HOME


Léon Degrelle
( 15-6-1906 à Bouillon en Belgique- 31-3-1994 à Malaga en Espagne)
 

Qu´importe de souffrir si on a eu dans sa vie quelques heures immortelles. Au moins, on a vécu!

  Qui est Léon Degrelle?
  Degrelle sur l´Islam - Vidéo
  
Hitler, l´Islam et la juiverieie
  
Hitler et l´Islam
  
Les exilés
  
Pourquoi j'ai cru en Hitler
  Le fascinant Hitler
  A côté des Allemands

  
Hitler pour mille ans
  
L’enfer russe
  
L’Europe éclatée
  
L’Europe vaincue
  Des Tintins musulmans
  Les tramways de Moscou
  
e Stalingrad à San Sebastian
  
Le musellement des vaincus
  
Un fidèle de Degrelle
  
Aux armes pour l´Europe

English Swedish

« Des milliers de
 Tintins musulmans 
»

par
Léon Degrelle

Extrait du livre posthume de Degrelle « Tintin mon copain  » 231 p.,  Editions du Pélican d’Or, Bruxelles, 2000, – édité à  mille exemplaires dont huit cent cinquante ont été  saisis chez l’éditeur et mis au pilon par décision judiciaire, tant leur contenu inquiétait les magouilleurs du jour- et que Degrelle dédit à la  mémoire de son frère pharmacien Edouard assassiné dans sa maison de Bouillon,devant ses fillettes, par les collaborateurs enjuivés, le 8 juillet 1944, ainsi qu’à la mémoire de sa mère (âgée de presque quatre-vingts ans et trente fois grand mère !) et de son père – condamné à 8 ans d’emprisonnement après un procès politique dont on montra le cadavre nu à ses enfants à la prison Saint-Gilles - morts d’anéantissement dans les prisons de la haine à Bruxelles , le 23 octobre 1947 et le 11 mars 1948. Sa mère fut enfermée avec cinq prostituées qui se livraient constamment à des exercices obscènes pour se maintenir en état et ne vit jamais un juge, libérée la veille de sa mort !

 

Georges Rémi ou Hergè avait dessiné dans sa jeunesse la couverture d’un livre de Degrelle « Histoire de la Guerre Scolaire », contre la tyrannie des laïques et  il s’inspira du personnage de son ami, tout jeune  reporter qui revenait, pour son journal catholique,  d’une tournée au  Mexique, où il enquêtait sur la répression des laïques et des kémalistes à la mexicaine contre les Cristeros ou paysans chrétiens aux propriétés spoliées, pendus aux poteaux électriques par un régime dictatorial franc-maçon appuyé sur les Yankees spoliateurs,  et  d’une tournée aussi aux  Etats-Unis,  Degrelle,  pour  imaginer le héros aux pantalons de golf  et à la houppe Tintin et également copia  le Fox terrier blanc perdu par Hitler durant la première guerre mondiale dans les Flandres, nommé Fox, mascotte du régiment dont la photographie circulait  dans les années trente et que chacun peut examiner dans l’exemplaire « Tintin mon Copain ».  Il suffit  en effet de voir les photographies pour être convaincu, car le Milou vivant est bien là qui saute aux yeux !

 

« Quand j’ai su que je ne reverrai plus mon petit chien, j’ai éprouvé autant de peine que lorsqu’on perd le meilleur de ses compagnons » avait écrit Hitler dans « Mein Kampf » (1922).

 

 Des millions de lecteurs ont lu  les aventures de Tintin et Milou dans le monde et dans son dernier livre, quelques mois avant sa mort, Léon Degrelle évoque les gamins de l’Intifada palestinienne  dont il compare l’intrépidité au héros international d’Hergé.

 

Degrelle, décédé en 1994,  eût, vivant parmi nous,  salué de sa voix éloquente  la victoire patriotique du Hezbollah au Sud Liban comme la suite de la bataille engagée par ses 3000 Wallons,aux effectifs renouvelés, et tous ses camarades européens chrétiens et musulmans, des Flamands et des Wallons aux Bosniaques, aux Tatars de la Volga et aux Asiatiques azéris musulmans et arméniens chrétiens unis, et tant d’autres nations dont les Espagnols et les Français au Front de l’Est contre le judéo-bolchevisme allié par le judaïsme précisément aux ploutocrates anglo-américains, à ceux, tel le Blumenstein de l’ « Etoile Mystérieuse »  que caricature Hergé et qu’affrontent les jeunes Tintins !

Le principal crime que commit Hergé (Georges Rémi, l’auteur et dessinateur du célèbre personnage de Tintin, 1907-1985) au cours de ces années périlleuses 1940-1944 fut, dans l’un ou l’autre des dessins du « Soir », de se payer une plaisanterie assez innocente à propos de quelques nez un peu trop crochus.

 

Que le banquier Blumenstein, un gros cigare à la transversale sous un appendice nasal imposant comme un sous-marin de poche, eût amusé, par la faute d’Hergé, la jeunesse –et la vieillesse- du « Soir » .. ;-  releva très nettement, après 1944, du crime racial caractérisé !

 

Tout le monde, pourtant, sait que les Juifs bien nés ont des nez d’un format plutôt exubérant, courbés parfois comme une roue de bicyclette ! Plaisanter là-dessus n’est pas spécialement méchant.  N’empêche, le nez un peu trop étoffé du banquier Blumenstein pèserait comme une  masse de plomb à l’heure des comptes.

 

Cette susceptibilité des Juifs –pour des bêtises souvent !- a beaucoup contribué à les rendre difficilement supportables. A voir qu’on les plaisante, ils se scandalisent comme si on outrageait en eux une part de divinité !

 

Le fait, malheureusement, est indéniable : depuis que l’Histoire existe, le Juif n’a jamais pu se faire vraiment aimer. De Gaulle lui-même a marqué cette aversion d’un qualificatif décisif  : «  Peuple  dominateur » (conférence de presse parisienne du chef de l’Etat français du 27 novembre 1967).Le Juif –il a ça dans le sang- veut dominer. Dominer la finance. Dominer la politique. Dominer la presse. Dominer l’opinion. Dominer l’univers, alors que la population juive ne représente, à peine, que la trois centième partie de l’humanité ! On voudrait voir les Israélites se convertir et tenir une place normale parmi le concert des hommes. Tout le monde s’en féliciterait. Pourquoi n’acceptent-ils pas d’être heureux en dégustant, comme tout le monde, leur simple part de bonheur terrestre ? .Est-il indispensable qu’ils occupent sans cesse, bruyamment, ostensiblement, la scène universelle ?

 

Même maintenant où Israël a imposé sa présence partout, le public doit subir presque chaque jour à la télévision les pétarades de maximalistes israéliens acharnés à se tailler à la carabine,

au Liban, en Syrie, à Gaza, un espace supplémentaire à leur Etat israélien, aux dépens des peuples qui ne veulent pas de leur domination ! Dix fois les instances internationales se sont insurgées contre cette voracité. Les condamnations de l’O.N.U ont plu en averse depuis 1947 ! Chaque fois, pour rien ! Le 30 octobre 1991, enfin des centaines de délégués accourent à Madrid, rassemblés péniblement après 300.000 kilomètres de courreries aériennes du ministre américain Baker. Ils reprirent devant Shamir, le premier ministre d’alors, courtaud, les bras ballants, renfrogné,un débat qui avait été officiellement réglé à l’O.N.U depuis 1947. Il fallait tout recommencer, comme si rien ne s’était passé !

 

 

Pour arriver à quoi ?

 

Pendant deux ans, les confrontations n’aboutissaient qu’à des galopades de milliers de journalistes rigolards, à quelques milliards de frais d’organisation et de déplacements !

 

Shamir était bien décidé à ne pas lâcher aux Palestiniens un fixe-chausettes !

Conquérir, dominer et ne plus broncher !

 

On dut attendre la défenestration électorale de Shamir pour qu’enfin, en 1993, les Israéliens se rendissent compte que leur rêve dominateur d’un Etat juif, s’emparant de tout l’espace Nil-Euphrate ne rapporterait guère que des cercueils.

 

En vain, ils avaient conquis par la force la Palestine. Ils y avaient perpétré d’affreuses tueries. Ils y avaient installé, sur les meilleures terres, cent vingt mille colons juifs, véritables troupes d’occupation !

 

En vain encore, pour faire place à celles-ci, ils avaient chassé, dans des exils multiples, au Soudan comme en Amérique du Sud, aux Etats-Unis comme en Jordanie, des centaines de milliers de paysans infortunés qui, durant des siècles, avaient cultivé en paix ces terres d’en deça du Jourdain !

 

En vain aussi, les chars juifs avaient envahi le Liban, rapté une partie de son sol, fomenté le massacre de deux mille innocents à Sabra et Chatillah !

 

En vain, toujours, ils avaient déporté dans une zone inhumaine du Nord, sans abri, rongé par la neige et le froid, quatre cents prisonniers lâchés dans ce désert libanais tels des boucs de malédiction !

 

En vain, enfin, ils avaient submergé les monts du Golan, croyant tenir à jamais la Syrie sous la menace de leurs roquettes !

 

Le courage, l’héroïsme des « occupés » avaient fait face, partout et par tous les moyens à cette oppression.

 

Mais, le plus inouï,c’est que ce sont des enfants- des vrais Tintins d’Orient- qui, par l’Intifada, finirent par l’emporter ! Ces milliers de petits David (le retour de l’Histoire !) n’avaient pour lutter, que les pierres  éparses de leur pays martyrisé. Ils assaillirent pendant six ans les dizaines de milliers de soldats d’Israël super-armés, leur rendant la vie insoutenable. Oui, ce fut ainsi ! L’Intifada fut la première guerre au monde  que gagnèrent des gosses ! A coups de millions de cailloux ! Comme s’ils avaient été mis en branle par Tintin lui-même ! Milou, aboyant de toutes ses forces, filant en flèche au devant des projectiles !

 

A leur vaillance, on avait répondu, au début, par d’épouvantables fusillades. Plus de mille enfants, de femmes et de gosses périrent sous les balles. Mais on ne pouvait pas sans fin décharger ses fusils sur des milliers de Tintins musulmans ! Gaza, au bout de dix ans, se convertirait pour les Juifs en un enfer dévorant. Ils durent bien comprendre, pour finir,que se maintenir dans cette fourmilière fantastiquement harcelante devenait impossible.

 

Il fallait laisser tomber.

 

Et ce fut Washington. Le Premier Ministre israélien Rabin, ancien terroriste de la Haganah, et fameux par les scandales de sa femme en 1977, dut bien, à la face du monde entier, le 13 septembre 1993, serrer la main à la bête noire qui l’avait tenu en échec pendant plus de vingt années, l’inlassable Arafat, l’empêcheur de dominer, traqué à mort depuis un quart de siècle par les tueurs du Mossad. (Degrelle ignorait alors l’identité d’Arafat qui est pris ici comme symbole de la lutte palestinienne)

 

Il ne restait plus qu’à admettre un début de paix, qu’à accorder une certaine autonomie aux huit cent mille persécutés de Gaza, et aussi, symboliquement, à la petite ville de Jéricho, où les trompettes d’un Arafat anti-Gédéon ( Gédéon fut un juge d’Israël qui fit massacrer  les Madianites, occupants légitimes des lieux et ancêtres des Arabes) et les jeunes héros Tintinesques avaient abattu enfin les murailles de la nouvelle Histoire !

 

Isaac Rabin prononçait à la tribune de Washington le De Profundis  (chant funèbre latin chrétien) final : « Assez de sang !Assez de larmes !Assez ! » Mais lui et les siens eussent  pu le penser 47 ans plus tôt !

 

Lorsque l’O.N.U avait proclamé la naissance simultanée d’un Etat d’Israël - discutable en soi déjà car, à la fin de la Première Guerre Mondiale , les Juifs ne représentaient que 2 % de la population de ces territoires ! – et d’un Etat de Palestine, que les créateurs du nouvel Etat Juif avaient prétendu dévorer aussitôt.

 

Pendant cinquante ans, les Israéliens s’étaient  acharnés à ces conquêtes. Les pierres des petits esclaves avaient eu raison, en 1993, de cette frénésie de domination.

 

De cette réconciliation tapageuse que ressortira-t-il ?

 

Le « Juif dominateur » tel que l’avait dépeint le général De Gaulle, tirera-t-il enfin une leçon de ce terrible raté en Palestine ?...(« Certains redoutaient que les Juifs, jusqu’alors dispersés, mais qui étaient restés ce qu’ils avaient été de tout temps,c’est-à-dire un peuple d’élite,sûr de lui-même et dominateur n’en viennent », etc. Conférence de presse du Président de la République du 27 novembre 1967)

 

Comment, de la vague autonomie, de type quasi communal, accordé à ce jour à Gaza, passera-t-on, avec le temps à une véritable indépendance ?

 

Comment, de Nazareth au Jourdain, seront rétablis, dans leur patrie ancestrale, tous les habitants de Palestine enfin libérés, ainsi que les millions d’exilés ? et non les seuls 15.000 rescapés de Jéricho aux étonnantes trompettes !....

 

Comment seront ramenés à un statut de citoyens normaux, les plus de cent mille colons avides campants stratégiquement, au nom d’Israël, dans tous les lieux de contrôle de Palestine et de Gaza, enserrant la population arabe dans leurs rêts ?...

 

Comment, enfin, le Croissant réapparaîtra-t-il dans Jérusalem, où Mahomet connut les heures  glorieuses de son voyage céleste ?

 

On n’en est encore qu’à des intentions estompées. On discutera interminablement, pendant cinq longues années. Après seulement, on saura si la paix a vraiment triomphé ou si les prémisses de 1993 ne furent qu’un piège, un de plus qui, la domination juive par la force ayant échoué, avait vu Israël recourir à la ruse cette fois pour dominer quand même la proie rebelle. Devant de tels entrechats, certains, on le comprend, doutent ou se rebiffent encore. L’histoire est pleine de telles réactions. Elles ne sont pas nécessairement de l’antisémitisme.

 

Hergé,en personne, connaîtrait, comme tant d’autres, à cause des ambitions et des susceptibilités juives, des persécutions aiguës ! Après la guerre, il serait forcé de retoucher les nez protubérants de certains Juifs de ses albums. Il se croirait alors obligé, pour se tirer d’affaire, de refiler l’un ou l’autre appendice trop amplifié à d’autres banquiers qui ne porteraient plus le nom fâcheux de Blumenstein !

 

Dans la bande dessinée (2 décembre 1941) du « Soir » ..., ce Blumenstein, installé très confortablement à New York dans un imposant fauteuil directorial, dictait solennellement à son secrétaire ses injonctions :

 

« -Mon cher ami, vous êtes mon secrétaire depuis assez longtemps pour savoir que si la banque Blumenstein a financé l’expédition Peary... etc. »

Le secrétaire,appliqué, répondait avec modestie :

-Je l’espère,Monsieur Blumenstein,quoique... »

 

Le même dessin, réapparu dans les éditions d’après-guerre de « L’Etoile Mystérieuse » avait, entre-temps, dû subir quelques modifications ! Le pauvre Hergè avait sué sang et eau pour réformer le texte fatal. Les lettres, retracées en jambages rigoureusement identiques, mettaient, cette fois, sur bande dessinée, un banquier appelé Bohlwinkel :

 

« -Mon cher ami, vous êtes mon secrétaire depuis assez longtemps pour savoir que si la banque Bohlwinkel a financé l’expédition Peary...etc. »

 

Le même secrétaire que dans l’ex dessin hérétique répondait avec la même componction :

-Je l’espère, Monsieur Bohlwinkel, quoique... »

 

Notre brave Hergé avait cru, grâce à ce tour de passe-passe, s’être tiré d’affaire.En effet, en argot bruxellois, Bohlwinkel signifie : « magasin de bonbons ». Ces bonbons, certainement,  feraient passer le goût amer laissé par un Blumenstein un peu trop marqué !

 

 

Chapitre XXX

 

Sur le racisme

 

Hergé a-t-il été raciste ?

 

 Un raciste, maintenant, après cinquante ans de bourrage de crâne délirant, c’est, aux yeux du grand nombre, un molosse hurleur plantant ses crocs dans les cuisses tremblantes des gens de couleur !

 

Pour Hergé, pour moi, pour nous tous, Européens,qu’était le racisme, sinon le désir, la volonté que nous avions de rendre notre race plus forte, physiquement et moralement ?

 

Hergé et moi étions nés du scoutisme, d’un scoutisme qui développait harmonieusement les forces corporelles, qui les disciplinait, qui stimulait les énergies et qui forgeait les caractères.

 

Nous voulions, oui, une race solide en Belgique,en France, en Allemagne,sur tout notre vieux continent, des familles épanouies,une vie morale orientant les existences. Notre racisme, c’était la santé. La santé de notre peuple. Non, le rejet fanatique des peuples  extra-européens. Nous désirions, tout au contraire,que les autres peuples réalisassent  chez eux une révolution raciale semblable à la nôtre !

 

On le verrait tout spécialement durant la guerre du front de l’Est, lorsque nous recevrions en camarades soixante-mille jeunes Musulmans, qui se rassembleraient au sein de trois nouvelles divisions des Waffen SS.

 

Du racisme, cela ?

 

Que le Grand Mufti de Jérusalem (Hadj Amin el Husseini co-fondateur du Haut Comité Arabe de Résistance avant la guerre  et qui fut reçu avec les honneurs diplomatiques et militaires réservés à un chef d’Etat par Ribbentrop et Hitler et fonda l’Institut Islamique de Berlin et créa,avec l’appui d’Himmler, des écoles d’Imam pour la Waffen-SS) – j’avais passé trois jours de grande amitié en sa compagnie à Salzbourg- se préparât à réaliser,après la guerre, dans la santé,la variété, la richesse,l’unité des peuples arabes, comme au temps de Saladin, nous paraissait parfait.

 

Idem pour les Japonais liés, tout asiatiques qu’ils fussent,à l’Axe Rome-Berlin-Tokyo.

 

Tel était notre racisme, sain, largement ouvert, un racisme sans haine.Pas du tout un racisme traquant d’autres racismes ! Mais, à l’opposé, les stimulant par son exemple, leur donnant l’envie de faire de même dans leur propre espace vital.

 

Ce racisme était celui de milliers de jeunes Européens, conscients de l’unité millénaire de leurs peuples et de la nécessité de conserver la pureté de leur sang. Il n’eût pas même pu faire aboyer Milou !

 

 

Chapitre XXXIV ,
Les vieilles vengeances.

 

En Belgique, les Juifs étaient alors presque inexistants : quelques milliers à peine, incrustés depuis des générations, dans un vieux substratum national où on ne les repérait même pas !Un de mes meilleurs amis de collège s’appelait Jean Lévy. Le mot Lévy n’avait pas plus attiré mon attention que si ce camarade s’était appelé  Tartempion !

 

Il faudrait attendre qu’en 1937 et en 1938, cent mille Juifs de Pologne et d’Allemagne nous tombassent sur le râble en Belgique pour que nous prissions conscience du danger belliciste que cet arrivage massif hargneux,va-t-en guerre viscéraux, pouvait représenter. Mais même alors, les réactions n’avaient pas été spécialement agressives. Nulle part, un cas, si bénin fût-il, de violence physique n’avait été signalé. L’antisémitisme ne naquit jamais –pas plus chez nous que partout ailleurs dans le monde- que de la propension millénaire des Juifs à abuser de leurs dons, parfois réels, pour dominer. De Gaulle a parfaitement décrit le cas.

 

Hergé, quant à lui, s’en était tenu à des broutilles : quelques nez crochus –parmi tant d’autres !- à peine renforcés... Histoire simplement de ne pas manquer à une vieille tradition de rigolade en face de certains travers humains,qu’il se soit agi de la dégaine compassée de l’Anglais, ou du ton vainqueur, tout en aigrettes, de l’Italien, ou des chopes de bière des Allemands, ou du laisser-aller, fleuri, du bon gros Belge !

 

On s’en prenait à Hergè, l’inventeur de quelques nez biscornus, parce que le philosémitisme le plus obtu est maintenant de stricte rigueur depuis la Seconde Guerre Mondiale, cette guerre que de nombreux Juifs ont largement voulue et qui leur a coûté divers déboires,auxquels, de toute façon, Hergé n’avait été mêlé en rien.

 

A cette heure,et plus que jamais,en Belgique, en France, n’importe où, la plus mince rosserie griffant l’un ou l’autre nez planté de travers et –crime affreux ! blasphème indicible !- la moindre mise en doute des chiffres astronomiques (six millionss ! dix millions ! dix-sept millions ! d’Israélites gazés –ou non gazés-au cours des hostilités !), vous vaut d’être envoyé, tel le bouc émissaire d’Israël, dessécher vos os en plein désert.

 

C’est l’arme la plus facile. Facile pour les journalistes de service, qui étudient peu et ne vérifient rien. Facile pour les cancres, les impuissants,et les éternels ratés que le talent irrite.

Léon Degrelle

Qu´importe de souffrir si on a eu dans sa vie quelques heures immortelles. Au moins, on a vécu!

  Qui est Léon Degrelle?
  Degrelle sur l´Islam - Vidéo
  
Hitler, l´Islam et la juiverieie
  
Hitler et l´Islam
  
Les exilés
  
Pourquoi j'ai cru en Hitler
  Le fascinant Hitler
  A côté des Allemands

  
Hitler pour mille ans
  
L’enfer russe
  
L’Europe éclatée
  
L’Europe vaincue
  Des Tintins musulmans
  Les tramways de Moscou
  
e Stalingrad à San Sebastian
  
Le musellement des vaincus
  
Un fidèle de Degrelle
  
Aux armes pour l´Europe

English Swedish

 

HOME