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Le lien entre Epstein et Weinstein est-il dans le Talmud ou le Mossad ?


Égalité et Réconciliation, 15 août 2019






On aurait pu ajouter Einstein et Eisenstein mais là, on sortait du cadre strict de notre étude. Y a-t-il quelque chose de commun entre Harvey Weinstein, qui s’est fait poisser fin 2017 par 93 femmes post-violées, déclenchant un mouvement d’indignation (féministe) mondial et Jeffrey Epstein, ce financier à la fortune mystérieuse qui organisait jusqu’en juillet 2019 la prostitution de mineures pour le gratin pédophile mondial ? En apparence, rien, à part la rime en stein (pierre, en allemand).

 

Epstein et Weinstein ont tous deux profité de leur position dominante pour violer la loi et asseoir leur pouvoir démesuré. L’un a régné sur le cinéma branché hollywoodien pendant 25 ans, l’autre a tranquillement construit un système d’aspiration de filles socialement paumées pour satisfaire les appétits de personnages puissants qui voulaient se payer des sensations interdites, et ce, pendant 20 ans.

Certains diront que la religion juive autorise l’exploitation des « autres », les goyim, puisque la plupart des actrices violées ou forcées par Weinstein – ou plutôt par son fric parce que lui tout seul, sans sa fortune et sa position dominante, c’est branlette éternelle assurée, ce qu’il faisait d’ailleurs le plus souvent devant ses victimes, complices ou pas – n’étaient pas de confession juive. Idem pour Epstein : ses masseuses étaient des goyettes issues des classes populaires sud-américaines et est-européennes.

« Les Goyim sont nés seulement pour nous servir. Sans cela, ils n’ont pas de place dans le monde. » (Ovadia Yosef, grand rabbin d’Israël)

En ce sens, on peut dire qu’il y a une caractéristique religieuse commune dans les modus operandi de ces deux prédateurs internationaux. On ne va pas citer ici toutes les parties du Talmud qui se rapportent au mépris et donc à l’exploitation possible, voire souhaitable des non-juifs, quelques morceaux suffisent. Le Talmud est le dernier livre écrit après la Torah (les 5 premiers livres de la Bible, ou Pentateuque), la vraie loi juive, mais il fait office de catéchisme moderne pour l’éducation religieuse. Nous n’avons gardé que les injonctions relatives aux comportements déviants d’Epstein et de Weinstein. Déviance par rapport à quoi ? À une morale chrétienne.

Talmud, Abhodah Zarah 35b : Toutes les filles des incroyants sont « niddah » (sales, impures) depuis leur naissance.

Talmud, Iebhammoth 61a : Les juifs ont droit à être appelés « hommes », pas les goyim.

Talmud, Babha Kama 113a : Les juifs peuvent mentir et se parjurer, si c’est pour tromper ou faire condamner un goy.

Talmud, Abhodah Zarah 54a : L’usure peut être pratiquée sur les goyim, ou sur les apostats.

Talmud, Schabbouth Hag. 6d : Les juifs peuvent jurer faussement en utilisant des phrases à double sens, ou tout autre subterfuge.

Talmud, Chagigah 15b : Un juif est toujours considéré comme bon, en dépit des péchés qu’il peut commettre. C’est toujours sa coquille qui se salit, jamais son fond propre.

Il n’est pas certain que nos deux Stein aient lu le Talmud en entier, car c’est un peu répétitif et parfois contradictoire, mais on saisit assez rapidement le fond de l’affaire : on peut exploiter les goyim sains crainte car Dieu est de notre côté. La morale fraternelle ne s’applique que dans la communauté, ce qui est pratique. Il suffit de décréter mauvais tout ce qui est autour, on peut ainsi faire du mal au... mal.

Les citations empruntées au Talmud que nous avons repiquées à droite et à gauche sont mises en doute par les sites judaïques. Ils annoncent, comme le rav Ron Chaya, que ce sont souvent des mensonges ou des exagérations véhiculés par des antisémites. Nous avons donc pris les citations une par une pour les vérifier, d’abord celle-ci :

Talmud, Babha Kama 113a : « Les juifs peuvent mentir et se parjurer, si c’est pour tromper ou faire condamner un goy ».

Nous avons été sur torah.box.com et sommes tombés sur un rabbin, le rav Mamuch Fénech, qui détaille cette partie du Talmud. Après vérifications, l’honnêteté nous oblige à dire que la citation a été tronquée : il ne s’agit pas d’un simple goy mais d’un percepteur goy, celui qui vient chercher l’impôt pour le roi (à l’époque, les juifs habitaient dans des contrées où régnaient des rois). Mamuch dit expressément que les juifs ont le droit de mentir au percepteur sur l’état de leur fortune car ce dernier est goy. Et si le juif (« Israël » dans la démonstration) est en procès avec un goy, alors tout doit être fait pour faire gagner le juif. C’est de la bouche d’un rabbin qui traduit le Talmud en direct (à partir de 14’).

 

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« Et de toute façon on acquitte Israël »

 

Passons maintenant aux filles goyim (nous dirons goyettes) « niddah », prétendument impures. Niddah s’applique généralement aux femmes qui ont leurs règles (juives ou non juives), et les situations de la vie quotidienne où la femme est dite « impure » sont passées au crible de la « science » rabbinique. On comprend assez rapidement qu’une goyette qui a ses règles est doublement impure. Mais n’anticipons pas.

 

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Rihanna est si sensuelle qu’elle peut donner des idées impures à de nombreux talmudistes

Talmud, Abhodah Zarah 35b : « Toutes les filles des incroyants sont niddah (sales, impures) depuis leur naissance ».

Voici l’explication, quelque peu emberlificotée, du rav Ron Chaya, que les lecteurs d’E&R connaissent déjà pour son enseignement géopolitique casher plutôt cash. Grâce ou à cause de lui, pas mal de curieux de chez nous ne sont pas loin de la conversion.

« Le Talmud dit que “Hazal” (nos sages de mémoire bénie) ont fait un décret d’interdire le pain des non juifs de peur qu’on soit amené à boire de leur vin et celui-ci a été interdit, de peur qu’on soit amené à avoir des relations avec leurs filles et celles-ci ont été interdites, de peur qu’on fasse “avoda zara” (l’idolâtrie).

En ce qui concerne la crainte qu’on ait des relations avec leurs filles, cela est permis du point de vue de la Torah écrite (s’il s’agit d’une relation occasionnelle, mais le mariage est de toute façon interdit par la Torah écrite), c’est un interdit “derabanan” ; les sages ont fait un décret que cette fille est considérée comme une femme “niddah” pour que les juifs ne s’approchent pas d’elle et soient ensuite amenés à faire de la “avoda zara”. Cela ne signifie en rien que de façon intrinsèque elle soit impure. »

Non, mais cela le sous-entend très fort ! Le résultat est le même : un juif peut attraper une goyette, mais pas question de mariage, car là il y a risque d’assimilation, de mélange, et donc de dilution de la particularité juive, autant dire l’horreur absolue, une sorte de Shoah par la douceur (des femmes). Le concept d’impureté n’est pas nécessaire ici pour condamner les relations entre juifs et goyettes. Mais nous remarquons tout de même que ce coquin de rav autorise à demi-mot l’adultère intercommunautaire (et non intracommunautaire), du moment que ça n’a pas de conséquence sur la préservation de la communauté.

 

 

Dans le Sentier, aujourd’hui, c’est la chrétienne blonde qui a les faveurs des hommes, le premier opus de La vérité si je mens le montre bien. On se marie avec une bonne juive, mais on « nique » ailleurs (c’est l’expression qui revient le plus dans le film). En général ça finit mal, en divorce, avocats et partage douloureux du magot, mais c’est un autre débat.

On a écouté un second rav sur la question, Emmanuel Mimran : la partie « Abhodah Zarah 35b » du Talmud parle des conditions dans lesquelles un juif peut manger le pain d’un boulanger non-juif. Il y a un maximum de restrictions mais la raison principale de cet interdit – sauf quand le juif crève de faim – c’est de ne pas se mélanger aux goyim à table et de risquer de se marier, sous-entendu avec une goyette tentatrice.
Il n’est donc pas question directement d’impureté, et le terme « niddah » s’applique aux femmes impures, même juives, au moment de leurs règles. De là à dire que les goyettes sont impures tout le temps comme si elles avaient leurs règles 28 jours sur 28, c’est un pas que nous ne franchirons pas. Cependant, il ressort de l’écoute de ces analyses talmudiques un racisme, un séparatisme, une supériorité racialiste (et pourtant il n’y a pas de race juive) évidente qui ne surprendra pas les spécialistes de la question.

Si l’on croise le cas (comme en droit) de l’impureté avec l’autorisation d’exploiter son prochain, on obtient la possibilité de faire du beurre sur le dos des goyettes, ce qu’Epstein a fait. Mais peut-être que l’étude profonde du Talmud n’était pas nécessaire, et que seule la cupidité a guidé ce juif new-yorkais. Ceci étant dit, ceux qui présentent Epstein comme un grand mathématicien qui aurait réussi dans le trading (Wikipédia avant le drame) ne nous expliquent pas pourquoi il aurait pris tous ces risques, jusqu’à celui d’aller en prison (pendant 13 mois) en montant un business certes juteux, mais hautement risqué. Si cet homme était déjà milliardaire dans les années 90, qu’avait-il besoin de servir de fournisseur de fillettes à des notables de l’hyperclasse ?

 

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Bill Clinton, un habitué du Lolita Express

 

Les historiens des religions savent que l’usure (ça ne parle que prêt, gage et remboursement !), et donc l’exploitation de l’homme-travailleur par l’homme-parasite, a été autorisée et parfois encouragée par le Talmud. Dans l’étude Talmud, Sanhedrin 59a, il est question de l’esclavage des goyim, qui n’ont pas le droit de s’arrêter de travailler un jour de shabbat, et surtout, qui n’ont pas le droit d’étudier la Torah, un blasphème puni de mort (par lapidation selon les textes).

Talmud, Sanhedrin 59a : « Les goyim qui chercheraient à découvrir les secrets de la Loi d’Israël commettent un crime qui réclame la peine de mort ».

Peut-être ne devrions-nous pas nous intéresser de trop près au Talmud ou à cette affaire !

Les talmudistes ont raison de dire que des pseudo-citations ont été sorties de leur contexte, mais quand on étudie justement leur contexte, cette myriade de micro-contraintes du quotidien, c’est parfois tout simplement du racisme. On dira donc un partout balle au centre. Car il y a des rav qui nagent en plein racisme et d’autres qui tournent autour. On sent la gêne d’admettre de façon tranchée la supériorité qui suinte de tous ces textes... Toutes les discussions inter-raviques tournent autour de la grande question : la supériorité des juifs sur les goyim. Comme si c’était discutable !

De là à dire que ces principes « moraux » fondateurs expliquent 1 500 ans plus tard (le Talmud – la Mishna puis la Gemara – a été rédigé du IIe au VIe siècle de notre ère) l’amoralité profonde d’un Epstein ou d’un Weinstein, c’est un saut qualitatif que nous ne ferons pas : ce ne sont pas des preuves. Un faisceau de soupçons, une tendance lourde, mais beaucoup de violeurs ou d’abuseurs de femmes ne sont pas juifs, et certains pédophiles parmi les ministres français sont des goyim bon teint. La saloperie est dans la nature humaine, et elle est bien partagée par tous les peuples, toutes les ethnies, toutes les religions.

D’accord, mais il se trouve que les deux plus gros scandales de ces deux dernières années, en matière de mœurs et de morale, sont le fait de deux multimillionnaires juifs. Hasard ou nécessité ? Et qu’est-ce qui explique une aussi longue impunité pour Epstein et Weinstein ?

Talmud, Babha Kama 113a : « Les juifs peuvent mentir et se parjurer, si c’est pour tromper ou faire condamner un goy ».

L’autre défense des citations racistes du Talmud par les spécialistes juifs, c’est ce qu’on pourrait appeler la théorie du mouton noir, inévitable dans un troupeau de 11 000 moutons blancs. Car le Talmud a été écrit par quantité d’érudits ou rabbins, de qualité et dangerosité très inégales, et sur 11 000 pages (5 400 pour certains), on trouve effectivement des pépites d’un racisme antigoy assez explosif.

La question devient alors : ces diatribes antigoy ont-elles un effet sur la moralité et la mentalité juives actuelles ? En d’autres termes, que valent les excès de racisme ? Sont-ils les bornes radicales d’un texte somme toute séparatiste asseyant la domination imaginaire d’une tribu sur le reste du monde, ou un vrai blanc-seing accordé à des individus qui se croient tout permis, au-dessus des lois et des hommes ? Tout le problème est là. Mais il est à craindre que le noyau actif des talmudistes ait déteint sur la communauté toute entière, l’empêchant de se mêler aux autres communautés et de les considérer sur un pied d’égalité. Précisons ici que la religion juive a évolué et s’est radicalisée sous l’emprise des talmudistes.

 

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Contrairement aux apparences, la sale pute est au centre

 

Reposons alors le problème : Weinstein et dans une mesure plus grave Epstein sont-ils amoraux parce qu’ils incarnent les délires du talmudisme, ou tout simplement parce qu’il s’agit de deux gros pervers comme il en existe dans toutes les communautés ?

C’est là où les statistiques interviennent : Weinstein n’est pas un producteur isolé à Hollywood, la grande majorité des décideurs de cette industrie culturelle très influente (notamment sur la jeunesse) appartient à la communauté juive. Weinstein n’est pas un cas isolé et d’ailleurs, après lui d’autres producteurs juifs ont été épinglés par le mouvement Me Too. Aucun antisémitisme là-dedans, juste une réalité démographique. Il y a plus de producteurs juifs qui baisent ou violent des actrices que de producteurs goy, tout simplement à cause du rapport mathématique écrasant entre les deux groupes.

De la même façon, la télévision française compte un nombre d’animateurs (et de chroniqueurs) juifs largement supérieur à ce que la communauté juive représente dans la communauté nationale, à savoir 1 %. S’il n’y avait que 1 % d’animateurs juifs à la télé, alors Michel Drucker, le plus célèbre d’entre eux, serait quasiment tout seul, au milieu d’une meute de goyim. On remarque que là aussi les masses sont peu ou pas représentées, car nous n’avons quasiment aucun animateur qui se dit chrétien, et encore moins musulman, sans même parler d’islamiste. Et pourtant, il y a des animateurs qui ne se cachent pas d’être foncièrement sionistes… Comprenne qui pourra. De ce côté-ci du business, la démocratie représentative est une chimère.

Le cas Weinstein est presque réglé : c’est un producteur juif de poids dans le système hollywoodien qui a profité de sa fonction pour prostituer des actrices, selon le deal « une baise/un rôle ». Le schéma étant tellement fréquent qu’il ne choque plus grand monde, enfin, jusqu’à la révolte générale – et tardive – Me Too.
Le cas Epstein est plus complexe : il faudrait comparer ses méthodes, son réseau et ses moyens avec un autre réseau pédocriminel mondial mais un réseau de cette importance ne court pas les rues : le réseau Epstein constitue en quelque sorte le sommet de la pyramide. D’autres réseaux existent, moins spectaculaires, plus localisés (la filière africaine, de plus en plus prisée, la filière marocaine, décrite par le dealer des stars, et la filière asiatique, de plus en plus surveillée), qui arrosent des clients moins célèbres. Ceux-là sont toujours à l’œuvre et il est à craindre que les habitués des pauvres petites putains epsteiniennes soient déjà passés à d’autres fournisseurs.

 

Weinstein, Epstein, Barak et le Mossad

Sans remonter aussi loin que le Talmud, il est un lien secret entre les deux hommes, et pour cause : il s’agit d’un ancien Premier ministre israélien (de 1999 à 2001) et derrière lui, le service de renseignement extérieur de l’entité israélienne. C’est Ehud Barak qui fait le lien entre Weinstein, qui avait besoin d’agents sûrs pour suborner les témoins gênants de ses nombreuses affaires, et la société Black Cube, composée d’ex-agents ou d’agents en activité qui vendent leurs talents au plus offrant. Les membres de Black Cube n’ont pas seulement espionné les actrices agressées par Weinstein (le producteur Don Simpson avait lui choisi un tueur de la mafia italo-américaine), ils ont aussi intimidé les journalistes qui s’intéressaient de trop près aux plaignantes. Black Cube a même trempé dans l’argent des Clinton, un couple désormais dans la tourmente (à ce propos les relations de Douste-Blazy avec la Fondation Clinton commencent à sortir) :

« Selon la chaîne TV israélienne, Weinstein aurait même invité Barak et le patron de Black Cube à un gala de levée de fonds pour Hillary Clinton. La société, fondée en 2010 par des vétérans des services de renseignement israélien et spécialisée dans les conflits entre grands groupes financiers ou industriels, a refusé de commenter ou d’infirmer ces informations. » (Libération)

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La vérité si j’mens, je savais pas pour son
 affreux business !

 

Un Ehud Barak qu’on retrouve dans le carnet d’adresses d’Epstein, on ne sait si c’est à la page des clients ou des protecteurs, sinon des récupérateurs de renseignements chauds. Car il est hautement probable que le juif new-yorkais, mort par pendaison à 6h39 le 10 août 2019 grâce ou à cause d’une surveillance très lâche, possédait des enregistrements ou des preuves des malversations sexuelles de ses prestigieux clients.

 

 

Toute police possède un département des mœurs – qu’on appelait la Mondaine – qui sait qui pratique quoi et qui franchit la légalité en matière sexuelle. Une section, appelée « Cabaret », était spécialisée dans la sexualité des personnalités sensibles. Ses membres faisaient la tournée nocturne des boîtes à partouzes et autres châteaux à parties fines (au besoin les putes sur place balançaient) pour actualiser les petits secrets de chacun, et surtout des ministres, des stars du showbiz et des capitaines d’industrie. Les « notes blanches » remontaient à la préfecture parisienne et étaient livrées le matin même au ministre de l’Intérieur. Les fiches ne servaient pas forcément à du chantage mais cette habitude très française du secret peut expliquer la discrétion de la presse en matière de haute pédophilie : on balance des Émile Louis et autres Michel Fourniret à la vindicte populaire, mais on ne touche pas aux hommes de pouvoir, dont les noms sont pourtant connus de tous ou presque. Le mot d’ordre c’est : on ne balance pas, on utilise. Mais parfois, tout se casse la gueule, et il se peut que la théorie des dominos s’applique à la pyramide Epstein, qui se fissure de partout...

Ehud Barak, qui a été proche d’Epstein pendant 15 ans (quand même !), a osé déclarer à la 13e chaîne israélienne :

« Aujourd’hui, je pense à ses victimes, au prix (qu’elles ont payé) et aux choses effroyables qu’il a faites. [...] Comme beaucoup de gens respectables aux États-Unis, rétrospectivement, j’aurais préféré ne jamais avoir eu de contact avec lui. Dès que tout s’est éclairci, j’ai immédiatement rompu ces contacts. »

On peut le croire sur parole : un Premier ministre israélien ne ment pas.








Lire aussi :


"Si j'étais un leader arabe, je ne signerais jamais un accord avec Israël. C'est normal; nous avons pris leur pays. [...] Ils ne voient qu'une seule chose : nous sommes venus et nous avons volé leurs terres. Pourquoi devraient-ils accepter cela ?"

- David Ben-Gourion, premier ministre israélien, cité par Nahum Goldmann dans "Le Paradoxe Juif", page 121.


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