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[17] (p. 181-190)
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Il est excellent que M. Faulkner, Mlle Baum, M. Cohen, M. Lévy, M. Juif Genialsten, copient à longueur de carrière triomphale plagient, fouillent, démarquent nos plus chenus éculés naturalistes, nous les rebèctent au goût "tough" américain sec. Ils ne peuvent que gagner à tous les coups .. et la cause juive avec eux. Nos juifs du théâtre d'ici et d'ailleurs ne font jamais autre chose que de démarquer, piller, revendre tous les folklores et les classiques des pays qu'ils dévastent. Ils s'en portent admirablement. La foule des universels cocus indigènes, fonce en trombe à tous leurs guichets, ravie et suppliante. On lui revend fort cher, à la foule aryenne des copies de son patrimoine, bien conchiées, souillées, salopées de toutes les façons... Mais c'est un nougat fantastique!... Le con devenu or!... Tout ça par l'entr'aide juive... le racisme. le culot et la publicité. La critique ne pipe jamais, il ferait beau voir! Quelle virée instantanée! irréparable! Non seulement elle encaisse tout, mais elle exulte à tous les coups! Elle reluit! Elle porte aux nues, au paradis, les supercheries les plus rances, les impostures les plus dégueulasses. Le Français lui, ne reconnaît jamais son bien. Il a tout oublié tout son patrimoine. Il n'a d'yeux et de coeur que pour son petit 4 pour 100! que les Juifs étouffent aussi d'ailleurs, par la même aubaine. Il fait sous lui le Français, de toute sa tête, de tous ses boyaux, de tout son pognon... Lui toujours si avare, ne peut plus rien garder. Ce n'est plus un homme, c'est un véritable cadeau... Miracle juif! Il [182] rachète ses propres tripes au juif. Shylock revend à Ducon sa propre livre de barbaque, après l'avoir bien salopée, pressurée, bien fait rendre tout le jus, et puis enduite, farcie de glaires et de merde juive. Ducon délire de gratitude, c'est le plus beau de l'aventure. (Grande victoire des coucous sur les cocus.) Durand fait le jeu des Juifs, tout ce qui peut encore mieux l'abrutir, l'invertir, le pervertir plus profondément, gâcher sa sensibilité, fausser son jugement, et surtout son rythme émotif, Durand l'adule... La critique?... On ne lui trouve qu'une seule voix, mais quels accents! pour louanger, encenser, porter aux nues tout ce qui facilite, prépare, achève l'imbibition des masses par ces saloperies, les chiasses publicitaires juives.
C'est elle qui plante tous les jalons, qui fignole toutes les étapes de la conquête mondiale juive, âmes, biens et viandes. A part rarissimes exception, des enfants de choeur bien enculés. Messieurs les youtres, les semi-nègres, vous êtes nos dieux!
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Pourquoi M. Martin du Gard
vient-il de remporter
le Prix Nobel?parce qu'il a très bien parlé
de l'affaire Dreyfus dans ses livres.
(Voir Univers Israélite, 3 décembre.)
Une bonne standardisation littéraire internationale, bien
avilissante, bien ahurissante, viendrait en ce moment fort à
point, parachever l'oeuvre d'insensibilisation, de nivellement
artistique que les Juifs ont parfaitement accomplie déjà
dans la peinture, la musique et le cinéma. Ainsi le cycle
de la robotisation internationale des esprits serait chose parfaite.
Le serpent juif, comme dans les oracles, aurait enfin fait le
tour de la terre et tout dilacéré, englué,
perverti, charognisé sur son passage, à la sauce
bien entendu démagogique, pacificatrice, édifianto-progressiste,
affranchissante, franc-maçonne ,soviétique et salutiste.
Le Juif ne redoute en ce monde que l'authentique émotion,
spontanée, rythmée, sur les éléments
naturels. Tout travail non frelaté, non putinisé
jusqu'au tréfonds, jusqu'aux suprêmes cordes, provoque
chez le Juif, les réactions les plus farouches de défense.
Il y flaire immédiatement sa perte, tout le châtiment
de son cosmique effroyable battage, de la phénoménale,
cataclysmique imposture juive. Le Juif se gare de l'authentique
comme le serpent de la mangouste. Le serpent sait bien que la
mangouste ne rigole pas, qu'elle l'étrangle, à coup
sûr... L'authentique, seule balance pour peser le Juif à
son poids d'ordure et de supercherie.
Piller, voler, pervertir, abrutir, polluer, saigner tout ce qu'il rencontre, pudeur, musique, rythme, valeur, c'est le don du Juif, son antique raison d'être. Egypte, Rome, Monarchies, Russie, demain nous autres, tout y passe. Il macère la moindre des [184] littératures comme les plus grands empires, même " Art et Taichnique", à la satanerie, aux venins, aux plagiats, aux incantations, aux escroqueries de mille sortes. Dix mille poisons divers pour toutes les oeuvres de mort comme certains crapauds. Il n'a guère le Juif, d'autre talent, mais celui-là, il le possède jusqu'à la racine du prépuce. Le plus obtus, le plus glaireux, le plus gaffeur des Juifs possède quand même ultimement ce sens d'alerte pour tout ce qu'il peut saisir, ce qui doit entrer dans ses cordes, culbuter dans sa tinette, à pourrir avec ses autres rapines, dans sa cuve aux maléfices.
Le reste, tout ce qu'il ne peut absorber, pervertir, déglutir, saloper standardiser, doit disparaître. C'est le plus simple. Il le décrète. Les banques exécutent. Pour le monde robot qu'on nous prépare, il suffira de quelques articles, reproductions à l'infini, fades simulacres, cartonnages inoffensifs, romans, voitures, pommes, professeurs, généraux, vedettes, pissotières tendancieuses, le tout standard, avec énormément de tam-tam d'imposture et de snobisme La camelote universelle, en somme, bruyante, juive et infecte... Le Juif tient tous les gouvernements, il commande toutes les machines à standardiser, il possède tous les câbles, tous les courants, demain tous les Robots.
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Que voulez-vous que j'espère
parmi ces coeurs
abâtardis, sinon de voir mon livre jeté aux ordures.
D'Aubigné.
Le Standard en toutes choses, c'est la panacée du Juif.
Plus aucune révolte à redouter des individus pré-robotiques,
que nous sommes, nos meubles, romans, films, voitures, langage,
l'immense majorité des populations modernes sont déjà
standardisés. La civilisation moderne c'est la standardisation
totale, âmes et corps sous le Juif. Les idoles "standard",
nées de la publicité juive, ne peuvent jamais être
redoutables pour le pouvoir juif. Jamais idoles, à vrai
dire, ne furent aussi fragiles, aussi friables, plus facilement
et définitivement oubliables, dans un instant de défaveur.
L'adulation des foules est au commandement du Juif.
Idoles politiques, scientifiques, artistiques, etc., manigancées par les Juifs de toutes pièces. Toutes ces vedettes, scénaristes, musiciens, modernes, de la moderne pacotille, tous démarqueurs, pilleurs (de folklores et de classiques), à qui mieux mieux, angoissés de bluffer et de plaire et de mentir, putassiers jusqu'aux fibres, se créent, se détruisent, s'effacent absolument au moindre gré de l'or et de la publicité du moment. Ces prétendus immenses créateurs ne sont qu'autant de fantoches imbéciles, virtuoses ventriloques, juifs ou pas, que leurs maîtres, les potentats de la haute juiverie, les Sages, laissent parader, pirouetter, à travers le monde pour l'ahurissement, l'anesthésie des avilis colonisés, de leurs nègres à rebours. Jusqu'au moment où, las de leurs grimaces, ils leur coupent net toutes les ficelles, où ces petites ordures refilent net au néant. Cela ne cause même pas un vide, il n'y avait rien. [186] Les auteurs de faux, de camelote, de factice, de bigophoneries modernes, tout l'art moderne, en truquages sur-réalisés, fignolés, sauce drame, humour ou rigolade, ne seront jamais redoutables pour leurs maîtres tyrans juifs. Strictement dénués de toute émotion directe, chantante ces clowns ne peuvent rien éveiller, déclencher de dangereux dans les masses. Ce ne seront jamais que des employés, des larbins de pouvoir, lèche-culs, esclaves suceurs du despotisme juif. Pour tel de ces pitres venant à crever, cent aussitôt se précipitent pour farcer à sa place, plus lâches, plus serviles, plus ignobles si possible... Les grands lupanars d'arts modernes, les immenses clans hollywoodiens, toutes les sous-galères de l'art robot, ne manqueront jamais de ces saltimbanques dépravés... Le recrutement est infini. Le lecteur moyen, l'amateur rafignolesque, le snob cocktailien, le public enfin, la horde abjecte cinéphage, les abrutis-radios, les fanatiques envedettés, cet international prodigieux, glapissant, grouillement de jobards ivrognes et cocus, constitue la base piétinable à travers villes et continents, l'humus magnifique le terreau miraculeux, dans lequel les merdes juives publicitaires vont resplendir, séduire, ensorceler comme jamais. Le public moderne dégoûté soigneusement par la science, l'objectivisme et le Juif de toute authentique émotion, inverti jusqu'aux moelles, ne demande qu'à se régaler de merde juive...
A l'appel, au battage (le sémite, nègre en réalité, n'est qu'une perpétuelle brute en tam-tam), la foule aryenne rapplique frémissante, elle déleste de tout son pognon, pour mieux sauter, elle engage tout pour mieux jouir juif, se vautrer juif, se pourrir Juif, sa tête, sa viande, son âme et toute sa connerie. Elle se donne. Elle se damne. La foule aryenne ne croit plus que les affiches des politiciens et des cinémas juifs, les journaux et comptes rendus de films et les critiques d'art, tous juifs.
Par contre, tout le reste lui semble entièrement conventionnel, odieusement fabriqué, ratiocineur, grossier, vulgaire, cabotin.
Jamais domestiques, jamais esclaves ne furent en vérité si totalement, intimement asservis, invertis corps et âmes, d'une façon si dévotieuse, si suppliante.
Rome? En comparaison?... Mais un empire du petit bonheur! une Thélème philosophique! Le Moyen Age?... L'Inquisition?... Berquinades! Epoques libres! d'intense débraillé! d'effréné libre arbitre! le duc d'Albe? Pizarro? Cromwell? Des artistes!
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Dans tous les tonnerres, les fracas du grand charabia
communiste, socialo-confusionniste, un seul cri du coeur,
une seule furie! Tout pour les youtres et mort aux goyes!
Ça n'allait déjà pas très fort dans
le Royaume des Beaux-Arts, depuis la Renaissance, ce grand triomphe
du "chantez-faux"! Nous allions, tout désemparés,
copieusement enjuivés, négrifiés déjà,
de salsifis en fausses lanternes, mais à présent
nous basculons définitivement dans la merde, nous voici
tombés, déchus au sous-rang des sous-prousteries,
dans l'invertébré, l'insensible à force de
bourgètes analyses, de discipleries, d'objectivisme désinvolte,
de "plus près des faits et des causes", de scientificologie
émasculante, de jacasseries effrontées, de scénarios
superbranleurs, à l'immense débâcle spirituelle,
organique, aux grandes averses de mufleries, à l'écroulement
confusionniste, au déluge juif, communisard, prédicant,
à l'arche juive, la prison juive, c'est-à-dire tout
prêts à flotter sur l'océan des meurtres juifs.
Le Ranz des Robots... Vous n'entendez rien, Monsieur l'Evêque
Turpin?...
Non! Non! Ce sont des âmes qui passent dans les airs sur ces vapeurs de flammes...
L'immense astuce des Juifs consiste à enlever progressivement aux foules à standardiser tout goût pour l'authentique et puis aux artistes autochtones toute possibilité d'exprimer, de communiquer leur sensibilité à leurs frères de race, de réveiller chez eux quelque authentique émotion. Les Juifs revanche des Abyssins! ont inverti le goût des blancs, à ce point, si profondément, que les Français préfèrent à présent le faux à l'authentique, la grimace à la sensibilité, à l'émotion directe le mimétisme imbécile. Les temps ne sont [188] pas éloignés où les Français rougiront de Couperin. La musique moderne n'est qu'un tam-tam en transition... C est le nègre juif qui nous tâte pour savoir à quel point nous sommes dégénérés et pourris, notre sensibilité aryenne négrifiée... Alors tous les nègres juifs, nous ayant robotisés, nous refileront uniquement des camelotes de traite, stakhanovisées, bien assez bonnes pour nos sales viandes d'esclaves. (Voir Russie.)
A partir de ce moment, de la parfaite réalisation de tous ces grands desseins, les Juifs pourront jouir tout à fait tranquilles de leur omnipotence. Ils tiendront le monde entier, par la police et par l'or, en esclavage absolu. Nous reviendrons aux grands pharaons juifs. Nous ne serons plus sous les pieds des Juifs qu'une intense pullulation de bêtes butées, bâtées de pancartes.
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Le négociant chrétien fait seul son commerce, chaque
maison
est en quelque sorte isolée, tandis que les Juifs, ce sont
des
particules de vif-argent, à la moindre pente, ils se réunissent
en bloc.
(Requête de six corps de marchands à Louis XV.)
Il n'est pas inutile de revenir sur ce sujet. Nous disions qu'au départ, tout article à "standardiser": vedette, écrivain, musicien, politicien, soutien-gorge, cosmétique, purgatif, doit être essentiellement, avant tout, typiquement médiocre. Condition absolue. Pour s'imposer au goût, à l'admiration des foules les plus abruties, des spectateurs, des électeurs les plus mélasseux, des plus stupides avaleurs de sornettes, des plus cons jobardeurs frénétiques du Progrès, l'article à lancer doit être encore plus con, plus méprisable qu'eux tous à la fois. Cette espèce de crétins scientificolâtres, matérialistiques, "cosy-cornériens", prolifie, pullule depuis la Renaissance... Ils se feraient tuer pour le Palais de la Découverte. Quant aux productions littéraires "standardisables", désirées par ces néo-brutes, pires, bien moins artistes (mille preuves) que les Cromagnons, les "chefs-d'oeuvre" anglo-saxons modernes en représentent assez bien l'atterrant niveau. Qu'est-il de plus abusif en fait de prédicante connerie, à part les films, qu'un roman anglais très prétentieusement littéraire, dans le genre de Lawrence? ou tout autre genre?... Hardy, Chesterton, Lewis et là suite? Je vous le demande?... De plus fabriqué, de plus vain, bêtement bêlant?... de plus sottement vicelard? gaffeusement "tranche de vie"? cahotique par impuissance, que les Dos-Passos, les Faulkner, les Cohen et complices?... Fadasseries "montées force", outrances gratuites "montées délires", ressassages de nos plus désuets naturalistes, des plus cartonnées, des plus éculées "mea âneries", resservies, travesties, "sauce gangster"?... encore et encore...
[190] Je les connais un petit peu tous ces personnages éminents de l'art hébraïque anglo-saxon, "damnés" de Bloomsbury, néo-murgériens du "Village", la plus foutue clique en vérité de petits larbins de Juifs, imposteurs esthétiformes qui se puisse imaginer... le plus éculé brelan de mystifiants petits fantoches cocaino-littéraires rassemblé à baver, tortiller, sous la calotte des juives pissotières de copies. Tous ces délicats transis, à la "Wilde". tous ces petits derviches maquillés "Frankenstein" ne persistent dans leur pitrerie. façon "lyrisme", ou façon "puissance" que par l'outrecuidance, par l'énormité des publicités juives, la jobardise croulante des snobs aryens. Voici les clowns pourris de notre débâcle, les fossoyeurs pédérastes de l'époque aryenne.
Ce texte comporte les pages 181-190 du pamphlet de Louis-Ferdinand Céline, intitulé Bagatelles pour un massacre. Le "massacre", dans la pensée de l'auteur, est évidemment celui qu'il prévoit, en 1937, comme ce qui arriverait s'il éclatait une deuxième guerre mondiale.
Contrairement à la rumeur, les pamphlets ne sont pas interdit par des lois, des règlements ou des tribunaux. Ils n'ont pas été réédités par des maisons d'édition ayant pignon sur rue parce que l'auteur, revenu en France, voulait pouvoir vendre les livres qu'il écrivait alors pour gagner sa pitance. Cette mesure d'opportunité n'a plus lieu d'être après la disparition de l'auteur, en 1961. Personne n'a la droit de soustraire à la légitime curiosité des générations suivantes ce qui a été le noyau incandescent de la littérature française vers le milieu du vingtième siècle.
Le texte ici reproduit est celui d'une édition probablement pirate. Les détenteurs d'une éditions réellement authentique voudront bien nous signaler les éventuelles différences.
D'autres groupes de 10 pages suivront.
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