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[20] (p. 211-220)
[211] déclassées..." chers cocus? "la coordination des efforts?... l'allégement des souffrances?...". La "déjudaisation"?... Tendez le poing!... Allons encore une bonne fois!... Le signe de croix juif! Comme dans les synagogues, comme Place de la Nation! pour l'âme de Mr. Warburg... Pour sa félicité complète! Mon cher veau!... Les enfants Warburg ont les yeux sur vous!.,. ainsi que MM. Barush... Loeb... Hanauer... Brandès... Samuel... Belisha... Kaganovitch... Rothschild... Blum... et sa sainteté même le Pape... "déjudaisé"... comme vous dites.
[212]
C'est un commandement
pour tout Juif de s'efforcer d'anéantir
tout ce qui touche à l'Eglise chrétienne et ceux
qui la servent.
Le Christ est le fils d'une Prostituée. Il est Ben Pendera,
c'est-à-dire le fils d'une bête lubrique.
Le Talmud.
Toujours dans l' "Univers Israélite" (25 juin
1937):
«Où va l'Europe sans les Esprits Judéo-Chrétiens. Conférence du R. P. Dieux (superbe!), Théâtre des Ambassadeurs. Dieux ne nous l'envoie pas dire... :
«Entre Chrétiens et Juifs aucune divergence... Israël a souffert pour répandre dans le monde la conception de Dieu, la plus belle... la plus pure... la plus noble..." Vive la Bible... Nom de Dieux! Et l'auteur cite André Gode (textuel) sur l'indignité de l'homme en U. R. S. S... plus loin, Dieux ajoute...: "Le Pape et les représentants qualifiés du Protestantisme et du Judaïsme ont solennellement condamné le racisme (tu penses!), les simples citoyens doivent suivre cet exemple... Mais, à elle seule aucune compression n'est assez puissante pour entreprendre une lutte efficace. C'est pourquoi il faut organiser le Front Judéo-Chrétien (Front populaire céleste en somme) pour la défense de la liberté"...
"Deux spectres doivent rester du passé: l'antisémitisme et l'antichristianisme, parce que l'antisémitisme est le premier chapitre de l'antichristianisme. Déjà, un peu partout, les croyants de toutes les professions s'associent. Les rabbins de France protestent contre la persécution des catholiques en Espagne, et chez les Juifs on commence à comprendre la grandeur de Jésus... Le grand événement de l'avenir, ce sera la rencontre de tous les [213] fils de la Bible et de l'Evangile... Mais en attendant ce jour lointain, pour sauver la Paix, la civilisation et la Révélation, il faut nous tendre la main", conclut l'orateur sous les chaleureux applaudissements du public..."
Nous ne rêvons pas... Ce "Dieux" au pluriel, est sûrement franc-maçon... et plus sûrement encore Juif comme le Pape... Et puis comble! le diable est partout! le compte rendu de cette séance est signé: Mandel.
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Je ne voudrais point malgré tout pour autant que mon simple avis ait une importance quelconque, faire du chagrin autour de moi... Il se trouve toujours quelques héros, parmi tant de velléitaires, enculomanes, pluriproustiens, gidois bordeauxlaids... Leur mérite est d'autant plus immense dans un pays où le lecteur, acheteur, se révèle en définitive tout aussi rare, clairsemé, invraisemblable, que la grouse furtivole aux Buttes-Chaumont. Voici donc une phalange bien stoïque, allant toujours s'amenuisant, s'effritant chaque jour davantage, toute succombante aux basses besognes de journalisme et de radio. Rivée par les youtres à la galère des litanies juives pour masses ivrognes...
D'autre part, je le dis de suite, il serait erroné de croire que je me prends pour un modèle, que je voudrais qu'on me copie!... Bien sûr j'ai ma petite musique, ceux qui peuvent en dire autant ne sont pas encore si nombreux par les temps qui courent... Ils deviennent même, à cause de la mécanique, de la fatigue cérébrale, du frénétique châtrage objectiviste, de plus en plus rares. Cela m'empêche d'être jaloux... C'est pour les autres la jalousie. Ce serait inepte de ma part... Je râle par principe. C'est tout. Je n'aime pas voilà, les défis, l'imposture, les faux blases. Tous ces gens qui installent, me choquent et m'excèdent. J'ai le droit. Je sais nettement que l'art Gidien après l'art Wildien, après l'art Proustien, font partie de l'implacable continuité du programme juif. [215] Amener tous les goyes à bien s'enculer. Pourrir soigneusement leur élite, leur bourgeoisie par l'apologie de toutes les inversions, les snobismes, les vanités, les énerver, les gangrener, les ridiculiser de telle manière qu'à la moindre secousse du prolétariat que les Juifs auront parfaitement, méticuleusement dopé d'avance, farci de haine et d'envie, cette prétendue élite, bascule tout au fond de son cloaque. Une bonne chasse au sang, et tout sera dit!... emporté dans l'égout!... un vertige!...
Revenons à ce qui me concerne humblement. Je ne force personne d'acheter mes livres. Toute la critique est bien en quart, à la porte de chaque librairie pour empêcher qu'on m'achète. Le lecteur éventuel se trouve soigneusement prévenu, la critique bien enjuivée (de droite comme de gauche, je répète) extrêmement virulente pour débiner ma camelote. Même les libraires me sont hostiles en majorité. Ils ont leurs goûts à eux, des goûts de Français bien rétrécis... ils déplorent... les sales cocus! Ah! Si j'avais voulu hurler avec les "émancipateurs", comme cela me fut tant de fois proposé! Huit jours encore avant "Mort à Crédit" pas un seul journal de la "gôche" qui ne soit venu par envoyé spécial, me passer une petite liche bien fourrée.. m'offrir ses colonnes et à quels prix!... Huit jours plus tard quel déluge! Ah! les saloperies fumières! .. Ah! comme ils sont tous vils et fiotes! Comme Gide a bien fait, Nom de Dieu, de bien tous les enculer! Je veux bien moi qu'on m'achète plus. Je connais deux cents autres manières et des bien moins fatigantes pour trouver mon b_uf... Tous ces bigleux mangeront de la merde que je me taperai des vraies grives encore. Ah! si j'avais hurlé comme eux, comment qu'ils m'auraient trouvé beau! un Lion! Prophétique messager! Insurpassable! Ah! qu'ils m'auraient intitulé: Une des Voix du Monde!... Ah! s'ils peuvent courir vraiment aussi vite que je les emmerde comme ils vont le gagner le Grand Prix! Quelle importance ces misères ? je déraille!... J'ai quelques confrères admirables, je ne les cite pas tous, je ne veux pas leur faire du tort. Tenez Siménon des "Pitard", on devrait en parler tous les jours! Marcel Aymé réussit le conte mieux que Maupassant. Les "Conquérants" de Malraux, pour autant que j'en puisse juger, voici du chef-d'_uvre! Evidemment a présent la presse juive "l'engénise" à perte de souffle. Ce sont les horreurs du métier. Elie Faure, bien qu'à mi-youtre, si franc-maçon me passionne, sauf quand il parle d'amour, alors il déconne à pleine bourre, il se met [216] à peser d'un seul coup plusieurs tonnes de merde gaffeuse, comme presque tous les enjuivés lancés dans le sentiment. Je me ferais mourir pour Lenôtre .
Dabit de la "Villa Oasis" si peu remarquée.. Morand (quand il essaye pas de faire du roman, de l'émotion) me paraît être le modèle de tout vigoureux écrivain du genre. Et Mac Orlan! Il avait tout prévu, tout mis en musique, trente ans d'avance. J'aurais chez moi, si je pouvais, tous les "Dessins animés". C'est vous dire que je suis bignolle, pas délicat pour un rond... Je veux bien (voyez-vous ça) de tous les genres, aucun ne me semble inférieur, à condition que la matière soit organique et organisée, que le sang circule, partout, autour et dedans à partir du c_ur, respire avec les poumons, tienne debout, en somme, que le truc tourne avec un point de catalyse bien vivant, le plus vivant possible, insupportable! au centre bien caché. bien scellé, au tréfonds de la viande, qu'on ne me trompe pas que cela palpite qu'on ne me vante pas tel pauvre cadavre en froufrous babillards... Tous ces tricheurs pourris, ces velléitaires genre "génie", ces inorganiques me font rendre. Je donnerais tous les Proust de la terre et d'une autre encore pour "Brigadier vous avez raison", pour deux chansons d'Aristide. Si l'on se met à délirer il faut vraiment avoir la fièvre... faut pas faire semblant!... J'aime encore mieux Claude Farrère que douze ou treize faux-monnayeurs. Pour mon petit personnel je dois beaucoup à Barbusse, à Daudet du "Rêve éveillé". Vlaminck me semble parmi les peintres celui qui se rapproche le plus de mon idéal avec Gen Paul et Mahé... Il ne faut pas imaginer que tous ces gens-là sont des potes ou le furent... Ce serait une erreur fatale! Peut-être sans doute qu'ils me détestent ou me détestaient de leur garce vivant. La plupart, je les ai jamais vus. Je tiens pas du tout à les voir, ni à leur plaire, au contraire, ce sont les coiffeurs de la vie, qui tiennent toujours beaucoup à plaire, les putains. Plus on est haï, je trouve, plus on est tranquille... Ça simplifie beaucoup les choses, c'est plus la peine d'être poli, je ne tiens pas du tout à être aimé... Je n'ai pas besoin de "tendresse"... C'est toujours les pires saloperies de l'existence que j'ai entendu soupirer après les "tendraîsses"... C'est ainsi qu'ils se rassurent. C'est comme l'honnêteté, la probité, la vertu... Quels sont les murs au monde qui entendent le plus parler de ces choses-là?... Ce sont les murs d'un cabinet de Juge d'instruction... Quelles sont les arènes où l'on vocifère maximum au nom de toutes les [217] Libertés? de la France aux Français? de l'abolition des injustices et des privilèges?... Dans les arènes du Communisme pleines à craquer de Juifs délirants de racisme et de voracité. C'est pesé! Chers fauves, arrivez donc me déchirer tous ces veaux!...
Revenons à nos gais moutons... Je digresse comme une vieille chaisière. Question de "littérature" je ne me donne donc pas pour modèle, nenni! On m'a énormément copié, certes, sans rien dire! rien divulguer, c'était fatal... Ici et là, un peu partout et dans bien d'autres pays... Ceux qui me copient m'abominent forcément, m'éreintent dès qu'ils peuvent, plus que tous les autres à la fois. Je suis le papa de bien des petits enfants, à maigres couillettes, qui font à mes frais les petits farauds, les petits inspirés, les petits fiévreux prophètes, d'une petite "sauterie" dans une autre à droite, au centre et surtout à gauche. Je ne veux pas les déranger, je suis discret par nature, les papas savent bien qu'il faut s'effacer, que c'est le plaisir des enfants de faire leurs petits crâneurs... Je veux pas les déranger, m'amener en trouble-fête... J'ai même pour eux, je l'avoue, une petite tendresse bien compréhensible... Je voudrais pouvoir leur passer un petit peu de glycéro-phosphate, qu'ils se renforcent un peu les os... une armature plus solide... En général, ils sont mous, ils puent le lycée, le babillage, la branlette, le c_ur leur manque. Ils me font de là peine à regarder... Pour un peu je les renierais. C'est malheureux, en fait, en somme, qu'ils aient pas plutôt continué à écrire poli "goncourtien"... Ça vient tout seul chez les mufles, ce genre goncourtien. Tous les gens polis sont des mufles. Pas plus poli qu'un bourreau... Quand on a pris le temps d'étudier si bien l'adjectif convenable, au moment qu'il monte à la plume, c'est qu'on est sec comme un coup de trique. Croyez-moi j'ai fait souvent l'expérience. Notre belle littérature néo-classique, goncourtienne et proustophile n'est qu'un immense parterre de mufleries desséchées, une dune infinie d'osselets frétillants. Pour bien réussir dans le franc grossier, l'émotion directe, il ne suffit pas, ce serait trop facile, d'invoquer la merde chaque fois qu'on se trouve à court. Tels romantiques et classiques dès qu'ils se sentaient bafouilleux, fourvoyés un petit peu en traître terrain, prenaient à rescousse Dieu le père! l'imposaient aussitôt. Ficelles! silence! et vénération! Pour bien donner au "vulgaire" il est tout à fait impérieux que tout d'instinct vous en retienne, que tout vous éloigne... et c'est le paradoxe, des vautreries ordurières... des abandons lâches du commun... de la matière morte en [218] somme... de tout le rebut en un mot... Que tout vous rappelle au contraire despotiquement à la vie, au fluide, à la danse.
La grossièreté n'est supportable qu'en langage parlé, vivant, et rien n'est plus difficile que de diriger, dominer, transposer la langue parlée, le langage émotif, le seul sincère, le langage usuel, en langue écrite, de le fixer sans le tuer.. Essayez... Voici la terrible "technique" où la plupart des écrivains s'effondrent, mille fois plus ardue que l'écriture dite "artiste" ou "dépouillée", "standard" moulée, maniérée, que l'on apprend branleux en grammaire de l'école. Rictus, que l'on cite toujours, n'y réussissait pas toujours, loin de là! Force lui était de recourir aux élisions, abréviations, apostrophes Tricheries! Le maître du genre, c'est Villon, sans conteste. Montaigne, plein de prétentions à cet égard, écrit tout juste à l'opposé, en juif, semeur d'arabesques, presque du "France" avant la lettre, du Pré-Proust...
Dès qu'on se sent un peu "commun" dans la fibre et l'intimité, le mieux, de beaucoup, sans conteste, c'est de se vouer aux bonnes manières, de faire carrière en "dépouillerie " en élégante concision, sobriété délicate, finement tremblotante, colettisme. Tous les "parfaits styles" dès lors vous appartiennent avec plus ou moins de petit doigt, lon-laire I
Plus rien à craindre de vos élans!... Vous ne serez jamais découvert, le monde, si bourbeux, si porc, tellement irrémédiablement bas du cul, ses "chiots" toujours si près des talons, ne se torche que de papillottes, pasteurisées... Toute sa distinction!... La seule à vrai dire. Pour cette raison et nulle autre, vous observerez que les dames s'effarent et se déconcertent, interpellées en durs propos, tressaillent des moindres grossièretés. Elles toujours si près du balai, toujours si boniches par nature, dès qu'elles écrivent, c'est au plus précieux, au plus raffiné, aux orchidées qu'elles s'accordent... Elles n'empruntent qu'à Musset, Marivaux, Noailles, ou Racine leurs séductions, leurs travestis. Supposons qu'elles se laissent aller... quel déballage! une minute! Jugement de Dieu!... Ce serait alors vraiment la fin du monde! Écrire pourtant de cul de bite, de merde, en soi n'est rien d'obscene, ni vulgaire. La vulgarité commence, Messieurs, Mesdames, au sentiment, toute la vulgarité, toute l'obscénité! au sentiment! Les écrivains, comme les écrivaines, pareillement enfiotés de nos jours, enjuivés domestiqués jusqu'aux ventricules depuis la Renaissance, n'ont de cesse, s'évertuent, frénétiques au "délicat", au "sensible", à "l'humain"... [219] comme ils disent... Dans ce but, rien ne leur paraît plus convaincant, plus décisif, que le récit des épreuves d'amour... de l'Amour... pour l'Amour... par l'Amour... tout le "bidet lyrique" en somme... Ils en ont plein les babines ces croulants dégénérés maniéreux cochons de leur "Amour I!» ...
C'est en écrivant d'Amour à perte d'âme, en vocabulant sur mille tons d'Amour, qu'ils s'estiment sauvés... Mais voici précisément, canailles! le mot d'infamie! le rance des étables, le vocable le plus lourd d'abjection qu'il soit!. . l'immondice maléfique! le mot le plus puant, obscène, glaireux, du dictionnaire! avec "coeur!". Je l'oubliais cet autre renvoi visqueux! La marque d'une bassesse intime, d'une impudeur, d'une insensibilité de vache vautrée, irrévocable, pour litières artistico-merdeuses extraordinairement infamantes... Chaque lettre de chacun de ces mots suaves pèse sa bonne demi-tonne de chiasse exquise... Tous les jurys Feminas s'en dégustent, ne respirent que par ces étrons, à longueur de pâmoison, s'en ravissent intimement, festoyeusement "tout à la merde", s'en affriolent en sonnets, pellicules, conférences, mille tartines et téléphones et doux billets...
Racine? Quel emberlificoté tremblotant exhibitionniste! Quel obscène, farfouilleux pâmoisant chiot! Au demi-quart juif d'ailleurs!... Regardez les bêtes sauvages un petit peu, toujours nobles, toujours pudiques... Mais les lapins en clapiers, les chiens en chenils, les porcs dans leurs bauges, en voilà des êtres qui parlent, rêvent, pensent, agissent pour l'Amour! Toute la pourriture, la servitude des races commence, s'achève par l'amour, les "tournois", les émois, les sussurages de l'Amour!... Un bon coup d'alcool par là-dessus et c'est l'écroulement! Les voici bien abâtardis, bien mûrs pour tous les esclavages, pourvu qu'ils s'enculent encore et toujours plus et plus toujours... dans tous les chenils, les clapiers qu'on leur présente... vautrés dans leurs arguties, dans leurs arabesques d'Amour, ils exultent!... C'est leur paille!... Il n'existe à parler franc qu'une seule obscénité. Mais celle-ci élémentaire, inexorable, biologique infiniment corruptrice, c'est le "Parlez-moi d'amour" putréfiant. Rien ne lui résiste. Tout s'en trouve, en très peu de temps, corrompu, vermoulu, "muflisé" à jamais... C'est la vraie "débauche"... L'effrénée putasserie des sentiments et des mots doit se payer en définitive très cher, se solder par de très cruels supplices. Aux hordes avachies, "amorosées", les infinies servitudes!... Toutes les prostitutions du cul ne sont que [220] vétilles auprès de ce "niagaresque" dégueulé de "doux murmures" de "sentiments brûlants", "d'ineffables ivresses"... tout ce déluge d'enfioteries dont on nous submerge pour notre décadence. La veulasserie des choses de l'âme nous confectionne plus d'abrutis, de serfs et de fous ennuyeux, de maniaques obtus et sourds que toutes les véroles d'un siècle renforcées ensemble.
Contrairement à la rumeur, les pamphlets ne sont pas interdit par des lois, des règlements ou des tribunaux. Ils n'ont pas été réédités par des maisons d'édition ayant pignon sur rue parce que l'auteur, revenu en France, voulait pouvoir vendre les livres qu'il écrivait alors pour gagner sa pitance. Cette mesure d'opportunité n'a plus lieu d'être après la disparition de l'auteur, en 1961. Personne n'a la droit de soustraire à la légitime curiosité des générations suivantes ce qui a été le noyau incandescent de la littérature française vers le milieu du vingtième siècle.
Le texte ici reproduit est celui d'une édition probablement pirate. Les détenteurs d'une éditions réellement authentique voudront bien nous signaler les éventuelles différences.
D'autres groupes de 10 pages suivront.
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