Le juif sioniste Libby
gracié par Bush |
Qui est Lewis Libby ?
Les
juifs qui
dirigent les USA
La philosophie de la fausseté
Qui est Lewis Libby ? George Bush a décidé, lundi 2 juillet 2007, de gracier l'ancien bras droit du vice-président Dick Cheney, Lewis Libby, condamné à deux ans et demi de prison pour parjure et obstruction à la justice. D´abord qui est Lewis Libby? De 1985 à 2000, Lewis Libby fut l’avocat de Marc Rich, un courtier milliardaire juif qui a échappé à la justice américaine en se réfugiant à Zug (Suisse). Selon des sources fiables, Rich serait le véritable « parrain » d’un réseau juif "russe" de mafieux et d’oligarques sionistes. Inculpé en 1983 aux Etats-Unis pour « commerce avec l’ennemi » (en l’occurrence l’Iran) et évasion fiscale, Rich encourait une peine de prison de 325 ans. Mais ces accusations ne représentent qu’une infime partie de la réalité. Avant de prendre la fuite, Marc Rich et son associé Pincus Green étaient déjà connus pour leurs violations des sanctions internationales, fournissant à l´ancien régime d´apartheid sud-africain du pétrole soviétique frappé d’embargo, en échange du monopole virtuel de certaines réserves de métaux précieux en Afrique et en Union soviétique. Pendant des décennies, le juif Rich détint le contrat exclusif de la commercialisation à l’étranger des métaux précieux soviétiques. Par cette filière, il se livrait à un trafic d’armes de grande ampleur, qui se serait poursuivi jusqu’à récemment encore, avec la collaboration d’un certain juif Viktor Bout, un gros trafiquant d’armes sur le « marché noir » russe qui a joué un rôle dans le scandale de corruption qui touche même Ariel Sharon. Rich est également connu pour avoir organisé l’immigration de certains membres de la mafia russe à Brooklyn (New York), à la faveur de la loi Jackson- Vanik, adoptée au milieu des années 70, facilitant l’émigration des Juifs soviétiques. A l’époque, de nombreux membres de la mafia "russe" se sont fait passer pour des Juifs afin de quitter le pays. Mais il y a bien plus dans le dossier Rich. En décembre 2000, le président sortant Bill Clinton décida de le gracier - décision très controversée pour laquelle il pourrait encore être poursuivi en justice. Or celui qui est en grande partie à l’origine de la décision de l’ancien président Clinton est Lewis Libby, le future adjoint de Dick Cheney en matière de sécurité, alors que ce dernier est incontestablement le principal porte-parole du courant juif impérial guerrier au sein des différents gouvernements américain. Libby était l’un des associés du cabinet juridique juif Dickstein Shapiro lorsque la défense de Marc Rich lui fut confiée au juif Leonard Garment, l’avocat de l’ancien président des Etats-Unis, Richard Nixon. Garment avait également aidé Ariel Sharon et ses alliés sur le plan légal, suite à l’arrestation en novembre 1985 de l´espion Jonathan Pollard, un juif "Américain" qui espionnait les Etats-Unis pour le compte d’Israël. Durant tout ce temps, Lewis Libby s’est occupé des affaires légales de Marc Rich, à l’exception des périodes où il faisait partie des gouvernements de Ronald Reagan et de George Bush père en tant qu’adjoint du juif Paul Wolfowitz, ancien numéro deux du Pentagone qui planifé la guerre contre l´Irak et l´Afganistan. Sous la direction du sioniste Cheney (alors secrétaire à la Défense) et de Wolfowitz, Libby a beaucoup contribué en 1992 à l’élaboration du « Guidance Document » du Pentagone, destiné à fixer un agenda géopolitique offensif et guerrier pour le contrôle juif sur l’Eurasie. Dans la tradition idéologiques sioniste du juif Vladimir Jabotinsky, aujourd´hui représenté par Benjamin Netanyahou, l´on promeut un « choc guerrier des civilisations » perpétuel devant commencer au Moyen-Orient par la suprimatie et la domination totale et écrasante d´Israël. Ce courant sioniste est un réseau qui a pénétré
en profondeur la bureaucratie civile e militaire
américaine autour du vice-président Dick
Cheney et du département d'Etat. Parmi les membres
les plus influents de cette cabale, on compte les
juifs: Paul Wolfowitz, Richard Perle, David Wurmser,
Doug Feith et John Bolton. Ainsi, Au risque de provoquer une tempête politique à Washington, George Bush a décidé, lundi 2 juillet 2007, de gracier l'ancien bras droit du vice-président Dick Cheney, Lewis Libby, condamné à deux ans et demi de prison pour parjure et obstruction à la justice dans le cadre de l'affaire Valerie Plame. "Je respecte le verdict du jury, mais je suis arrivé à la conclusion que la peine de prison infligée à M. Libby est excessive", a dit M. Bush dans un communiqué. "C'est pourquoi je commue la partie de la peine de M. Libby qui exige qu'il passe trente mois en prison", a-t-il dit. L'amende de 250 000 dollars et la mise à l'épreuve de deux ans infligées à M. Libby restent elles en vigueur. "Le vice-président soutient la décision du président", a indiqué dans la foulée une porte-parole de Dick Cheney. Les responsables démocrates au Congrès ont, eux, fait part de leur indignation, réprouvant une "décision scandaleuse". "Le principe d'une justice égale pour tous a subi un sérieux revers aujourd'hui", a estimé John Edwards, un des prétendants démocrates à la Maison Blanche. "Cela ne sert pas la justice", a renchéri la présidente de la Chambre des représentants, Nancy Pelosi. 72 % DES AMÉRICAINS OPPOSÉS À UNE GRÂCE Avec cette décision, le président américain n'hésite pas à prendre l'opinion à rebrousse-poil. Un sondage diffusé sur CNN indique que 72 % des Américains étaient opposés à toute mesure de grâce à l'égard de Lewis Libby. Lewis Libby, 56 ans, a été reconnu coupable en mars d'obstruction à la justice, faux témoignage et parjure, et condamné le 5 juin à deux ans et demi de prison et 250 000 dollars d'amende. L'affaire remonte à juillet 2003, quand la presse révèle que Valerie Plame, l'épouse du diplomate Joe Wilson, qui accusait l'administration Bush d'avoir exagéré la menace irakienne, est un agent de la CIA. Une telle révélation est un crime fédéral. Libby, qui n'a jamais été condamné pour la fuite à proprement parler, l'a été pour avoir fourni pendant l'enquête un récit inexact de ses conversations avec trois journalistes. George Bush s'était gardé jusqu'alors de dire comment il réagirait si Lewis Libby devait effectivement aller en prison, réservant sa décision jusqu'à l'épuisement des différents recours. Mais M. Bush avait exprimé à plusieurs reprises son soutien à Lewis Libby et à sa famille. Dans le communiqué publié lundi, il rend à nouveau hommage à M. Libby. Cependant, estime le président, la décision de le soustraire à la prison "ne supprime pas un dur châtiment pour M. Libby. La réputation qu'il a acquise au cours d'années au service du public (...) est à jamais ternie". L'opposition démocrate est déchaînée et la presse américaine très critique mardi après la décision du président George W. Bush d'épargner la prison à Lewis Libby, ex-responsable de la Maison-Blanche condamné pour avoir menti à la justice. Le président s'est défendu le 3 juillet
2007 devant la presse: «J'ai eu à prendre une décision
très difficile, j'ai attentivement soupesé cette
décision (...). J'ai pensé que le verdict du jury devait
rester en vigueur, j'ai pensé que la sanction était
sévère». Egalement, plus personne ne nie que la guerre en Irak est illégale
et n'a aucune base légale et aucune légitimté car tout le monde sait
que les fameuses armes de destruction massive que Saddam était censé
détenir étaient subitement devenues introuvables.
Les
juif qui Dans un article intitulé » les décideurs de l’empire », le Christian Science Monitor, journal à grand tirage américain, présente les 12 principaux membres juifs et pro sionistes du clan Bush. Ces membres ont une grande influence sur les politiques intérieures et extérieures du pays et ceci à tel point que même, les guerres et les coups d'État dans les quatre coins du monde ainsi que les discours des membres de l'administration Bush sont, tous, orchestrés par ces derniers.
De sorte que Bush ne
fait rien, sans leur autorisation. En tout cas, tous les événements,
survenus, à travers le monde entier reflètent d’une manière ou d’une
autre, les traces des Américains ; des événements tous coordonnés
par ce conseil de 12 membres. Voici ces 12 figures de proue : Irving Krisna, juif
Père du mouvement néo-conservateur américain, Irving Kristol fait partie des intellectuels new-yorkais, pour la plupart des immigrés juifs de l'Europe de l'Est. A la fin des décennies 30, il a poursuivi ses études à City Collège, à New York. Entre 1947 et 1952, il a été le rédacteur en chef de la revue, “Commentary". A la fin des décennies 60, ce libéral s'est joint aux rangs des néo-conservateurs, car les libéraux avaient des tendances anti-américanisme à son égard. Kristol père a écrit de nombreux articles, dans les publications telles que “The National intrest" et "The public intenes", articles dans lesquels peut-on lire les principes du néo-conservatisme américain. Par ailleurs, il a rédigé de nombreux ouvrages, y compris, "The Autobiagraphy of an idea, Neoconservatism".
Il est le père de
William Kristol, rédacteur en chef du " Standard weekly". Norman Podhoretz, juif
Podhoretz, théoricien du néo-conservatisme, écrit, pour le moment, dans divers domaines social, culturel et international. Entre 1990 et 1995, il était fondateur de la revue " Commentary". Contrairement à ses tendances politiques, dans les décennies 70, il a, aujourd'hui, rejoint, les rangs des libéraux. Il a rédigé de nombreux ouvrages, dont, "Breaking Ranks", dans lequel il a prétendu que la survie des Etats-Unis constitue une priorité de la stratégie militaire américaine. Podhoretz et sa femme, Midge Decter, qui est une critique sociale ont dirigé, à la fin des décennies 80, "le Comité sur le danger présent".
Le fils de Podhoretz
est le journaliste du "New York Post". Paul Wolfowitz, juif
Architecte de la guerre, en Irak, qui assumait, pendant trois ans, le poste de sous-Secrétaire américain à la Défense, Paul Wolfowitz a été désigné, en 2005, par le Président américain, George W Bush, en tant que Gouverneur de la Banque mondiale. Entre 1989 et 1993, en tant que conseiller politique du Secrétaire américain à la Défense, il dirigeait une équipe de 700 membres dont le devoir était de fonder la stratégie militaire américaine, à la fin de la guerre froide. Avec la collaboration de Lewis Libby, il a élaboré, en 1992, un plan, soutenant la maîtrise militaire, par l'Amérique de l'Euro-Asie et la lutte préliminaire contre les pays soupçonnés de produire des armes de destruction massive. La publication dudit plan dans la presse a suscité une réaction dubitative, et ceci à tel point qu'il a été forcé à passer en revue le texte. Après les événements du 11 septembre, la plupart des principaux membres de cette équipe ont assumé, en 2002, les postes-clés relatifs à la stratégie sécuritaire du pays. Lors de la guerre du Golfe persique, en 1991, Wolfowitz soutenait la thèse de la poursuite de la guerre, jusqu'au renversement du régime de Saddam.
Réputé du "Prince des ténèbres"¸ en raison de ses positions fermes dans le domaine de la sécurité nationale, Perl compte au nombre des néo-conservateurs de poids. Il est l'un des fondateurs du plan de "la destruction constructive", dont l'objectif est de reconstruire la structure du Proche-Orient. Il avait inséré des parties importantes de ce plan dans son rapport-clé, pour les présenter, ensuite, en 1996, au parti de la droite du Likoud. Il a contribué à la création du Centre de la police sécuritaire et de l'institut juif pour la sécurité nationale. Par ailleurs, il faisait partie de l'American Entreprise. Conseiller de la fondation anti-terroriste de la défense de la démocratie, il était l'un des responsables du quotidien " Jerusalem Post".
Le Département américain de la défense a annoncé que le numéro 3 du Pentagone, Douglas Feith, démissionnerait, cet été, de son poste de Sous-secrétaire américain à la Défense. Depuis l'arrivée de Bush au pouvoir, aux Etats-Unis, Feith était dans ce poste. Avant l'entrée au Pentagone, il était l'expert des questions moyen-orientales, entre 1981 et 1982, au conseil de la sécurité nationale. Il semblerait qu’il ait été partisan du parti de la droite israélienne du Likoud. Feith et son père collaboraient avec un mouvement sioniste, dans son pays natal, la Pologne où fils et père ont salué les efforts déployés par l’organisation de soutien au Likoud. En 1992, il était le vice-Président de la délégation des conseillers de l'institut juif de la sécurité nationale.
Libby est, pour l'heure, le directeur de cabinet du vice-Président américain Richard Cheney. Il a occupé plusieurs postes, dans l'administration Bush. Au cours du premier mandat de Bush, Libby était le sous Secrétaire américain à la Défense. Il était le co-fondateur du projet du "Nouveau siècle américain". Avec la collaboration de Paul Wolfowitz, de William Kristol et Robert Kagan, il a préparé un rapport, ayant pour thème " La réforme de la stratégie défensive des Etats-Unis d'Amérique, des forces et des ressources pour le nouveau siècle". EN 1992 où Cheney était le Secrétaire américain à la Défense, il a contribué à l'élaboration du plan controversé de Wolfowitz, ayant pour titre " Guide de la stratégie défensive". A l'heure actuelle, Libby est le conseiller du centre d'études de la Russie et de l'euro-Asie dans l'institution américaine de RAND.
Ancien Ambassadeur américain, auprès de l'ONU nommé en février 2005 et évincé plus tard à cause de l´opposition des démocrates qui dominent le congrès americain à sa politique. Si le Congrès confirme son nouveau poste, il sera chargé du Contrôle des Armements et la Sécurité Internationale. Avant l'entrée en fonction dans le département d'Etat américain, il était le vice-Président de l'entreprise des néo-conservateurs, occupant, par ailleurs, des postes, au sein des administrations Ray gun à l'époque de Reagan et Bush père. Parfois, Bolton présente des allégations qui ne sont guère confirmées par les organisations des renseignements. Dans une allocution, en mars dernier, il a prétendu que la Libye, la Syrie et Cuba avaient fait tout leur possible pour fabriquer des armes de destruction massive. Mais, la CIA et d'autres services secrets américains ont, vivement, rejeté, en juillet 2003 les allégations de Bolton sur les progrès de la Syrie en matière d'armements.
Elliot Abramz, est nommé, en 2005, le vice Conseiller de la sécurité nationale, chargé de la "promotion de la démocratie et des Droits de l'homme" (sic), en février 2005. Entre 2000 et 2005, il était le premier conseiller de l'administration Bush pour les questions du Proche-Orient. Le début de ses activités politiques remonte à ses collaborations avec le Sénateur "Henri Kissinger". Il a occupé plusieurs postes, au sein du département d'Etat américain, à l'époque de Reagan. Entre 1990 et 1996, il était le membre de l'institut de Hudson. Par ailleurs, il a assumé la présidence du Comité américain de la liberté internationale des religions. En 1991, il a été reconnu coupable pour avoir révélé certaines informations sur l’Iran, au sein du Congrès américain. Cependant, Bush père l'a amnistié, en 1992. Abramz épouse, en 1980, Rachel Decter, la fille de Podhoretz et Midge Decter.
Robert Kagan écrit dans le domaine de la stratégie des Etats-Unis et de la diplomatie américaine. C’est au printemps 1997 que les néo-conservateurs Robert Kagan et William Kristol ont fondé le « Projet du nouveau siècle américain ». En 1998, il a écrit une lettre controversée à l'adresse du président de l'époque, Bill Clinton, dans laquelle il a rappelé la nécessité du changement du régime irakien. Après avoir préparé, entre 1984 et 1985, les textes des discours du Secrétaire d' Etat américain, il a été recruté, en tant que haut fonctionnaire du département d'Etat américain.
Il était, également,
l'éditorialiste de Washington Post et a écrit des articles dans le
Standard Weekly. Michael Ladine, juif Michael Ladine est, dit-on, le plus radical des néo-conservateurs américains qui a eu des entretiens avec le haut conseiller de Bush à la politique extérieure, Karl Rove. Il est partisan du plan du changement du régime actuel iranien. En 2001, il a fondé la fondation pour la démocratie en Iran. Faisant partie du clan Reagan, il était le conseiller du Secrétaire d'Etat américain. Il coopère, pour l'heure, avec Richard Perl. Par ailleurs, il était un des fondateurs de l'institut juif aux affaires de la sécurité nationale. Entre 1975 et 1977, il collaborait avec la revue "New Republica" et il était l'éditorialiste du trimestriel " Washington".
Il a, également,
écrit le livre de la Guerre contre la terreur dans lequel il a
soutenu le changement des régimes irakien, syrien et saoudien.
William Kristol est le fils du "père du néo-conservatisme", Irving Kristol. Il est, a l'heure actuelle, le Président du "Projet pour le Nouveau Siècle Américain" et rédacteur en chef du "Standard Weekly". Il a commencé ses activités politiques, avec le Sénateur Henri Kissinger. Il a changé sa ligne de conduite, en se rangeant aux côtés des Républicains. En 1991, Il a apporté son soutien au changement du régime de Saddam. Avec la collaboration de Lawrence Kaplan, il a rédigé le livre « La guerre contre l’Irak : tyrannie de Saddam et mission de l'Amérique".
Il est, par
ailleurs, le membre de la mission des conseillers de la Fondation de
la défense des démocraties. Frank Jaffney, juif Il est le fondateur du Centre pour la politique de sécurité dont l'objectif est de maintenir la paix mondiale par la puissance américaine. En 1987, il a été nommé l'adjoint au Secrétaire américain à la Défense, chargé du contrôle d'armements et de la sécurité internationale, sous Reagan. Il collabore, de temps en temps, avec le Washington Times, le quotidien Defence News et le Business Investors. Rappelons qu'il est le membre du Conseil de rédaction des publications électroniques, telles que : » Jewishworldreview.com", "National Review Online" et "worldDaily.com", qui ont des tendances pro sionistes. De même, il est l'un des 25 néo-conservateurs qui contribuent à élaborer le Projet pour le Nouveau Siècle Américain.
Les mensonges des
néocons juifs Conformément à l’observation célèbre d’I.
F. Stone, tous les gouvernements mentent. Mais certains mentent plus
que d’autres. Ainsi, le régime néocon de Bush nous sert des
énormités, tous les jours, au petit déjeuner. |