense c'est que Dieudonnée nous ouvre les yeux sur le mal sioniste, entre autre, qui pérsiste sur le peuple palestinien mais aussi ce mal controle les médias. Je dis les médias car on voit bien qu'il y a toujours le méme parti qui à le droit de parler à la télé et le parti qui n'a pas le droit. Je pense que le probléme de fond est le manque de COMMUNICATION entre les communinauté et le manque d'HUMANISME.

Pourquoi je serrerais
la main de Faurisson

1 juin 2009

L'autre soir j'étais chez ma vieille copine un peu baba, un peu gauchiste; on parle de tout, on parle de rien et on arrive sur le sujet des élections européennes à venir. « Je soutiens Dieudonné » que je lui fais. Elle ce serait plutôt Bové, parce que Dieudonné... l'inévitable question arrive : « quand même, il y a eu le Zénith, alors comment peux-tu intellectuellement soutenir quelqu'un qui fréquente Faurisson ? » 

J'ai commencé à lui répondre, et puis les enfants sont arrivés, on a été coupées, et on a parlé d'autre chose. Mais j'ai continué à y penser, je voulais lui expliquer, les mots, les phrases tournaient dans ma tête. Il me faut y revenir... Je me suis imaginée, en face de Faurisson, qu'est-ce que je ferais si on me le présentait... Je lui serrerais la main ? Je ferme les yeux et je me regarde : oui, je lui serre la main... Pourquoi je ne sais pas encore, ce n'est pas une réponse intellectuelle, ça me semble juste naturel, simplement humain, pourtant je sais que beaucoup crieraient au scandale... Ils n'ont pas besoin de s'expliquer, tout le troupeau est derrière eux. Moi je risque d'être bien seule sur le bas-côté de la route, mais je resterai là, je ne suivrai pas le troupeau, et puisque la question m'a été posée...

Ma chère amie... Comment te faire comprendre ? D'abord une précision, Dieudonné ne "soutient" pas Faurisson, il reconnaît son droit à la parole et en a fait le symbole de la censure qu'il dénonce et dont il a été victime lui-même. Ne crois pas que je me défausse en appelant Voltaire à la rescousse, paravent trop souvent utilisé par ceux-là même qui le brandissent pour mieux faire accepter les limites qu'ils posent immédiatement derrière. J'irai donc plus loin et te dirai que non seulement je soutiens Dieudonné qui serre la main à Faurisson mais si l'occasion se présentait, je lui serrerais la main moi-même, et je vais tenter de te faire comprendre pourquoi cela me semble juste.

D'abord, pour poser le décor précisons que jusqu'à cette scène du Zénith, je ne connaissais de Faurisson que son nom, associé bien sûr à l'outrage suprême : négationniste !

Alors la curiosité m'a poussée à en savoir un peu plus : je suis tombée sur une conférence où il expose ses thèses sur les chambres à gaz. Je vois un petit bonhomme au parler lent qui essaye de démontrer scientifiquement que des chambres à gaz non étanches ne pouvaient pas fonctionner sans mettre en grand danger les personnes alentour, en premier lieu les ouvriers de ces basses œuvres. Je suis une scientifique, tu le sais, alors cette approche me convient, je voudrais en savoir plus, j'essaye de trouver la faille, je me dis qu'il faudrait pouvoir faire le test en grandeur réelle, voir s'il y a des émanations toxiques à l'extérieur, en quelles concentrations, doser ce qu'il reste de gaz cyanhydrique à l'intérieur des chambres après une heure, deux heures... Ces concentrations sont-elles encore létales, sont-elles explosives ? Faurisson nous parle des récupérateurs de cadavres qui entreraient avec une cigarette à la bouche dans les chambres, mettant cela dans le panier de l'irrecevabilité de la thèse des chambres à gaz... Pourtant c'est un stratagème bien connu des chimistes : le gaz cyanhydrique à faible concentration n'est pas toujours détectable pour un nez pas très fin. Mêlé à la fumée de tabac, il dégage une odeur caractéristique. Alors cette histoire de cigarette serait plutôt à mettre dans le panier des preuves de l'utilisation du ZyklonB... Enfin, je ne sais pas, je me dis qu'il faudrait creuser la chose... Pareil pour les chambres froides, il dit qu'elles n'ont pas été faites pour ce que l'on en dit, que leur taille devrait être différente pour rendre aisée la manipulation des cadavres, mais cet argument ne tient pas si l'on considère qu'effectivement elles n'ont pas été faites dans ce but mais détournées de leur utilisation première : ce n'est pas parce que mon canapé n'est pas un lit, qu'il n'a pas été fait pour que je m'y couche, que je ne peux pas dormir dedans... Enfin, j'aurais aimé qu'il y ait un débat, des tests, que tout doute puisse être levé, les chiffres discutés - pas par moi, j'ai d'autres chats à fouetter et ce n'est pas mon métier - mais le fait même que ce soit impossible ne fait qu'alimenter la suspicion... Alors pourquoi interdire le doute ? Pourquoi en faire un tabou ?

Puisque tu me demandes comment je peux intellectuellement soutenir, moi je te demande comment peut-on intellectuellement accepter la célèbre phrase de Vidal-Naquet :

« Il ne faut pas se demander comment, techniquement, un tel meurtre de masse a été possible. Il a été possible techniquement puisqu'il a eu lieu.[...] Il n'y a pas, il ne peut pas y avoir de débat sur l'existence des chambres à gaz. »

Parce que moi, intellectuellement, cela ne me convient pas.

Vingt millions de morts en Union soviétique, deux cent cinquante mille à Hiroshima, dix, quinze, vingt millions d'Indiens aux Amériques, dix, vingt, trente millions de victimes des différentes traites négrières, on en discute, on compte et on recompte, chacun est libre de donner son estimation, et personne n'est le diable, si basse soit-elle.

Mais Faurisson est le diable. Je le regarde, cornu, les pieds fourchus dans les yeux de mes concitoyens. Moi je vois un vieux monsieur qui avait une place honorable à l'université, spécialisé dans la critique de textes et documents. Il aurait pu rester là, faire une carrière tranquille, respecté de ses pairs. Qu'est-ce qui l'a poussé à se jeter ainsi dans le brasier ? Savait-il seulement dans quels feux il se lançait ? Était-ce par seul souci de vérité historique et scientifique ? A-t-il été emporté par un élan dont l'impulsion initiale lui a été donnée en toute innocence et en toute ignorance de l'abîme vers lequel il se dirigeait, par l'étude sincère de plans et de photos ? A-t-il été interpellé par des détails que ceux qui n'ont pas vu ne peuvent comprendre l'importance ? Je ne sais... Y a-t-il dans sa démarche une force obscure qui le pousse ? Une haine dont j'ignore les causes qui justifierait sa hargne au péril de sa vie ? Encore une fois, je ne sais...

Et toi qui me lis, toi mon amie qui pense bien, le sais-tu ? Vous tous qui me lisez, le savez-vous ? Je vous entends pour les plus honnêtes faire l'apologie de la liberté d'expression, citer Voltaire et paraphraser Saint-Just, je vous entends surtout, vite, vite vous prémunir, Faurisson, propos nauséabonds, le ventre fécond, la bête immonde... Nier la Shoah telle qu'on nous la raconte ou en réduire l'importance, contester la manière dont les morts sont morts, est-ce appeler à la haine des victimes ? Est-ce se réjouir de ce qu'elles ont subi en pensant dans le même temps que ce n'était pas assez ? Ni en nombre ni en férocité ? Est-ce appeler à « finir le travail » ? Soyons sérieux, ce n'est rien de tout cela et vous le savez bien. Alors quoi ? Quelle est la nature de cet outrage ? Minimiser la Shoah enlève-t-elle aux juifs une part de leur humanité ? Au petit-fils de déporté mort en camp, que change le fait que son grand-père soit mort accompagné de cinq cent mille ou de six millions d'autres ? Que change le fait que son aïeul soit mort gazé ou fusillé ? D'épuisement ou de maladie ? Si j'étais ce petite-fils là j'aurais envie de savoir, mais que ce soit de cette manière ou de cette autre, cela ne changerait rien à ma tristesse... Personne ne conteste chaque mort individuellement, personne ne dit à ce petit-fils « non, ton grand-père n'est pas mort, le numerus clausus est atteint, et s'il n'est pas revenu c'est qu'il a préféré ne pas revenir, en profiter pour refaire sa vie ailleurs... ». Alors quelle est cette souffrance si terrible qu'elle doive interdire toute recherche, toute tentative de discussion du nombre ou de la manière dont les juifs sont morts pendant la deuxième guerre mondiale ? Et pourquoi celui qui tente de le faire devient-il un criminel ?

Il y a de par le monde nombre de gens qui par leur comportement font souffrir leurs congénères de mille manières. Tortures psychologiques, manipulations, mensonges qui font parfois mourir à petit feu, sans bruit, les victimes de leur perversité. Au travail, en famille, ces gens là, même dévoilés, ont droit aux politesses d'usage. Et rarement ils seront condamnés à la moindre peine. Peut-être seront-ils mutés, leur femme voudra divorcer, mais jamais ils ne seront crucifiés. Pourtant de combien de nuits sans sommeil, de jours de larmes, de dépressions auront-ils été responsables ?

Qui a connu des pleurs et des nuits blanches, des envies de mourir à cause de Faurisson ?

Il y a des pédophiles qui ont brisé la vie de leurs victimes, qui les ont tuées parfois. Il y a ceux dont on parle, et combien dont on ne parle pas. Toutes ces mères assassinées à travers leurs enfants... Il y a des prisonniers torturés à l'ombre de murs épais... Il y a des villages affamés par des maîtres qu'ils ne se sont pas donnés, des riverains empoisonnés par la cupidité de quelqu'uns, des bébés malformés et des peuples irradiés... Pour la puissance des uns et l'argent des autres... Il y a des luttes intestines, des soifs de pouvoir qui écrasent des populations entières dans l'indifférence du monde, atrocités inaudibles parce qu'on ne veut pas les entendre, toute cette humanité qui crie pourtant... Mais Faurisson... Ah, Faurisson ! même s'il murmurait on l'entendrait... D'où vient donc ce sang que les aveugles voient couler sur sa main pour refuser de la prendre ?

Il y a encore des dirigeants devant lesquels on déroule le tapis rouge, rouge de ce sang pourtant qui coule sur la main de Faurisson, et à qui on serre plus que la main : on leur donne l'accolade, on les regarde avec déférence, ils sont les maîtres du monde... Leurs crimes sont réels mais on les en excuse. Au nom de la raison d'État, fût-ce-t-elle enrobée dans un gros mensonge. Combien d'enfants morts en Irak pendant le blocus ? Cinq cent mille ? Est-ce un crime ? Non. Contester ce crime, et même le justifier en est encore moins un. « Je crois que c'est un choix très difficile, mais le prix... nous croyons que le prix en vaut la peine » nous dit Madeleine Albright sans que nous songions une seule seconde à lui refuser notre main. Enfin... je parle d'eux, parce que moi, vois-tu...

Il y a eu Menahem Begin, commissaire au Betar, président de l'Irgoun, responsable de l'attentat du King David, du massacre de Deir Yassin, qui a reçu le prix Nobel de la Paix. Ah ! Cette poignée de main entre lui et Sadate, elle a fait le tour du monde... Mais le sang en était lavé par un peu d'encre, une signature au bas d'un document dont une partie pourtant est tombée dans l'oubli... Dans l'oubli, comme le sang sur les mains de Begin...

«Il y a des circonstances dans l’histoire qui justifient le nettoyage ethnique». Qui a dit cela ? Faurisson ? Continuons pour y voir plus clair : «Je sais que ce terme est complètement négatif dans le discours du XXIe siècle, mais, quand le choix est entre le nettoyage ethnique et le génocide - l’annihilation de votre population - je préfère le nettoyage ethnique (...) C’était la situation. » Ah, voilà, ce n'était pas un génocide, c'était un nettoyage ethnique. Il y a eu pourtant beaucoup de morts. Où cela déjà ? « C’était ce que le sionisme affrontait. Un État Juif n’aurait pas pu être créé sans déraciner 700'000 Palestiniens. Par conséquent il était nécessaire de les déraciner». On les a juste déracinés. Les arbres aussi parfois quand on les déracine ils en crèvent... Qui refuse de serrer la main de Benny Morris pour avoir dit cela ?

Des personnes qui ont du sang sur les mains et du sang sur la langue il y en a mill e auxquelles on serre la main : parce qu'ils sont du côté de ce que l'on considère comme le Bien sur cette rive-ci du Styx, leurs crimes ne leur seront pas comptés. Mais à celui qui traverse, à celui-là même qui se tient hésitant au milieu du fleuve, il ne sera rien pardonné, pas même de chercher la vérité : il n'aura pas atteint l'autre rive que déjà il aura franchi le Rubicon.

Galilée a dû se renier pour se sauver, et pourtant il avait raison. Si l'interdiction de recherche avait subsisté, croirait-on encore que la terre est au centre de tout ? D'autres ont été eux aussi emprisonnés pour leurs idées, mais ils se sont trompé s et on les a oubliés. Ils ne sont pas condamnables pour autant : si on veut ne jamais être dans l'erreur il ne faut rien chercher. Laissons donc le temps faire le tri de ceux qui ont tort et de ceux qui ont raison, mais laissons-lui les outils pour le faire. Refuser cela c'est faire du doute une hérésie.

Pour justifier l'Inquisition, je lis : « L'hérésie n'est pas seulement affaire de doctrine : elle est un crime global contre Dieu, les princes, la société — ce qui alors revient au même. Étant une rupture du lien social, la lutte contre l'hérésie est une question d'ordre public. » Faurisson menace-t-il vraiment l'ordre public ? Si la réponse est oui, alors le lien social est bien fragile...

Il y a deux mille ans est né celui qui allait être considéré par les siens comme un hérétique. « Heureux ceux qui croient sans avoir vu » a-t-il dit. Mais il n'a pas ajouté « maudits soient ceux qui doutent »... Jésus, lorsqu'il est ressuscité est apparu devant Saint Thomas qui n'en a pas crû ses yeux : il voulait toucher les preuves du doigt. Qu'a fait le Christ ? L' a-t-il injurié ? L'a-t-il mis au ban des humains ? S'il l'eut fait peut-être qu'aujourd'hui le monde chrétien ne serait pas ce qu'il est. Il lui a pris la main et lui a fait toucher ses plaies. Oui, c'était bien Jésus qui avait été cloué sur la croix. Et Thomas qui aurait pu devenir un négationniste de la résurrection est devenu un apôtre.

Faurisson est un Saint Thomas de l'ère moderne. Il a posé des questions et pour toute réponse on lui a cloué le bec, on l'a crucifié sur la place publique. Non, non, mon amie, ne me fais pas dire ce que je n'ai pas dit : Faurisson n'est pas le nouveau Christ mais ses bourreaux viennent des mêmes, de ceux qui ont peur du vacillement des dogmes sur lesquels reposent leur vision du monde. La bienveillance du Christ envers celui qui n'avait pas la foi a permis l'essor d'une religion qui permet le doute. A l'opposé de celle-ci et à l'opposé du paradigme sur laquelle elle repose, l'interdiction actuelle sera le fossoyeur d'une nouvelle religion dont le sacrifice fondateur n'était pas l'expression d'une volonté divine. Voilà donc deux raisons pour que la Shoah vienne rejoindre dans l'histoire et au même degré qu'eux les crimes hélas nombreux et banals de l'humanité contre elle-même.
 

Et une bonne raison de ne pas refuser de serrer la main de Faurisson.

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PS : puisque certains lecteurs ont jugé bon de me "dénoncer" pour thèses négationnistes et antisémitisme, je précise :

Je ne suis pas révisionniste, je ne suis pas non plus "exterminationniste", je ne suis rien du tout puisque je ne suis pas historienne.

Je suis une scientifique ; on ne peut pas tout faire et tout connaître, et je veux pouvoir avoir confiance en ce que font et disent les "spécialistes" chacun dans leur spécialité. Non que je pense qu'ils puissent tous avoir raison lorsqu'ils ne sont pas d'accord, mais que ce n'est que d'une loyale confrontation que peut émerger une vérité, même mouvante et imparfaite... Lorsque celle-ci devient rigide et obligatoire la porte s'ouvre sur le totalitarisme et celui que l'on voit émerger aujourd'hui est d'autant plus dangereux qu'il est insidieux, usant et abusant des moyens de propagande que la technologie met à sa disposition, permettant cette dictature soft et indolore dans laquelle nous nous trouvons.

Indolore sauf pour ceux qu'on anesthésie difficilement. Faurisson en fait partie, et qu'il ait raison ou tort n'est à ce jour pas mon propos : je ne connais pas assez ni ses thèses ni les thèses officielles pour en juger. Mais je ne supporte pas que pour toute réponse et pour tout argument il se fasse clouer le bec avec tous les moyens et toute la violence que le Pouvoir a à sa disposition.









 








 

The Holocaust Cartoons

In many parts of the world today, it has become illegal to make jokes about the Jewish propaganda surrounding the Holocaust.  Many people - from Canada, to Australia, to Germany, to England, to Austria, etc., ad nauseam - have been arrested and sent to jail for questioning any aspect concerning it.  Additionally, many other victims have suffered from other measures by the the Holocaust Enforcers - including some victims who were even beaten, murdered, had their homes burnt, etc. by these Holocaust-enforcing hate mongers.

Meanwhile, the press in Europe argues that "Free Speech" should be accepted by allowing people to ridicule Islam.  In actuality, it is illegal to make fun of the Jewish propaganda surrounding the Holocaust in Europe, yet it is all right to make fun of the tenets of Islam there.

And, at the same time in a display of similar hypocrisy, some in the American press condemn the attack on Islam - such as CNN - and yet this very same press has no problem displaying artwork that is vehemently anti-Christian in nature. 

Of course, again, whether in Europe or in America, the press never displays cartoons mocking Jews, particularly the Holocaust.  The hypocrisy never ends - often enforced by Big Brother's Thought Police who persecute those who question any aspect of Jewry and its propaganda.

A contest has been created by the Iranian press.  Twelve people who make the best cartoons about the Holocaust will each receive a gold coin.  If you have any cartoons to submit to the contest, please send them to this email address:
http://webmail.fuse.net/webedge/do/mail/message/mailto?to=Publications%40Hamshahri.Org   

To help offset this blatant hypocritical censorship employed by the media with respect to the Holocaust, some cartoons relating to the Holocaust-propaganda are shown below:

 

holocaust cartoon

holocaust cartoon

The Holocaust lobby may get the gullible and political sycophants to jump through their hoops, but the scholarly revisionists don't jump through loops for anyone

holocaust cartoon

The revisionist scholars are like a cool wind, slowly toppling the Jewish house of cards and exposing their lies

holocaust cartoon

The light of truth will eventually expose the Jewish propaganda surrounding the Holocaust, despite the terrorism, censorship, threats, hatred, and laws of the Holocaust-enforcing Thought Police

holocaust cartoon

The propaganda surrounding Auschwitz is like a sinking ship

How many people in foreign countries must be jailed - and how many people must be terrorized and persecuted by the Holocaust-enforcing Thought Police - before the average people recognize the Jewish propaganda?

The Holocaust Museum - a Jewish museum funded at non-Jewish tax payers' expense

The Jews' answer to offset the exposure of their propaganda - let's outlaw Free Speech!

holocaust cartoon

Never forget - the Jewish propaganda with which you've been indoctrinated

There's no business like Shoah (Holocaust) business, as the Jews say

The brutality of the Zionists has been much worse than the Nazis ever dreamt.  If there are Palestinian terrorists, it is only because the Israelis created them.

Well, you might not find videos at your local store that tell of the Zionist massacres, but you can watch an online video here for free about this.

The propaganda concerning the Holocaust keeps Israel afloat all right

Jews would have us believe that the swimming pool was filled with Zyklon-B

For exposing Jewish propaganda, Holocaust-enforcing Thought Police beat up senior citizen Prof. Faurisson.

Some still believe the Jewish propaganda that Jews were made into soap and lampshades!

Even today, there are Jews alive who say that the evil Nazis performed cruel experiments on them.  In reality, sixty years after WWII, with many of these people in their 80s and 90s now, it makes you wonder if the Nazis invented super-vitamins and exposed these Jews to them.

Is this what a Nazi homicidal gas chamber looked like?

The closest thing you'll find to a real homicidal gas chamber in Auschwitz.  (Despite American concentration camps for the Japanese having no plumbing, this wasn't the case with German concentration camps.)

Oh my gosh, a revisionist book was discovered.  The Thought Police must quickly put it in an incinerator before the crowd!

No holes ... and no traces of Zyklon-B either.

Wooden doors with large glass windows supposedly kept the inmates and the gas inside the fictitious homicidal gas chambers at Auschwitz.

We must put our brains outside of ourselves, if we want to appease the Thought Police.

We're expected to believe that the Nazis turned off the water and filled the lines with gas--among other nonsensical items better-called "Jewish propaganda."

Yes, there were wood-burning stoves to keep the inmates warm.  Jews somehow try to suggest that, even there, it's "proof" of these (fictitious) homicidal gas chambers.

The propaganda will be toppled any day now.


 

Here is what virtually all the Holocaust witnesses said:


The victims were pushed into the gas chamber


The door was closed and Zyklon B introduced.


There was a wait of a few minutes.


And when the door was opened,
"the still twitching victims fell into our arms...";
"five minutes later, the corpses were removed."



THAT IS IMPOSSIBLE!
Everyone would have been dead!
A room filled with Zyklon B gas has to be ventilated
for hours (the manufacturer recommends 20 hours!)...
even with gas masks it would not have been possible.
Do the same as I, inform yourselves!

 

Well, not really related to the Holocaust, but I thought it worth showing nevertheless:


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The Jewish propaganda surrounding the Holocaust is best left to comic book writers

 

It's been said that the author of Alice in Wonderland was on "magic mushrooms" while writing the tale; one wonders what type of psychedelic drugs the Jewish propagandists who conceived the fictitious tales of human-soap, human-lampshades, and homicidal gas chambers were on as well.

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