Les visions cauchemardesques d'Elie Wiesel (suite)
Par Hervé Ryssen
27 juillet 2017
Nous apportons ici un nouvel élément à charge contre Elie Wiesel, le grand “témoin” de la “shoah”, décédé en juillet 2016, et champion toute catégorie dans l’art du mensonge et du récit hallucinatoire.
On a déjà beaucoup parlé de lui dans notre livre intitulé le Fanatisme juif (2007), et voyez-vous, plus on y regarde de près, et plus on s’aperçoit que toute sa vie n’a été qu’un cauchemar intérieur.
Les histoires atroces qu’ils nous a racontées sur “l’holocauste” et la Deuxième Guerre mondiale lui venaient en réalité de son grand-père, qui lui-même les tenaient de son grand-père qui, au XVIIIe siècle, les avaient entendues d’un grand-oncle qui était un fameux “batchen” de Podolie, c’est-à-dire un conteur qui allait de shtetl en shtetl (les villages peuplés de juifs en Europe orientale), parcourant les chemins boueux et racontant des histoires à dormir debout.
Tous nos livres sur le judaïsme comportent des témoignages ou des anecdotes allant dans ce sens et confirment l’imagination hallucinatoire de ces intellectuels, qui va de pair avec une amnésie chronique. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle ils ne cessent de nous parler de “mémoire” : c’est parce qu’ils n’en ont pas. On se rapportera ici à notre “Psychanalyse du judaïsme (2006, deuxième édition de 2011, la seule valable – couverture rouge).
Rappelons ce qu’écrivait Elie Wiesel en 1994 dans ses Mémoires pour nous faire croire à des atrocités soi-disant commises par les nazis : “C’est en rêve, un mauvais rêve de Dieu, que les êtres humains lancent des enfants juifs vivants dans les flammes des fosses béantes. Je relis ce que je viens d’écrire, et ma main tremble, tout mon être tremble. Je pleure, moi qui pleure rarement. Je revois les flammes, et les enfants, et je me répète qu’il ne suffit pas de pleurer. Il m’a fallu du temps pour me convaincre que je ne m’étais pas trompé.” (Mémoires, tome I, Seuil, 1994, p. 102).
Et voici maintenant ce qu’écrivait déjà Edmond Fleg en 1928, c’est-à-dire douze ans avant le début de la Deuxième Guerre mondiale.
Edmond Fleg (Flegenheimer), était un intellectuel bien connu de la communauté juive de France. Il écrit ici presque mot pour mot ce qu’écrivait Elie Wiesel, dans un passage consacré à l’affaire Dreyfus :
« Son cri réveillait d’autres cris entendus, ceux du lointain pogrom conté à mon enfance. Elles redevenaient présentes, les images évanouies : les femmes éventrées, les vieillards enterrés vifs, les enfants jetés nus dans les flammes. Et je voulais me lever et crier à mon tour, crier leur martyr à tout l’univers. » (Pourquoi je suis juif, Editions de France, 1928, page 45).Voilà donc un témoignage supplémentaire qui plaide en faveur de la thèse psychiatrique. Je l’ai dit, je l’ai écrit, et je le redis encore ; ça tient en dix mots :
« Le judaïsme est cette maladie qu’a prétendu guérir la psychanalyse. » L’imagination débordante et incontrôlable en est un des symptômes. Et l’amnésie sélective se vérifie par la même occasion. Ca ne rate jamais, si vous me permettez l’expression !
Hervé Ryssen.
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