1.
Les
Révisionnistes
affirment:
L'Holocauste
est une propagande utilitaire
d'après-guerre qui commença par
une campagne systèmatique et insidieuse
pendant la 2ème guerre mondiale, comme
l'une des tactiques employées par des
intérêts financiers pour recruter
des combattants et engager le monde,
spécialement l'Amérique, dans ce
qui fut, essentiellement, une guerre
fratricide.
En introduction, disons que le
Révisionnisme s'est implanté comme
un mouvement de renouveau intellectuel. Partout
dans le monde, les gens commencent à
s'interroger au sujet de l'Holocauste
malgré les barrières qui entourent
ces questions. Le HPL ne peut plus ignorer
l'intérêt du monde pour les faits
authentiques même en protégeant ses
sombres prétentions du rempart de ses
cris contre l' "Antisémitisme " !
En principe, les revendications
révisionnistes peuvent être
regroupées en huit thèmes bien
distincts, précisés
ci-après et dont le premier
déclare que l'Holocauste est une
propagande utilitaire d'après guerre qui
commença pendant la 2ème guerre
mondiale par une campagne systématique et
insidieuse constituant l'une des tactiques
adoptées par les intérêts
financiers pour recruter des combattants et
engager le monde, notamment l'Amérique,
dans ce qui fut essentiellement une guerre
fratricide.
Le principe sous-jacent à cette
propagande peut se résumer ainsi "
Obtenons que nos ennemis se tuent entre eux ".
Comment cela fut-il entrepris ? Par une
méthode vieille comme le monde : une
propagande de guerre sophistiquée contre
de prétendues atrocités commises
par l'ennemi n'a rien de nouveau. C'est une arme
psychologique efficace,
régulièrement utilisée pour
maintenir l'ardeur des troupes nationales, en
leur faisant croire qu'elles combattent pour une
cause juste et patriotique. L'ennemi est
systématiquement diabolisé par des
allégations monstrueuses ; Les
médiats répètent
continuellement son caractère cruel et
démoniaque. Cette tactique fut largement
employée par les alliés. En voici
une preuve :
Le 29 février 1944, le ministre
britannique de l'Information envoya la note
suivante au haut Clergé britannique et
à la BBC :
Monsieur,
Le Ministère m'a chargé de vous
adresser la circulaire suivante :
Il est souvent du devoir des bons citoyens et
des fidèles chrétiens de fermer
les yeux sur les singularités de nos
associés.
Mais il arrive un moment où de telles
singularités, bien qu'encore
démenties en public, doivent être
prises en compte quand notre action
s'impose.
Nous connaissons les méthodes de
gouvernement employées par le dictateur
bolchevique en Russie même, par exemple,
par les écrits et les discours du Premier
Ministre lui-même pendant les vingt
dernières années. Nous savons
comment l'Armée rouge s'est conduite en
Pologne en 1920 , en Finlande, Estonie,
Lettonie, Galicie et Bessarabie encore
récemment.
En conséquence, nous devons prendre en
compte la manière dont l'Armée
rouge se conduira certainement quand elle
envahira l'Europe centrale. A moins que des
précautions soient prises, les horreurs
commises, évidemment inéluctables,
auront pour résultat d'entraîner
des tensions indues dans l'opinion publique de
notre pays.
Nous ne pouvons transformer les Bolcheviques
mais nous pouvons faire de notre mieux pour les
sauver, eux et nous-mêmes, des
conséquences de leurs actes. La
divulgation de leur conduite au cours du dernier
quart de siècle rendrait peu convaincante
une simple dénégation.
La seule alternative au démenti
consiste à détourner l'attention
du public de la réalité.
L'expérience a montré que la
meilleure distraction du public est de diriger
contre l'ennemi une propagande l'accusant
d'atrocité. Malheureusement, le public
n'est plus aussi réceptif qu'à
l'époque de l' " Usine à cadavres
", des " Bébés belges
mutilés " et des Canadiens
crucifiés ".
Votre coopération est donc
éminemment recherchée pour
détourner l'attention publique des
agissements de l'Armée rouge par votre
soutien total dans les différentes
accusations contre les Allemands et les
Japonais, qui pourront être mises en
circulation par le Ministère.
Votre force de persuasion en cela doit servir
à convaincre les autres.
Je suis, Monsieur, votre humble
serviteur.
(signé) H. Hewet, Secrétaire
Assistant
Il y avait même un post-scriptum, comme
suit :
Le Ministère ne peut entretenir aucune
correspondance d'aucune sorte eu égard
à la nature de cette communication qui ne
doit être délivrée
qu'à des personnes responsables.
(Rozek, Edward J., Allied Wartime Diplomacy :
A Pattern in Poland, John Wiley and Sons, NY.
page 209-210)
Que voilà un document étonnant.
Cette lettre est la preuve flagrante que,
pendant la 2ème guerre mondiale, les
Alliés ont utilisé des accusations
d'atrocité comme propagande contre
l'Allemagne hitlérienne pour distraire
leur propre peuple des atrocités
réellement commises (mais pas
exclusivement) par les soldats de l'Armée
rouge - leurs " camarades " ! - au cours de
l'invasion de l'Europe puisque la guerre de
Hitler tirait à sa fin.
Notez, cependant, que cette lettre ne fait
allusion à aucun gazage humain. Et
pourquoi ? Parce que l'idiote propagande sur les
atrocités est d'un autre domaine.
L'accusation des chambres à gaz fut
lancée ponctuellement comme un test de
propagande mais fut rapidement abandonnée
comme trop " invraisemblable ". Si la fiction
des atrocités est trouvée si
grosse, bizarre et extravagante que le bon
peuple qui pense et ressent, ne peut simplement
pas l'avaler, il n'est pas de
l'intérêt des conducteurs de la
guerre de colporter un tel "crime". Ce fut le
cas , à l'origine, avec le recours
à la "chambre à gaz".
En fait, le Ministère britannique de
l'information chargea d'abord le clergé
britannique de l'aider à répandre
l'histoire de la "chambre à gaz" qui
devait être mise en circulation par le
Ministère. (Rozek, Edward J., Allied
Wartime Diplomacy, pp 108-110. John Wiley and
Sons, New York ). Dès le départ,
l'affaire fut jugée trop bizarre et
problèmatique et, donc, fut rapidement
retirée comme une source potentielle
d'embarras stratégique.
Quelques uns des "moindres" prétendus
"crimes" que les gens étaient
censés avaler survécurent et
prospérèrent quelque temps au
cours des deux guerres mondiales - certains
pendant plus longtemps que d'autres. Par
exemple, plusieurs de l'ancienne
génération, aussi bien en Europe
qu'en Amérique ont le souvenir encore
vivace des histoires de la propagande
antiallemande des Alliés de la
1ère guerre mondiale concernant les " ...
usines de soupe-aux-cadavres ", les " ...
bébés belges aux mains
coupées ", les " .... soldats canadiens
crucifiés", toutes ces accusations
s'étant révélées
mensongères et même certaines,
après-guerre, ayant fait l'objet
d'excuses aux Allemands de la part d'hommes
d'États alliés.
Certains se souviennent même de
l'accusation incroyable et hystérique
portée alors par le Gouverneur de
l'État de New-York, même en 1917-18
(!) que les Allemands avaient...exterminé
des millions de Juifs. Et encore plus parlante
fut l'accusation d'un nombre de... six millions
! (Glynn, Martin, The Crucifixion of the Jews
Must Stop The American Hebrew, October 31,
1920.)
Ainsi que vous le voyez , l'histoire des six
millions est vieille. Très vieille. Elle
a déjà été
colportée dans le passé. Dans un
livre récent intitulé Keystone of
the New World Order : The Holocaust Dogma of
Judaism , l'auteur, Ben Weintraub, fait le point
sur la signification mythique de ce nombre
d'origine cabalistique. (Weintraub, Ben, The
Holocaust Dogma: Keystone of the New World
Order, Cosmos Publishers, 1994).
Malheureusement, il s'adresse à une
population contemporaine, crédule et
systématiquement
désinformée, associée au
lavage de cerveaux impitoyable mis en
úuvre par les chiens couchés des
médiats corrompus, pour colporter le
mensonge pendant des décennies par les
moyens que l'on connaît de nos jours et
qui n'existaient pas pendant la 1ère
guerre mondiale.
Après la 2ème guerre mondiale,
cette fiction commode fut de nouveau
soufflée et lancée contre le
peuple allemand. Cependant, le massacre
psychologique massif ne commença qu'avec
la fiction télévisuelle des
séries, Holocauste vue partout dans le
monde par environ 100 millions de personnes et,
ensuite La liste de Schindler. Il y eut des
milliers d'autres productions presque aussi
vicieuses et d'un effet cumulatif
destructeur.
Soyons clair sur ce point : il n'y aurait eu
aucun scrupule à utiliser l'histoire des
"gazages" même pendant la guerre, si elle
avait été crédible.
Cependant, la supériorité des
nations alliées - celles de Churchill et
de Roosevelt aussi bien que celles de la
hiérarchie catholique, y compris le pape
Pie XII - leur donnait la connaissance, par
leurs différents réseaux de
renseignements, espionnage sur le terrain,
prisonniers équipés de
radioémetteurs dans plusieurs camps (y
compris les soldats prisonniers, les
prêtres prisonniers et même ceux qui
reçurent les confessions des militaires
en garnison, police et personnel de protection)
qu'aucune extermination massive par le gaz ou
par quelque autre moyen n'était
organisée dans ces camps.
De plus, les chefs alliés ont
examiné en détail les photos
aériennes, aucune ne corroborant
l'accusation hystérique lancée
ensuite par les agitateurs sionistes comme Rabbi
Stéphen Wise ainsi que d'autres partout
dans le monde. Cela, simplement, n'est pas la
vérité. Il n'y eut jamais de
gazages humains mais uniquement des calomnies !
Cette histoire n'est qu'un fromage plein de
trous et beaucoup trop problèmatique. En
conséquence, le commandement allié
retira toute référence
précise aux " chambres à gaz "
dans leur propagande relative aux
atrocités du temps de guerre, même
dans leurs dépêches diplomatiques,
parce qu'il n'y avait pas de preuve. (Allied
Diplomacy in Wartime, Samisdat Resource Book, pp
108-110)
En août 1943, les Alliés
décidèrent officiellement de ne
pas maintenir cette allégation
spécifique des " chambres à gaz "
contre les Nazis dans une déclaration
publiée, au motif d'une insuffisance de
preuve pour justifier le rapport concernant les
exécutions dans les chambres à
gaz. (Foreign Relations of the United States
Diplomatic Papers, 1943. Samisdat Resource
Book). Les Alliés et le Pape n'avaient
donc nul besoin de démentir ce qui
n'avait jamais existé sauf dans les
cerveaux enfièvrés des Sionistes
intriguant à travers l'unique victimation
pour la création de l'État
d'Israël et les avantages politiques de
l'après-guerre (incluant des paiements de
réparations massifs par l'Allemagne ) qui
nécessitèrent l'accusation de
génocide contre les Juifs. Et, comme nous
l'expliquerons plus en détail, les
procès de Nuremberg furent fondés
sur ces accusations. Les Sionistes avaient
besoin d'une condamnation pour faire couler
l'argent de la culpabilité d'un
gouvernement de lâches mis sur pied par
les Alliés.
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Pour une complète discussion sur ce
sujet et plusieurs autres questions
fondamentales se rapportant à
l'Holocauste, suivez entièrement la suite
des 66 Questions/Réponses de la
controverse Zündelsite-Nizkor.
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