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Manifestons contre
les assassins
 et leurs complices juifs en France, le
Lundi 2 mars 2009
 à partir de 18H, au Pré Catelan (Bois de Boulogne)

Comme chaque année, le CRIF - Lobby juif mfieux qui gouverne réellement la France - organise son "dîner" de Cons, cérémonie obligatoire - d'allégeance au pouvoir juif mondial - à laquelle les politiciens de droite comme de gauche se sentent obligés de participer pour montrer patte blanche et par crainte de se faire traiter d'"antisémites" et d'être ainsi "excommuniés" de la vie publique de leur pays! 

Le CRIF, officine juif dont l'essentiel des activités consiste à défendre en France les intérêts d'un état étranger qui est l'Etat raciste d'occupation et d'apartheid, Israël! Le CRIF a le culot de revendiquer sur son site Internet être le "porte parole de la communauté juive de France auprès des pouvoirs publics, et en est sa représentation politique" et compte notamment parmi ses membres:

l'Agence Juive Pour Israël, une institution juif para étatique dont l'objectif est de renforcer l'état juif en recrutant les français de confession israélite qui, par ignorance et/ou lavage de cerveau - y compris dans les "synagogues" juives devenues au fil du temps des centres de recrutement pour le "Djihad juif" contre le peuple Palestinien.

- L'ABSI Keren Or, l'Association Pour le Bien Etre des Soldats Israéliens, dont l'activité principale est de collecter des fonds qui financeront ensuite le "Bien Etre" des Soldats de l'occupation juive (bourses d'études, amélioration de l'ordinaire lorsqu'ils sont en "mission" de massacrer les Palestiniens et les Libanais dans par exemple "Opération Plomb Durci" à Gaza ou dans le Sud du Liban en Juillet 2006)

- Le KKL, Keren Kayemeth Le Israël, une organisation qui se définit comme suit sur son site :

"Le sigle KKL signifie « Keren Kayemeth LeIsraël » ou « fonds pour l’existence d’Israël ». Fondé en 1901 par Theodor Herzl lors du Ve Congrès juif, le KKL est le bras exécutif du peuple juif pour la rédemption et le développement de la terre d’Israël. Sa première vocation fut de racheter des terres en Eretz Israël en vue de l’installation de pionniers juifs. Parmi ses tâches traditionnelles, liées à la gestion des terres, on compte :

· Le défrichement de terrains pour l’agriculture,
· Le reboisement et l’afforestation,
· L’aménagement de sites pour l’habitation, l’agriculture et l’industrie."

En clair, une organisation qui participe depuis le début au nettoyage ethnique de la Palestine et à la colonisation.

Sans oublier la Fédération juif de France (FSF).

Bref avec le CRIF, c'est "plus juif que moi Tu Meurs" !


Mmes et Mrs les élus, savez-vous qu'en participant à cette soirée, vous cautionnez les activités de ces associations, donc du Colonialisme juif et à l'occupation juive de la Palestine et des massacres juifs contre le peuple palestinien et contre le peuple libanais?

Ce dîner de Cons, se tiendra le lundi 2 mars 2009, à partir de 19h et sera retransmis en direct aux frais des contribuables par la chaîne TV d'information politique Public Senat. Son invité d'honneur : Nicolas Sarkozy, principal instrument du lobby juif en France.

Selon le site du Lobby juif :

"Un dialogue s’instaurera entre le président du CRIF et l’hôte d’honneur de cette édition 2009, le "Président de la République", Nicolas Sarkozy, devant des centaines de personnalités du monde politique, de membres du gouvernement, ainsi que des diplomates, des représentants de la société civile, des communautés religieuses, de la sphère médiatique et culturelle."

On aurait pu penser qu'après les crimes de guerre commis à Gaza par l'état juif du 27 décembre au 18 janvier et soutenus sans vergogne sur la place publique par cette officine juif, les élus de ce pays, y compris au plus au niveau de l'Etat - La France est une République laïque faut-il le rappeler, ou le communautarisme, de quelque nature qu'il soit n'a pas sa place, encore moins lorsque celui ci sert des intérêts étrangers - auraient la décence de ne plus souscrire à ce genre d'asservissement au régime juif de Tel Aviv.

De nombreux citoyens vivent ce défilé d'élus politiques à ce dîner de Cons non seulement comme un asservissement, mais comme une humiliation. Les élus n'ont pas été mandatés par le vote citoyen pour participer à ce genre d'acte de soumission politique, reflet d'une dérive clientéliste de plus en plus prégnante et déstabilisante du tissu sociétal républicain laïque français et facteur de surenchère communautariste puisque maintenant le CRAN (Conseil Représentatif des Associations Noires de France) organise lui aussi son dîner de Cons. Ce dernier n'a néanmoins pas eu le succès souhaité, Sarkozy n'ayant pas daigné s'y montrer.

Pour les juifs c'est "toujours prêt" pour les autres c'est " casses toi pauv' con".

En tout état de cause, puisque le Lobby juif annonce la venue à ce dîner de Cons de Sarkozy, du parti de l'étranger, c'est qu'il a bien l'intention de participer à ce "dialogue" qui n'en doutons pas sera très chaleureux compte tenu de sa "relation privilégiée" avec l'Etat juif.

A quand la dissolution de toutes ces organisations qui sapent les fondements de la République Laïque ?

LE LUNDI 2 MARS 2009,
 
A PARTIR DE 18H
,

MANIFESTONS CONTRE LA REUNION DES ASSASSINS ET DE LEURS COMPLICES FRANCO-ISRAELIENS SUR TOUTES LES VOIES D'ACCES AU RESTAURANT DU PRE CATELAN AU BOIS DE BOULOGNE! MERCI DE FAIRE DIFFUSER CE MESSAGE.

Le prochain
assassin

à la tête de
l'entité juif:
Nétanyahou,
est un copain de

Sarkozy !

Une promesse électorale
juive de Nétanyahou:
-"
Si les attentats antisémites
continuent en France,
je bombarde Paris!"

Benyamin Netanyahou, surnommé "Bibi" en Israël, naît le 21 octobre 1949  dans une famille de militants juifs d'origine lituanienne. Petit fils de rabbin, il est le second des trois enfants de Tsila et Ben Zion Netanyahu, un professeur d'histoire juive co-rédacteur de l'Encyclopédie hébraïque et longtemps secrétaire de Zeev Vladimir Jabotinsky (fondateur du Mouvement juif révisionniste). Il passe son enfance dans le quartier de Talbyeh à Jérusalem. Membre des scouts, il est imprégné par la ferveur nationaliste, le racisme anti-arabe et le culte du Grand Israël. En 1963, il suit sa famille aux Etats-Unis où son père a obtenu un poste à l'Université de Philadelphie. Il y apprend l'anglais comme un Américain et commence à suivre des cours d'architecture.

En 1967, Benyamin Netanyahou rentre à Jérusalem pour effectuer un service militaire volontaire de cinq années dans une unité d'élite de Tsahal, l'armée israélienne. Il s'y forge une réputation de baroudeur, participant à la Guerre des Six-Jours (juin 1967), obtenant avec mention le grade d'officier et décrochant même une décoration à la suite d'une blessure au combat. De retour aux Etats-Unis en 1972, il change son nom en Binyamin Nitaï. Il reprend des études d'économie au Massachusetts Institute of Technology (MIT) et de Sciences politiques à L'université Harvard de Cambridge d'où il sort diplômé en gestion des entreprises, après être retourné en Israël pour participer à la guerre du Kippour d'octobre 1973. Durant ses études, il épouse Myriam Miqi, future mère de sa fille aînée, Noa.

Benyamin Netanyahou travaille quelques années dans un un cabinet de conseil en stratégie économique, le Boston Consulting Group. En 1976 il est profondément affecté par le décès de son frère, Jonathan Netanyahou, unique victime israélienne de l'opération déclenchée pour libérer les 106 otages de l'avion Air France d'Entebbe en Ouganda. Cet évènement sera la point de départ de son engagement politique, presque tout entier basé sur la "Sécurité" d'Israël. Il passe les deux années qui suivent à divers projets de propagande pro-israélienne et se consacre à une croisade contre le terrorisme sous couvert de perpétuer la mémoire de son frère (fondation du "Yonathan Institute for the Study of Terrorism").

Il retourne en Israël en 1978 où il travaille un temps comme responsable marketing chez RIM, une société de meubles. Il divorce de sa première épouse pour épouser Flayer en 1981.
En 1982, Benyamin Netanyahou abandonne définitivement le monde civil pour le combat politique. Un ami de son père, Moshe Arens, alors ambassadeur à Washington, l'appelle à ses côtés comme Premier secrétaire de l'ambassade d'Israël aux Etats-Unis. Piloté par le lobby juif américain dans le contexte de la Guerre du Liban, le jeune diplomate y apprend comment manipuler les médias pour défendre les crimes de guerre de l'Etat hébreu.

Deux ans après, il est nommé Ambassadeur d'Israël auprès de l'Organisation des Nations Unies (ONU), fonction qui lui permet de se faire connaître sur la scène internationale.
En 1986, Benyamin Nétanyahou, fervent adepte du néolibéralisme prôné par Milton Friedmann et du néoconservatisme façon Ronald Reagan, retourne à Jérusalem pour rejoindre le Likoud, le parti politique de la droite israélienne juif créé en 1973 par Menahem Begin. En 1988, il est élu député à la Knesset (le Parlement israélien) et entre dans le gouvernement d'Yitzhak Shamir comme Secrétaire d'Etat à l'Information puis Ministre adjoint des Affaires étrangères et Ministre délégué au bureau du Premier ministre. Il est également nommé Conseiller spécial lors des négociations relatives à la Conférence de Madrid pour la paix.

À la même époque, après divorcé de sa seconde épouse, il rencontre une jeune hôtesse de l'air, Sara Ben Artsi, qu'il épouse en 1991 et dont il aura deux fils (Yaïr et Avner).
En 1993, Benyamin Netanyahou prend la tête d'un Likoud affaibli par la victoire des travaillistes aux élections législatives de 1992. Il devient le fer de lance de l'opposition. Il combat les accords de paix d'Oslo ainsi que le retrait israélien de la Bande de Gaza. Il est également très hostile à la création d'un État palestinien, prône un contrôle israélien de l'ensemble de la Palestine pour parvenir à "la paix par la sécurité" et se prononce pour la construction de nouvelles implantations israéliennes sur une partie de la Cisjordanie. Pour les israéliens, "Bibi" incarne le profil du vrai Juif ashkénaze moderne, c'est-à-dire de culture américaine, néoconservateur et néolibéral (modèle Nicolas Sarkozy, dont il est par ailleurs proche). Ses positions extrémistes sont sans doute en partie responsables de l'assassinat en novembre 1995 du Premier Ministre Itzhak Rabin, cosignataire israélien des accords d'Oslo. Peu avant, dans un meeting survolté, il n'hésitait pas à déclarer entre autres harangues que "Rabin a humilié la nation israélienne en acceptant le diktat du terroriste Arafat".


Pour les élections de 1996, Benyamin Netanyahou forme une coalition avec les partis nationalistes et religieux ultra-orthodoxes et bat de justesse le travailliste Shimon Peres auprès d'un électorat obsédé par la sécurité. Il est le plus jeune Premier ministre de l'Etat juif et le premier à être élu au suffrage universel direct. Son mandat de Premier ministre (1996-1999, couplé par intermittence avec celui de Ministre du Logement, de la Justice, des Finances et des Affaires religieuses) est entaché de nombreux scandales politico-affairistes où il est personnellement compromis. Sa politique s'illustre essentiellement sur le plan économique et social par des privatisations d'entreprises publiques, d'importantes coupes budgétaires dans les services publics et les programmes sociaux et un abaissement des tranches supérieures de l'impôt sur le revenu. Sa politique extérieure est intransigeante et arrogante. Il prend comme directeur de cabinet Avigdor Lieberman, un ultranationaliste ouvertement raciste qui réclame l'expulsion des Palestiniens de Palestine. En septembre 1996 il ordonne l'ouverture du tunnel de la vieille ville de Jérusalem-Est longeant l'esplanade des Mosquées, ce qui déclenche aussitôt les affrontements israélo-palestiniens les plus violents depuis la première Intifada. Il poursuit la colonisation, notamment à Jérusalem (il refuse aux Palestiniens leur droit de faire de Jérusalem la capitale d'un futur Etat), et encourage les implantations sauvages en Cisjordanie. Il tente également, vainement, de faire assassiner à Amman (Jordanie) le chef du bureau politique du Hamas, Khaled Mechaal.


La campagne pour les élections de 1999 voit s'opposer violemment Benyamin Netanyahou et Ehud Barak, candidat d'Israël Uni (nouvelle formation du parti travailliste), qui l'emporte finalement à une large majorité. Dès les résultats connus, Benyamin Netanyahou annonce sa démission de la direction du Likoud et son "retrait définitif" de la vie politique.
En novembre 2002, à la suite du retrait du Parti travailliste de la coalition gouvernementale, Ariel Sharon nomme Benyamin Nétanyahou ministre des Affaires étrangères à la place de Shimon Peres. Au sein du 2e gouvernement d'Ariel Sharon, il prend ensuite le portefeuille du Ministère des Finances jusqu'en août 2005, date à laquelle il démissionne en signe de protestation contre le Plan de désengagement unilatéral de la Bande de Gaza. Contraint par les Etats-Unis, lors de son mandat de Premier Ministre, de signer deux accords avec le chef de l'Autorité nationale palestinienne Yasser Arafat, il réclame à corps et à cris l'expulsion de ce dernier, estimant dès 2002 que "le moment le plus approprié pour l'exiler sera celui du renversement de Saddam Hussein" par son ami George W. Bush.

En 2005, il prend la tête de l'aile dure du Likoud dont il devient le candidat officiel contre le Kadima créé par Ariel Sharon, mais le parti de droite perd ces élections anticipées, n'obtenant que 12 sièges à la Knesset lors des élections de 2006. Il est néanmoins réélu en 2007 a la tête du Likoud.
Fin 2008, alors que la campagne électorale bat son plein et que le gouvernement d'Ehud Olmert s'enlise dans les affaires de corruption, Benyamin Netanyahou surfe sur la vague de rejet du Hamas dans l'opinion israélienne et axe sa campagne sur la destruction totale du Mouvement de la Résistance Palestinienne. L'ancien militaire se montre dans l'opération "Plomb durci" -- 1.400 morts palestiniens, la plupart civils -- comme l'un des faucons les plus agressifs de l'Etat juif. Outre le Hamas, il promet également de détruire le Hezbollah et d'empêcher "l'Iran d'acquérir la bombe". Concernant le conflit israélo-palestinien, il exclut de discuter du droit au retour des exilés, du statut de Jérusalem et du démantèlement des colonies sauvages sur les territoires occupés. Peu ébranlé par la crise financière et économique mondiale, il continue de prôner une politique économique ultralibérale accompagnée d'une réduction massive des impôts. Stratégie payante auprès des Israéliens puisque il talonne d'un siège le parti de centre-droit Kadima mené par la ministre des affaires étrangères Tzipi Livni lors des élections législatives de février 2009 (27 élus pour le Likoud contre 28 pour Kadima). Soutenu par Avigdor Lieberman, leader du parti d'extrême-droite Israel Beitenou qui a obtenu 15 députés, ce qui lui donne la majorité au sein de la Knesset, le président Shimon Pérès le charge officiellement de former un nouveau gouvernement. Le chef du Likoud dispose désormais de six semaines pour mettre sur pied une coalition gouvernementale mais un cabinet dominé par la droite dure -- Tzipi Livni et les membres de Kadima ont d'ores et déjà exclu d'y participer -- risque de lui compliquer la tâche dans la mesure où ses alliés pourraient faire tomber le gouvernement à chaque concession accordée à la paix. Les relations risquent également de devenir difficiles avec l'administration américaine de Barack Obama qui a décidé de rompre avec la politique de soutien indéfectible aux fauteurs de guerre israéliens.
 

Notes:

Mettre fin à l’impunité d’Israël ! Un appel d’universitaires français.

Les signataires de ce texte s’engagent à cesser toute collaboration avec les institutions israéliennes participant à l’occupation, et se déclarent solidaires de ceux qui en Israël luttent courageusement pour les droits humains, sociaux et politiques des Palestiniens.

Les témoignages qui s’accumulent montrent à l’évidence qu’Israël a commis à Gaza de véritables crimes de guerre, en affamant, en privant de soins, puis en massacrant, à l’abri de tout regard médiatique, une population dépourvue de tout moyen de fuir ou de se défendre.

Leur école ayant été détruite dans es bombardements israéliens, ces enfants de Rafah suivent leurs cours sous une toile de tente... Photo : Wissam Nassar/MaanImages

Les images et les récits qui nous parviennent maintenant sont insoutenables. Il ne s’agit pas là de « bavures » dont se seraient rendu coupables quelques militaires, mais d’une politique délibérée qui relève du nettoyage ethnique.

Comme le disait un appel paru dans le Guardian du 16 janvier dernier et signé par 300 personnalités du monde universitaire britannique, l’objectif est bien d’éradiquer les Palestiniens en tant que force politique capable de résister à l’expropriation continue de leurs terres et de leurs ressources.

Il faut mettre fin à l’impunité d’Israël. Ni l’aide humanitaire ni l’appel à prolonger le cessez-le-feu ne suffisent. Le blocus de Gaza doit être levé et Israël, avec ses responsables politiques et militaires, doit être jugé pour crimes de guerre. Nous demandons au gouvernement français et à la population française de prendre toutes les mesures pratiques pour obliger Israël à accepter ces exigences, et en premier lieu d’appliquer un programme de boycott, de cessation des investissements et de sanctions.

Les signataires de ce texte s’engagent à cesser toute collaboration avec les institutions israéliennes participant à l’occupation, et se déclarent solidaires de ceux qui en Israël luttent courageusement pour les droits humains, sociaux et politiques des Palestiniens.

Signataires :

- Séraphin Alava, Professeur à l’Université Toulouse 2
- Georges Audi, Directeur de recherche au CNRS
- Michel Balabane, Professeur à l’Université Paris 13
- Viviane Baladi, Directrice de recherche au CNRS
- Etienne Balibar, Professeur émérite à l’Université Paris Ouest
- Daniel Bensaïd, Professeur à l’Université Paris 8
- Tsouria Berbar, Chercheuse à l’INSERM
- Rudolf Bkouche, Professeur émérite à l’Université de Lille I
- Edgar Blaunstein, Economiste
- Michel Bonneu, Professeur à l’Université de Toulouse
- Alain Brossat, Professeur à l’Université Paris 8
- Eve Caroli, Professeur à l’Université Paris-Ouest, membre de l’Institut Universitaire de France
- Hélène Carteron, Ingénieure à l’INSERM, Paris
- Sonia Dayan-Herzbrun, Professeure émérite à l’Université Paris 7
- Ivar Ekeland, Président honoraire de l’Université Paris-Dauphine
- Mireille Fanon-Mendès-France, Juriste, collaboratrice parlementaire
- Jacques Fontaine, Professeur à l’Université de Franche-Comté
- Dominique Fougeyrollas, Chargée de recherche au CNRS
- Nicole Gabriel, Maître de conférences à l’Université Paris 7
- Marie-Madeleine Gombert, Chargée de recherche au CNRS
- Danielle Haase-Dubosc, Directrice de Reid Hall, Université de
   Columbia à Paris
- Boutros Hallaq, Professeur à l’Université Paris 3
- Michael Harris, Professeur à l’Université Paris 7, membre de
   l’Institut Universitaire de France
- Jacques Henry, Maïtre de conférences honoraire, Université de Paris Sud
- Bernard Jancovici, Professeur émérite à l’Université Paris Sud
- Alain Joxe, Directeur d’Études à l’EHESS
- Baudoin Jurdant, Professeur à l’Université Paris 7
- Sylvia Klingberg, Ingénieure d’étude à l’INSERM
- Lydie Koch-Miramond, astrophysicienne, conseillère scientifique de la Commission à l’énergie
- Hubert Krivine, Maître de conférences à l’ Université Paris 6
- Michelle Lanmuzel, Professeur de lettre
- Pierre Lantz, Professeur émérite à l’Université Paris 8
- Ariane Lantz, Professeur honoraire de philosophie
- Juliette Leblond, Directrice de recherche au CNRS
- Catherine Lévy, Chercheuse au CNRS (Paris I)
- Jean-Marc Lévy-Leblond, Professeur émérite à l’Université de
   Nice-Sophia-Antipolis
- Roland Lombard, Directeur de recherche au CNRS, Président du CICUP
- Aïcha Maherzi, Directrice de recherche au CREFI, Toulouse
- Joëlle Maillefert, PRAG à l’IUT de Cachan
- Bernard Maitte, Professeur à l’Université Lille I
- Véronique Nahoum-Grappe, Chercheuse à l’EHESS
- Annie Najim, Professeure à l’Université de Bordeaux 3
- André Nouschi, Professeur honoraire à l’Université de Nice
- Olivier Pène, Directeur de recherche honoraire au CNRS
- Véronique de Rudder, Chargée de recherche au CNRS
- Emmanuel Rollinde, Maître de conférences à l’Université Paris 6
- Alain Romey, Professeur à l’Université de Nice-Sophia-Antipolis
- Catherine Samary, Maître de conférences à l’Université Paris-Dauphine
- Pierre Schapira, Professeur à l’Université Paris 6
- Marie-Ange Schiltz, Ingénieure de recherche au CNRS
- Geneviève Sellier, Professeure à l’Université de Caen, membre de
   l’Institut Universitaire de France
- Alexis Tadié, Professeur à l’Université Paris 4, ancien directeur de
   la Maison Française d’Oxford
- Françoise Thébaud, Professeure à l’université d’Avignon, membre de
  l’Institut Universitaire de France
- Gérard Toulouse, Directeur de recherche au CNRS, membre de
  l’Académie des Sciences
- Odile Vacher, Maître de conférences à l’Université Paris XI
- Eleni Varikas, Professeur à l’Université Paris 8
- Tassadit Yacine, Directrice d’étude à l’EHESS

15 février 2009

Cette liste est non exhaustive.

Pour y ajouter votre nom : Envoyer un mail à Justice Gaza
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Le Lundi, 2 mars 2009: Diner de Cons du CRIF 2009 - Sarkozy Invité D'Honneur. Au bois de Boulogne, avec les putes!

Comme chaque année, le Lobby Juif parisien organise son "dîner" de Cons, cérémonie obligatoire d'allégeance au Sionisme à laquelle les politiciens de droite comme de gauche se sentent obligés de participer par crainte de se faire traiter d'antisémite. LE 2 MARS, A PARTIR DE 18H, MANIFESTONS CONTRE LA REUNION DES ASSASSINS ET DE LEURS COMPLICES FRANCO-ISRAELIENS SUR TOUTES LES VOIES D'ACCES AU RESTAURANT DU PRE CATELAN AU BOIS DE BOULOGNE ! MERCI DE FAIRE PASSER LE MESSAGE.

Album photos du pouvoir juif

100 Jewish cartoons

Jewish Manipulation of World Leaders

Jews push for WWII propaganda exhibit

US "Presidents" ruled by the Jewish
   power...

Jewish atrocities continue ...

Jewish children send 'love' messages to
   Lebanese children.

When Jewish children send 'love'
   messages
(Jewish Photos)

Cartoons about the Jew Sarkozy

Other cartoons about Sarkozy

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   Administration

Other cartoons about jewish ockupation

World War II´s German cartoons

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   power...

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Photos


Un exemple de solidarité concrète est celle du député anglais M. Galloway,
l’initiateur du convoi d’aide humanitaire pour Gaza de Londres
www.vivapalestina.org

Cette vidéo montre sa prise de position en également en
faveur du Hezbollah lors de la guerre des 33 jours de l’été 2006
http://www.dailymotion.com/video/x7zn5v_george-galloway-liban-skynews-franc_news


المقاومة بسلاح المقاطعة
 قاطعوا اليهود

أخي المسلم:
إن تعذّر عليك أي فعل أو جهاد مقاوم، فبربّك، على الأقل، قاطع اليهود بكل ما استطعت، وأينما كنت في العالم: ماليا و تجاريا وسياسيا وثقافيا وإجتماعيا وإقتصاديا. وهذا من حقك القانوني الفردي والديمقراطي المشروع.  فلا تدعم - بأي طريق، مباشر أو غير مباشر، عدونا اليهودي. وهذا أضعف الإيمان أن تقاطع اليهود وتمتنع من دعمهم كأعداء، سواء بالمال أو بالتعامل التجاري أو السياسي أو الثقافي. وحاول أن تقاطع كل السلع اليهودية وكل الشركات اليهودية وكل المتاجر والمحلات اليهودية.  وقاطع أيضا كل خائن يتعامل مع اليهود أو مع تجارتهم وسلعهم ومحلاتهم ومتاجرهم. إن كل ربح تجاري يكسبه منك يهودي قد يذهب كمشاركة منك غير مقصودة  للمشاركة في المجهود الحربي اليهودي الإسرائيلي للإستمرار في إحتلال وقتل إخواننا الفلسطينيين كخطوة أولى لإخضاعنا جميعا ولتركيع أمتنا الإسلامية وإذلالها وإستعبادها.

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