No hate. No violence. Races? Only one Human race. United We Stand, Divided We Fall. Know Your enemy. Act Now! Tomorrow it will be too late.


QUAND LA VERITE N’EST PAS LIBRE, LA LIBERTE N’EST PAS VRAIE

Bulletin d’information
de l´Association Vérité et Justice, CP 355, 1618, Châtel-Saint-Denis, Suisse, Rédacteur : René-Louis Berclaz
Nr: 1 - 2 - 3 - 4 - 5 - 6 - 7 - 8 - 9 - 10 - 11 - 12 - 13 - 14 - 15

No 2 - juillet 1999

Nouvelles de l'Association Vérité & Justice (RLB)
Questionnez ! On vous répondra… Compte rendu d'une conférence du 33ème Daniel Beresniak, juif et franc-maçon, membre du B'naï B'rith, la plus influente société secrète juive. (notes de conférence prises par Philippe Brennenstuhl et René-Louis Berclaz)
Les assassins de la mémoire…Compte rendu d'une conférence de Pierre Vidal-Naquet, historien juif engagé dans la lutte contre le libre-examen en matière de faits historiques. (notes de conférence prises par Philippe Brennenstuhl et René-louis Berclaz)
'Sur le front de la répression: Compte rendu du procès en appel de Jürgen Graf
(notes d'audience prises par Xaver M?rz), avec un commentaire (RLB)
L'affaire Reynouard (RLB
L'affaire Plantin (RLB)
Nouvelles
de l'Association Vérité & Justice

Rappelons que l'objectif premier de V&J est de constituer une banque de données concernant tout ce qui est en rapport, de près ou de loin, avec la nouvelle norme pénale dite antiraciste (art. 261 bis CPS). Nous avons maintenant acquis la certitude que cette loi est une machine de guerre, complémentaire aux forces armées de l'OTAN, et destinée comme elles à juguler toute véritable opposition nationale susceptible de s'opposer à l'essor d'un mondialisme totalitaire et liberticide, destructeur des peuples et des nations. Il est donc très important de réunir les preuves de cette répression, laquelle devient de plus en plus agressive, à la mesure des fissures de plus en plus profondes qui sapent le mur des mensonges. Par conséquent, nous invitons chacun à nous faire parvenir tout document, coupures de presse ou références bibliographiques d'ouvrages susceptibles de concerner V&J, afin que nous puissions alimenter cette banque de données. Par ailleurs, conformément à ses statuts, V&J offre son assistance à toute personne victime de la loi muselière, mais ne saurait en aucun cas se substituer à une procédure de défense juridique, que seul un avocat inscrit au barreau peut assurer en cas de poursuites pénales. Toutefois, nous sommes en mesure de communiquer à un avocat encore peu au fait avec des pratiques judiciaires dignes de l'ex-URSS tous les renseignements susceptibles de l'éclairer à ce sujet. De même, V&J soutiendra toute initiative politique visant à supprimer l'art. 261 bis du Code pénal suisse. La première tâche du Comité a consisté à faire connaître V&J, en premier lieu auprès de sympathisants et d'amis susceptibles d'y adhérer. Cet objectif a été atteint, assurant ainsi un départ encourageant et prometteur pour nos prochaines initiatives. V&J a déjà des adhérents en France, en Belgique, en Allemagne et en Suisse, et a mis en place un réseau de correspondants en Suisse et à l'étranger. V&J a également pris contact avec des représentants d'organisations politiques suisses, dans le but de leur faire prendre conscience des vrais enjeux qui sont à l'origine de la loi muselière. Enfin, V&J a engagé plusieurs actions en vue de rectifier des informations publiées par la presse , qui sont manifestement et volontairement erronées, voire calomnieuses. Le moment venu, ces actions feront l'objet d'une information dans notre bulletin. Par ailleurs, précisons que le bulletin d'information de l'Association Vérité et Justice est un document personnel et confidentiel réservé aux seuls membres de l'Association.

RLB


 

Questionnez ! On vous répondra …

Ces trois points ne sont pas que des points de suspension : en l'occurrence, il s'agit bel et bien des trois points qui sont la signature de la secte maçonnique. L'occasion était donc rare, voire unique, d'assister, le 18 mars 1999, à la conférence publique organisée par la Loge " La Fraternité " d'Yverdon-les-Bains, à l'occasion de son 125ème anniversaire.

 

V&J était représenté dans la salle par deux membres du Comité pour entendre, en compagnie d'un public nombreux et attentif, le Souverain Grand Inspecteur Général Daniel Beresniak, juif et franc-maçon, haut dignitaire du 33ème Degré maçonnique (source : " Le Chroniqueur ", hebdomadaire juif, du 22 septembre 1993). Précisons d'emblée que le conférencier ne fut pas présenté comme tel, mais, de manière anodine, comme un écrivain et conférencier français. En réalité, il s'agissait bien là d'une occasion exceptionnelle d'écouter, et davantage encore, de questionner un titulaire du plus haut grade maçonnique, puisque tel était le programme de cette soirée, présentée par la secte sous le signe de l'ouverture et de la transparence…

 

Précisons et soulignons encore que les propos qui furent entendus et que nous rapportons ici l'ont été par les 300 auditeurs présents dans la salle.

 

Selon le conférencier, l'existence des premières loges remonte au XIVe siècle déjà. Dès cette époque, la maçonnerie opérative des bâtisseurs de cathédrale aurait évolué vers une maçonnerie spéculative, adepte du libre débat, en réaction au principe d'autorité alors en vigueur dans l'Université du Moyen Age. Apparemment, le conférencier ne voit pas de contradiction entre cet idéal maçonnique, et le fait que le " principe d'autorité " se trouve maintenant établi en Europe par une législation liberticide qui impose une vision de l'Histoire et interdit tout débat public sur certains faits historiques controversés. Pour citer exactement les propos tenus par le conférencier, " le monde est à faire ". Faut-il comprendre par là que le monde est à faire par la secte maçonnique, en tentant d'ériger, sur le modèle des loges, le Temple immatériel de l'humanité ? L'obstacle principal à cette utopie serait l'ignorance. Pour vaincre l'ignorance, il faut éduquer les masses, raison pour laquelle la maçonnerie s'y implique autant que possible. L'enseignement laïque est son œuvre : on en voit maintenant les fruits. La maçonnerie s'affirme ouverte à tous les courants de pensée et à toutes les opinions : libéralisme, socialisme, communisme, toutes ces idées sont honorables et sont là pour être discutées sans parti pris. Seule exception, le fascisme, qui ne serait pas une opinion, mais un trouble du comportement. De même pour les intégrismes religieux, incompatibles avec la liberté d'esprit maçonnique. Le conférencier ne craint pas de perdre de sa souveraine sérénité en traitant d'aussi pénibles sujets, affirmant avec force qu'on ne saurait tolérer l'intolérance… toujours selon notre conférencier, les martyrs maçons se sont sacrifiés sans compter pour conjurer de tels périls. Le premier d'entre eux serait Socrate lui-même, suivi de Ferrer l'Espagnol, d'Alfieri l'Italien et de Novikoff le Russe, pour n'en citer que quelques-uns plus rapprochés de notre époque.

Après ce préambule, le conférencier invite les auditeurs à poser des questions.

 

Question: quelles sont les principes fondamentaux et éthiques de la maçonnerie ?

Réponse: les Constitutions d'Anderson sont les statuts fondateurs de la maçonnerie et datent de 1723, et les Frères sont pour le moins tenus d'observer les lois de Noé.

 

Commentaire V&J : le conférencier se garde bien de préciser que le noachisme, du point de vue du judaïsme, est la seule religion toujours en vigueur pour l'ensemble de l'humanité non juive. Un célèbre rabbin italien du XIXème siècle, Elie Benamozegh, est le personnage-clé de cette ancienne religion, que l'on retrouve sous le masque du New Age, prototype de la future religion mondialiste, Celle-ci devrait trouver sa consécration à l'occasion de la rencontre des religions, sur le Mont Sinaï, prévue au mois de mars de l'An 2000, en présence du pape Jean-Paul II. La nouvelle religion mondialiste est identifiable à sa bannière, l'arc-en-ciel, un symbole que l'on retrouve à l'occasion de toutes les manifestations laïques ou religieuses placées sous cette influence.

 

Question : qu'est-ce qui différencie une loge d'une secte ?

Réponse : il est facile d'entrer dans une secte, mais difficile d'en sortir, alors qu'il est difficile d'entrer en loge, mais facile d'en sortir…

 

Question : la maçonnerie est-elle en expansion, ou en récession ?

 

Réponse : la maçonnerie traverse actuellement une phase récessive, mais il s'agit en fait d'un phénomène cyclique bien connu qui ne doit en rien laisser croire au déclin des loges…

 

Question : que faut-il faire pour devenir maçon ?

 

Réponse : il suffit de présenter sa candidature, cautionnée par des amis maçons…

 

Question: quelle fut l'influence de la maçonnerie dans la création de la Suisse moderne ?

 

Réponse : les loges sont à l'origine de la Constitution de 1848, et le premier président de la Confédération helvétique, Jonas Furrer, était Grand Orateur de la Loge Alpina. Mais la maçonnerie est par principe de nature apolitique.

 

Commentaire V&J : apprécions la nuance ; la maçonnerie est apolitique, mais un maçon a toute liberté de s'engager en politique…

 

Question : dans un prospectus diffusé par la Loge Alpina, il est dit que la maçon se tourne vers une " puissance supérieure " pour faire sa profession de foi : quelle est la nature de cette " puissance supérieure " ?

 

Réponse : il s'agit d'une métaphore pour désigner la liberté de croyance en usage dans la maçonnerie.

 

Commentaire V&J : en fait, cette " puissance supérieure " est celle qui domine la maçonnerie, comme le déclarait le rabbin Wise : " La maçonnerie est une institution juive dont l'histoire, les degrés, les fonctions, les mots de passe et le catéchisme sont juifs du début à la fin, à l'exception d'un degré intermédiaire et de quelques mots au cours de l'initiation. " (source : Epiphanius, Maçonnerie et Sectes secrètes, le Courrier de Rome, Versailles, 1999, page 146)

 

Question : quelle est la nature des relations entre Juifs et maçons ?

 

Réponse : les maçons ont toujours travaillé pour que l'on reconnaisse leurs droits… par conséquent, ces relations ont toujours été excellentes.

 

Commentaire V&J : Daniel Beresniak nous confirme ainsi que les loges sont bien l'instrument des Juifs en vue d'instituer dans le monde les lois de Noé, sous-religion primitive mais suffisante pour l'humanité non juive. Le noachisme est la religion conservée par Israël pour être transmise aux Gentils, et le Juif en est le prêtre, chargé de guider l'humanité, avec le concours actif des maçons. Entre autres effets, cela se traduit par l'inversion de certaines valeurs : mariage entre invertis, en vue de créer un "couple ", voire une " famille ", mais dans le même temps, abolition des prérogatives des vrais familles…un paradoxe voulu de plus à l'actif de l'influence maçonnique, dont les agissements ne sont pas toujours fondés sur la logique, le but étant à ce stade de semer la confusion pour mieux troubler les esprits.

 

A l'occasion d'une réunion du Rotary Club de Turin, Armando Corona, alors Grand Maître de la Maçonnerie italienne affirma : " le pape Jean-Paul II lui-même est un Paul Harris fellow ", c'est-à-dire un rotarien. Cette affirmation n'a jamais été démentie par le Vatican. Ceci est d'autant plus surprenant, sachant que la " Rotary Foundation " appuie la diffusion du " Bulletin de la Bonne Volonté Mondiale ", organe de " Lucis Trust ", le nouveau nom de " Lucifer Trust " une secte, comme son nom le revendique, d'essence luciférienne. Précisons que le siège genevois de " Lucis Trust " se trouve au 3ème étage de la rue Varembé 1 à Genève. Au 4ème étage, on note la présence du " Congrès Juif Mondial "…

 

 

Les Assassins de la Mémoire. Une conférence publique de Pierre Vidal-Naquet à Lausanne.

Pierre Vidal-Naquet est un des signataires de la déclaration suivante, publiée dans le journal " Le Monde " du 21 février 1979 : " Il ne faut pas se demander comment, techniquement, un tel meurtre de masse a été possible. il a été possible techniquement puisqu'il a eu lieu. Tel est le point de départ obligé de toute enquête historique sur ce sujet. Cette vérité, il nous appartenait de la rappeler simplement : il n'y a pas, il ne peut y avoir de débat sur l'existence des chambres à gaz. "

 

Vingt ans plus tard, c'est-à-dire le 9 juin 1999, il était intéressant de savoir si le dogme avait bougé. Micromètre en mains, V&J est venu mesurer l'évolution, si évolution il y a eu….

 

Un grand titre de la presse de la Suisse romande, " La Liberté " de Fribourg, annonçait cette conférence et présentait le conférencier comme un " Terminator " qui allait mettre en pièces le révisionnisme. Une centaine de personnes, y compris de nombreux sympathisants à la cause du révisionnisme, ainsi que deux membres du Comité de V&J n'ont pas craint de venir affronter le " Terminator " holocaustique.

 

Précisons d'emblée que le conférencier saute du coq-à-l'âne, qu'il ne développe ni n'argumente, et se limite à des affirmations péremptoires, ce qui explique le caractère décousu du compte rendu qui va suivre.

 

Après les présentations d'usage, PVN critiqua véhémentement les décisions prises par le Conseil fédéral au sujet des réfugiés du Kosovo (le droit humanitaire bafoué, etc…)

 

Commentaire V&J : il est révélateur de constater qu'un hôte comme PVN n'a plus besoin de respecter le devoir de réserve qui incombe en principe à tout étranger s'exprimant publiquement.

 

Feignant après cette tirade contre les Autorités suisses de faire preuve de courtoisie, PVN confie à l'assistance qu'il apprécie beaucoup la Suisse, car c'est la patrie du Cenovis, une pâte à tartiner qui fait son régal (un ersatz qui date de la guerre…)

 

Après la hargne et le mépris, PVN aborde le vif du sujet : la mémoire n'est pas l'histoire, et celui qui impose sa vision du passé est en mesure de contrôler le présent et le futur - l'Histoire reste une notion fragile, comme celle de la Suisse, dont le passé n'est qu'une vue de l'imagination - la destruction des preuves de la Shoah a eu lieu en même temps que l'extermination elle-même - le discours du 6 octobre 1943 de Himmler à Posen (Pologne) confirme la volonté d'anéantissement des Juifs par les SS - les chambres à gaz fonctionnent depuis 1942 à Auschwitz, et le Zyklon B était transporté sur les lieux par un SS dans une boîte recouverte du drapeau de la Croix-Rouge - un langage codé a permis de travestir le sens des mots, ce qui est une manière de changer les valeurs - à titre d'exemple, " traitement spécial " pouvait dire, A) gazage, B) séjour à l'hôtel - les installations de gazage furent systématiquement détruites à la fin de la guerre, raison pour laquelle la mémoire vivante des témoins reste la seule preuve du Génocide - selon le " Times of Ohio ", les Juifs auraient déclaré la guerre à l'Allemagne, ceci pour illustrer les méthodes des révisionnistes, qui utilisent dans ce cas une feuille de choux locale pour trouver leurs arguments - les révisionnistes sont très actifs aux Etats-Unis et au Canada, car c'est là que se trouve le " grosse galette " - en Europe, c'est l'Allemagne qui est le marché le plus important pour les révisionnistes - le révisionnisme est multiforme, PVN en brosse le portrait, de l'extrême droite à l'ultra gauche .

A part quelques pervers isolés, comme ce Témoin de Jéhovah qui organisait des visites des camps en distribuant du savon fabriqué avec de la " pure graisse juive " (sic) on trouve :

 

Robert Faurisson, le pape des révisionnistes, ancien camarade de lycée de PVN, donc le traître par excellence. Aurait inventé lui-même l'organisation " Les Fils de la mémoire juive " responsable de son agression du16 septembre 1989.

 

Pierre Guillaume, animateur infatigable de " La Vieille Taupe ", secte marxiste, paranoïaque et délirante, qui ne fait pas de différence entre le communisme, le socialisme et le libéralisme.

 

Paul Rassinier, l'ancêtre, personnage trouble et ambivalent, socialiste münichois, pacifiste et anarchiste, non-violent et paranoïaque, fut un déporté choyé par les Nazis, qui extrapola son expérience à l'ensemble du monde concentrationnaire.

 

Noam Chomski, autre exemple de perversion intellectuelle, en plus un traître juif qui osa écrire une préface pour Faurisson.

 

Jean-Claude Pressac, vrai pharmacien mais faux scientifique, mentalement négationniste, a du mal à cacher son attirance pour le national-socialisme.

 

Jacques Baynac, un ancien de " La Vieille Taupe ", a osé porter la main sur la statue de Jean Moulin.

 

Roger Garaudy, gâteux et manipulé, dont le livre insignifiant ne se serait pas vendu à plus de 500 ex. s'il n'avait été interdit.

 

Ernest Zündel, nazi résidant au Canada, a profité de ses procès pour se faire de la publicité.

 

Mariette Paschoud, la régionale de l'étape (mise en boîte sur le thème : " même votre Suisse si propre a ses révisionnistes ! ".

 

Pour PVN, les révisionnistes ne sont pas de vrais historiens, et ils ne sont ni compétents ni crédibles. PVN ne craint pas de préciser que lui seul a les compétences universitaires requises pour être crédible.

 

Heureusement, selon PVN, il existe des figures exemplaires pour l'humanité :

 

Primo Lévy, a vécu l'enfer des camps, et reste le meilleur témoin de l'aspect psychologique du système concentrationnaire.

 

Raul Hilberg, l'historien fondamental de la Shoah.

 

Elie Wiesel, et son témoignage poignant relaté dans " La Nuit " (PVN croit bon d'ajouter qu'il déteste Elie Wiesel).

 

Jean-François Steiner, dont le livre " Treblinka " a été une révélation pour PVN.

 

Claude Lanzman et son film " Shoah ", un documment inestimable sur le plan des témoignages, ainsi qu'un chef-d'œuvre cinématographique.

 

PVN poursuite en reconnaissant qu'il existe des failles dans l'histoire officielle de la Shoah : cela viendrait du fait que les historiens de la Shoah sont hypocritiques, alors que les révisionnistes sont eux hypercritiques - PVN ne donne pas d'exemple pour illustrer son propos - PVN admet que la chambre à gaz de Buchenwald est une fiction, ce qui a permis au révisionnisme d'extrapoler cette fiction à d'autres camps - à Nuremberg, la Shoah ne fut pas " prouvée " comme il aurait fallu, car noyée dans le drame général de la guerre - la Shoah est une vérité qui se situe sur le plan politique, car un argument historique peut être détruit par un meilleur argument historique - les historiens sont contre la Loi Gayssot, PVN aussi - la vérité n'a pas besoin de la police et des tribunaux - l'Etat n'a pas à dire l'Histoire - PVN est en désaccord total avec Baynac, parce qu'il présente Jean Moulin comme un cryptocommuniste et comme un traître proaméricain - Edward Gibbon, historien anglais du XVIIIe siècle, auteur d'une monumentale " Histoire et Chute de l'Empire romain " a prouvé qu'un livre d'histoire peut être une œuvre d'art - les négationnistes, une secte de canailles, avec lesquelles il n'est pas question de dialoguer - le père Hardouin peut être considéré comme un précurseur du révisionnisme, car il a essayé de démontrer que la littérature antique grecque était une invention des moines copistes du Moyen Age - les faits historiques ne sont pas des choses, ils sont vivants et ils évoluent - l'Arabie Saoudite continue de diffuser les " Protocols des Sages de Sion ", ce faux notoire - les Palestiniens sont des négateurs de la Shoah et ils veulent s'identifier au destin du peuple juif - aucune discussion sérieuse n'est possible avec les révisionnistes : si on vous dit que la lune est un fromage, que faut-il répondre ? - PVN se réjouit de la division du Front National - PVN déplore la réapparition néfaste d'un néonationalisme, de l'antisémitisme et du racisme - Faurisson a péché contre l'esprit, comme Irving et Paschoud - la Shoah n'appartient pas qu'aux historiens - Auschwitz et ses 4 millions de victimes juives était à la fois un camp-usine et un camp d'extermination.

 

Après ces affirmations et autres digressions, l'assistance est invitée à poser des questions.

 

Un fort en gueule affirme que plus personne ne sait qui est Hitler, que les jeunes ne savent rien de l'Histoire, que l'école est nulle à ce sujet, etc…

 

PVN proteste, répond que c'est faux…

 

Un Noir se demande pourquoi on ne fait rien pour le génocide des Tutsis (sous-entendu, alors qu'on fait tout en faveur de la Shoah…)

 

PVN répond qu'un Tribunal militaire suisse vient de condamner un des responsables des massacres…

 

Aucun compte rendu ne suivra dans la presse car il serait sans doute trop facile de lire entre les lignes et difficile de gommer les contradictions et les aveux implicites. Pour conclure, relevons une des plus évidentes de ces contradictions, quand PVN se déclare opposé aux lois antirévisionnistes, alors que dans la presse, il dit : " Il faut une loi antiraciste " (24 Heures du 8 juin 1999).

 

Sur le front de la répression

Compte rendu du procès en appel de Jürgen Graf, président de V&J, devant le Tribunal cantonal du canton d'Argovie, en date du 23 juin 1999. (notes d'audience de Xaver M?rz)

 

Comme on pouvait s'y attendre, la sentence exemplairement et volontairement inique rendue en première instance est confirmée en appel. Rappelons que l'écrivain révisionniste avait été condamné le 16 juillet 1998 par le Tribunal de district de Baden à 15 mois d'emprisonnement sans sursis et à Frs 8'000,-- d'amende, pour avoir publié plusieurs ouvrages et articles qui, selon le Tribunal, auraient violés la norme pénale dite antiraciste (art. 261 bis CPS), autrement dit, la loi muselière. L'éditeur de Jürgen Graf, Gerhard F?rster, alors âgé de 78 ans, domicilié à Würenlos (AG), déjà très gravement atteint dans sa santé, avait été condamné à 12 mois d'emprisonnement sans sursis et, également, à Frs 8'000,-- d'amende ; toutefois, la " Justice " suisse n'est plus en mesure de le harceler, Gerhard F?rster étant parti pour un monde meilleur le 23 septembre 1998.

 

Ce nouveau jugement n'a surpris ni l'accusé, ni son défenseur d'office, le Dr Urs Oswald. Tous deux étaient partis du principe que, lors de procès politiques, la sentence est déjà fixée d'entrée de cause : le déroulement de l'audience d'appel n'a fait que confirmer ce point de vue. Après une suspension d'audience d'une durée d'une heure, la Cour devant se concerter pour la bonne forme, le président lut à haute voix une sentence qui, du fait de sa longueur, ne pouvait avoir été rédigée pendant ce laps de temps. Un telle constatation confirme que la longue plaidoirie du défenseur, concise et engagée, de même que l'interrogatoire de l'accusé par le Président et par le Procureur n'ont pas eu la moindre influence sur le verdict.

 

L'avocat Oswald aurait ainsi déployé toute sa force de persuasion, sans influencer le moins du monde un Tribunal ayant de toute évidence suivi à la lettre des consignes venues d'en haut.

 

Environ 45 personnes ont pu assister aux débats, d'une durée de 2h 30, dont plus d'une trentaine était des amis et sympathisants de l'accusé, les autres, des représentants des médias et quelques Juifs. Le président, Ruedi Bürgi, assisté de deux juges et d'un greffier (au contraire de l'an dernier, le quarteron ne comprenait cette fois que des hommes) interrogea brièvement Jürgen Graf. Nous restituons ici ces propos, non pas au mot près, mais en substance.

 

Le Président : vos livres continuent-ils de représenter vos opinions, et les diffusez-vous toujours ?

 

Jürgen Graf : je m'en tiens toujours au contenu de mes livres, car ils n'ont jamais été réfutés. Comme vous le savez, il y a déjà longtemps que je ne vends plus mes livres seul ; ils sont diffusés depuis la Belgique et l'Angleterre.

 

Le Président : vous avez souvent souligné que, selon vous, trois points étaient essentiels :

 

1. La non-existence des chambres à gaz homicides.

2. La non-existence d'un plan d'extermination des Juifs.

3. Le chiffre erroné quant au nombre de victimes juives (5 à 6 millions).

 

Vous ne contestez pas, en revanche, la persécution des Juifs. Est-ce bien là votre point de vue correctement exprimé ?

 

Jürgen Graf : absolument

 

Le Président : n'y avait-il pas de chambres à gaz, selon vous, dans les camps de concentration ?

 

Jürgen Graf : si, mais utilisées seulement pour l'épouillage des vêtements.

 

Le Président : la politique allemande à l'égard des Juifs s'est-elle limitée, selon vous, à exploiter leur force de travail ?

 

Jürgen Graf : il y eut sur le front de l'Est des exécutions de Juifs dans un contexte de lutte contre les partisans. On ne connaît pas le nombre de victimes en raison du manque de documents fiables.

 

Le Président : mais dans les camps de concentration, s'agissait-il, de la part des Allemands, de n'exploiter que la force de travail des Juifs ?

 

Jürgen Graf : je puis vous citer, de tête, dix documents de guerre qui vous le confirmeront.

 

Le Président : pour quelles raisons alors les gens moururent à Auschwitz ?

 

Jürgen Graf : principalement de maladies. A la fin de l'été 1942, le typhus exanthématique faisait presque chaque jour plus de 300 victimes. Une autre cause de mortalité est due à une mauvaise alimentation. Il y eut aussi des exécutions, et une exécution, où qu'elle se passe, est toujours terrifiante, Mais il faut dire que les exécutions sommaires, sans jugement, étaient interdites.

 

Le Président : maintenez-vous aussi qu'il n'y avait pas de plan pour l'extermination des Juifs ?

 

Jürgen Graf : en France, actuellement, vivent deux fois plus de Juifs qu'avant l'Holocauste, ce qui, en pratique, ne correspond pas aux effets qu'auraient dû avoir une extermination massive.

 

Le Président : continuerez-vous d'écrire sur l'Holocauste ?

 

Jürgen Graf : vous savez certainement que, depuis septembre dernier déjà, a paru un ouvrage écrit par Carlo Mattogno et moi-même sur le camp de concentration de Maidanek. Ce livre n'a pas fait l'objet d'une dénonciation. J'en déduis que les études relatives à des aspects particuliers du soi-disant Holocauste ne sont pas considérées comme punissables. Fin avril, encore avec Mattogno, j'ai terminé la rédaction d'un livre sur le camp de concentration de Stutthof qui devrait paraître à la fin de cet été.

 

Le Président : vous avez travaillé sur des archives. Sont-elles ouvertes au public ?

 

Jürgen Graf : A Auschwitz, Mattogno et moi ne fûmes pas admis, au motif, il est vrai, que les révisionnistes sont indésirables. Ailleurs, nous n'avons rencontré aucune difficulté. En 1995 déjà, à Moscou, nous avons visionné tous les documents concernant la conduite des travaux de construction du camp d'Auschwitz. Aucun historien officiel ne se rend sur place ; nous sommes les seuls à le faire.

 

Le Président : qu'avez-vous à déclarer quant à ce procès ?

 

Jürgen Graf : je constate que votre attitude ne manque pas de courtoisie ; ceci n'empêche pas qu'il s'agit en fait d'un procès-spectacle de nature politique.

 

Après cet interrogatoire, l'avocat de Jürgen Graf, Me Oswald, posa quelques questions à son client, que nous reproduisons de même, en substance.

 

Me Oswald : contestez-vous dans vos ouvrages le génocide des Juifs ?

 

Jürgen Graf : comment définissez-vous le terme " génocide " ?

 

Me Oswald : la définition qu'en donne l'ONU sert de référence obligée.

 

Jürgen Graf : selon cette définition, qui commet un génocide tue des membres d'un groupe ethnique. Comme les nationaux-socialistes ont incontestablement tué des Juifs, le génocide, selon la définition de l'ONU, est établi. Mais que l'on me montre, dans mes livres, un seul paragraphe où j'aurais contesté un génocide ainsi défini !

 

Me Oswald : vous n'êtes pas historien. Comment se fait-il que vous manifestez tant d'intérêt pour l'Holocauste ?

 

Jürgen Graf : il est intéressant de relever que la plupart de ceux qui traitent de l'Holocauste ne sont pas des historiens professionnels. Ceci est valable pour nous autres révisionnistes comme pour nos adversaires. Les deux figures de proue des historiens partisans de l'Holocauste, Raul Hilberg et Jean-Claude Pressac, n'ont pas non plus fait des études en Histoire.

 

Me Oswald : vous abordez aussi, dans vos écrits, les aspects techniques de l'Holocauste ; en tant que non technicien, certaines compétences ne vous font-elles pas défaut ?

 

Jürgen Graf : je me suis renseigné auprès de spécialistes. Avant la parution de mon premier ouvrage, je suis allé consulter un spécialiste de l 'EPFZ, compétent pour les moteurs Diesel, ainsi que le responsable du crématoire de Bâle. Ces deux personnes ignoraient la finalité de mes questions. Le spécialiste en moteurs Diesel déclara que les gaz d'échappement issus d'un tel moteur ne conviennent pas à des buts homicides. J'avais déjà eu connaissance de cet avis dans des écrits révisionnistes ; maintenant, j'en ai la confirmation. Le responsable du crématoire m'a dit, qu'en moyenne, il faut compter au moins une heure pour incinérer un corps. Or, les " témoins " d'Auschwitz font mention de durées 12, 17, voire 25 fois inférieures à la réalité.

 

Me Oswald : combien d'archives avez-vous consultées ?

 

Jürgen Graf : une à Amsterdam, deux à Moscou, une à Prague, une à Bratislava, une à Budapest, une en Biélorussie, deux en Lithuanie et six en Pologne, à savoir : Lublin, Stutthof, Varsovie, Waldenburg, Wroclaw (Breslau) et Katowice. Bien sûr, nous n'avons pas trouvé partout des documents susceptibles de nous intéresser.

 

Me Oswald : il existe pourtant de nombreux livres sur l'Holocauste. Peut-on tous les ignorer ?

 

Jürgen Graf : je n'ignore nullement l'existence de ces livres, et j'ai lu tous les ouvrages classiques des historiens orthodoxes. J'ai réalisé une analyse critique globale de plus de 120 pages de l'ouvrage de Raul Hilberg. J'ai pu constater que cet auteur, qui fait autorité en la matière, se réfère à d'autres auteurs qui évoquent des témoins oculaires, toujours les mêmes ; ainsi ces auteurs se servent des mêmes références depuis des dizaines d'années en se copiant les uns les autres.

 

Me Oswald : éviterez-vous, à l'avenir, d'exprimer des opinions que la Justice considère comme punissables ?

 

Jürgen Graf : je ne me prêterai pas au moindre compromis quant au contenu de mes ouvrages ; j'éviterai cependant des formulations considérées comme pénalement répréhensibles.

 

Après cet interrogatoire, la plaidoirie de Me Oswald dura presque une heure : le défenseur de Jürgen Graf reprit plusieurs arguments développés dans son mémoire de recours et en produisit de nouveaux.

Tout d'abord, Me Oswald se référa de manière détaillée à un article paru dans la Neue Zürcher Zeitung (NZZ) du 12 juin 1999, sous la plume du Prof. Claus Nordbruch, dans lequel celui-ci fustige la mode du " politiquement correct ", et rompt une lance en faveur du révisionnisme, considéré au sens le plus large. Nordbruch cite l'écrivain Martin Walser, selon lequel celui qui touche aux thèmes tabous, Troisième Reich, les étrangers, les femmes, dans une optique non souhaitée par le système dominant, se trouve accusé d'hérésie. Nordbruch ajoute que la révision de l'Histoire est une chose normale et raisonnable (Nordbruch, dans son texte, fait des citations de " L'Holocauste au scanner ", un des livres pour lequel Jürgen Graf se trouve condamné, sans toutefois nommer ni le livre, ni son auteur). Il est évident que ni la NZZ, ni Nordbruch ne peuvent être soupçonnés de nourrir des idées racistes. On ne peut nier que les textes publiés par un journal de la qualité de la NZZ sont à prendre en considération. Cet article confirme le caractère politique du procès de Jürgen Graf, et les procès politiques sont indignes d'un Etat de droit.

 

Me Oswald tient encore à préciser qu'il ne s'exprime pas sur le contenu des livres de Jürgen Graf, par manque de compétences, et qu'il n'est, par ailleurs, nullement tenu de le faire. Me Oswald releva cependant que Jürgen Graf est un chercheur sincère et sérieux, pleinement convaincu de la justesse du point de vue révisionniste. Le révisionnisme, poursuit Me Oswald, n'est pas une idéologie : c'est une méthode. C'est la raison pour laquelle la condamnation de Jürgen Graf, fondée sur la propagande d'idéologies racistes, n'est pas justifiée. Me Oswald déplore que le procureur Aufdenblatten, dans sa duplique, n'ait pas crû bon de répondre à cet argument de poids : visiblement, il ne disposait plus de contre-arguments pour le faire.

 

La loi antiraciste interdit la négation d'un génocide. Mais Jürgen Graf ne nie pas le génocide des Juifs : il ne fait que contester le nombre des victimes, ainsi que les gazages, si bien que de tels considérations ne sauraient tomber sous le coup de la loi antiraciste.

 

L'attitude critique de Jürgen Graf face aux dires des témoins oculaires est justifiée par l'affaire Wilkomirski. Dans un article de la Weltwoche, le Juif Daniel Ganzfried a démasqué l'imposteur Wilkormiski et l'histoire de son enfance soi-disant passée à Maidanek et à Auschwitz, inventée de A à Z. Il ne serait venu à l'idée de personne de poursuivre Daniel Ganzfried devant la Justice à cause de cette révélation, bien que son article soit aussi révisionniste.

Se basant sur le principe de la non-rétroactivité des lois, Me Oswald critique le fait que Jürgen Graf a également été condamné pour des livres publiés avant l'entrée en vigueur de la loi antiraciste. La raison invoquée selon laquelle Jürgen Graf n'aurait pas interdit à son éditeur Gerhard F?rster de diffuser ses livres est lamentable, car il n'y était nullement tenu.

 

Me Oswald met fin à sa brillante plaidoirie en exigeant un acquittement pur et simple : mais il reste réaliste, et sait que le Tribunal est sous l'empire de fortes pressions politiques. Dans ces conditions, un acquittement est impossible pour des raisons politiques, et il demande une peine assortie du sursis. Son client évitera alors, dans ses prochaines publications révisionnistes, des formulations incompatibles avec la loi, et veillera à ne plus faire l'objet d'une plainte pénale.

 

Dans un bref réquisitoire prononcé en bégayant, le procureur Aufdenblatten ne fit que répéter ce qu'il avait déjà raconté il y a un an, en première instance : Jürgen Graf, intelligent et doué pour la réthorique, est un " esprit incendiaire " qui porte une responsabilité dans l'expansion de l'antisémitisme en Suisse. Il est le porte-parole des extrémistes, qui ne peuvent s'exprimer comme il sait si bien le faire, et l'on tremble en songeant aux conséquences ravageuses d'une telle influence.

 

Précisons que, outre sa condamnation pour " discrimination raciale ", Jürgen Graf fut encore condamné à Frs 1'000,-- d'amende pour " offense ", c'est-à-dire pour avoir envoyé au professeur de théologie Stegemann, un livre avec la dédicace suivante : " au Prof. Stegemann, afin qu'il serve le Christ plutôt que ses adversaires ". Il est vrai que ce théologien protestant a fait carrière grâce à ses efforts visant à soumettre l'Eglise évangélique à la juiverie. Lors du procès de première instance, Jürgen Graf avait admis qu'il s'agissait-là d'un enfantillage regrettable. Lorsqu'on lui posa la question de savoir s'il voulait s'excuser auprès de Stegemann, Jürgen Graf répliqua lors du procès de première instance : " Un professeur de théologie devrait avoir honte de jouer une telle comédie pour un pareil enfantillage ".

 

Le Juif Liatowitsch, avocat de Stegemann, partie civile, déclara que le procès intenté à Jürgen Graf devait avoir un caractère exemplaire. Pour lui, la discrimination des minorités ne doit plus exister, et la récente guerre au Kosovo a démontré combien la tolérance et le respect des Droits de l'homme sont importants. Jürgen Graf est un ennemi de la tolérance et des Droits de l'homme, ce qui constitue une des raisons pour lesquelles il a écrit ses livres.

 

En conclusion, Jürgen Graf a fait la déclaration suivante :

" D'abord, un mot à l'attention de Me Liatowitsch : si les Droits de l'homme vous tiennent tant à cœur, je souhaite que vous puissiez vous engager en faveur des droits des Arabes et des Palestiniens dans l'Etat terroriste et raciste d'Israël ! Ce pays est le seul Etat au monde où la torture est autorisée par la Justice !

 

Il y a toujours eu dans l'Histoire des tentatives répétées de réprimer par la force une vérité scientifique contraire aux intérêts des puissants ; l'exemple le plus connu est la persécution des astronomes coperniciens à la fin du Moyen Age. Aujourd'hui, dans nombre d'Etats soi-disant " démocratiques ", des hommes sont persécutés parce qu'ils mettent en question l'image convenue du sort des Juifs pendant la Deuxième guerre mondiale. Les révisionnistes ont amassé une somme d'arguments, qui contredisent la version officielle et obligée de l'Holocauste. Comme on ne peut rien opposer à ces arguments, on a utilisé l'instrument de la persécution pénale pour museler tout débat à ce sujet. C'est une preuve évidente de faiblesse, car celui qui veut réprimer un débat par la force doit avoir quelque chose à cacher. Je réitère ici et maintenant ma proposition à MM. Stegemann et Liatowitsch de participer à un débat sur l'Holocauste, ouvertement et en toute objectivité, à la télévision, à la radio ou sur un podium public. On verra alors bien qui a les meilleurs arguments !

 

Quant à vous, Messieurs les juristes, vous savez bien que la preuve matérielle et la preuve documentaire prévalent de loin sur la preuve testimoniale. Seuls les révisionnistes ont rédigé des études scientifiques, techniques et chimiques sur les prétendues chambres à gaz homicides. Les conclusions de ces recherches sont en contradiction totale avec la version officielle de l'Holocauste. Cette version se base exclusivement sur les déclarations des témoins. J'ai fait l'inventaire de ces témoignages dans mon livre sur Auschwitz. Lisez ce que ces témoins ont déclaré, c'est catastrophique !

 

Dans " Blick " du 11 mars de l'an dernier, on pouvait lire qu'un satyre, qui avait violé une fillette de 5 ans, avait été condamné à 9 mois de prison avec sursis. Contre moi, 15 mois sans sursis ont été prononcés. Un système qui punit des opinions qui divergent sur certains aspects controversés de l'Histoire contemporaine plus sévèrement que le viol d'une fillette de 5 ans se discrédite lui-même et ne mérite plus la confiance du justiciable !

 

La grande majorité de l'assistance gratifia ces propos d'applaudissements nourris, pendant qu'un Juif allemand, persifleur, lançait à Jürgen Graf : " Vous avez oublié d'ajouter : Heil Hitler ! " Une telle pique illustre parfaitement la mentalité de son auteur, la même que celle du procureur Aufdenblatten et de la Cour.

 

Jürgen Graf fera recours auprès du Tribunal fédéral à Lausanne. A un journaliste, Jürgen Graf déclara après l'audience que cette procédure lui permettrait de gagner un peu de temps, et qu'il mettrait à profit ce gain pour travailler.

 

 

Commentaire V&J

Depuis l'introduction de la nouvelle norme pénale dite antiraciste, on assiste à une dérive toujours plus inquiétante du pouvoir judiciaire, lequel a visiblement accepté, et le procès de Jürgen Graf en est l'illustration la plus visible, de n'être plus qu'un instrument judiciaire. Depuis l'entrée en vigueur de la loi, le 1er janvier 1995, jusqu'à novembre 1998, soit presque 4 ans, 80 décisions judiciaires ont été prises en rapport avec une violation de cette loi, et 40 jugements ont été rendus. Nous voyons bien avec le recul que l'art. 261 bis CPS amalgame deux cas de figure distincts : l'alinéa 4 qui implique la négation ou la simple mise en doute d'un génocide, et qui présente le cas de figure du délit d'opinion, et les autres alinéas, qui répriment la discrimination raciale, cela de manière très générale. Cet amalgame a servi dans un premier temps a faire accepter la loi par le peuple : on enrobait ainsi la pilule limitant la liberté d'expression, c'est-à-dire l'alinéa 4, d'un bonbon édulcoré et consensuel, les autres alinéas, une majorité d'électeurs étant convaincue de la nécessité de réprimer pénalement la discrimination raciale. Le subterfuge a bien fonctionné, et le Conseiller fédéral Arnold Koller, qui déclarait sans rire dans " 24 Heures " du 29 septembre 1994 : " La liberté d'opinion est tellement enracinée dans les têtes de nos magistrats que je ne vois pas le moindre danger ", peut bien rire maintenant, alors qu'il savoure une retraite dorée, mais guère méritée, après avoir si bien trompé le peuple suisse, de la manière la plus odieuse et cynique qui soit. Dans un deuxième temps, on constate que la norme pénale dite antiraciste est devenue un instrument de répression politique efficace, au service du " lobby qui n'existe pas ", lequel, simple coïncidence, pouvait dès la mise en place de la loi muselière, mettre sur le feu l'affaire dite des fonds juifs en déshérence sans risque de faire déborder la soupe. Il est maintenant établi que la loi muselière sert à réprimer toute opposition politique non complaisante avec l'omnipotent et omniprésent " lobby qui n'existe pas ", preuves en sont les incroyables pressions subies par les Chambres fédérales en vue d'obtenir la levée de l'immunité parlementaire du Conseiller national Rudolf Keller. Qu'est donc devenue cette liberté d'opinion, si bien " enracinée dans la tête de nos magistrats " : en fait, des racines bien faibles pour des baudruches bien grosses, prêtes à s'envoler au moindre souffle du vent dominant. N'hésitons pas à le dire, la Justice argovienne a été prise en flagrant délit de forfaiture. Ces magistrats n'ont rien respecté : ni la justice, ni la vérité, encore moins leur serment et leur conscience. Ils ont mis volontairement en bière l'Etat de droit, avec la complicité active des médiamenteurs. Avec pertinence, Jürgen Graf a commenté son procès en le qualifiant de " terroriste ". Il ne s'agit là nullement d'une réaction suscitée sous le coup de l'émotion du moment, mais bien d'une constatation réaliste concernant le caractère arbitraire des débats. Le public fut visiblement impressionné par le déni de justice qu'a été le procès de Jürgen Graf. Ceux, trop peu nombreux, qui ont assisté à ces débats, n'ont pu qu'éprouver un malaise certain, car l'injustice ainsi mise en œuvre ne se pare même pas des sophismes utilisés le plus souvent par la Justice quand elle veut masquer certaines carences de procédure. Il y avait là, au contraire, une volonté manifeste de proclamer au grand jour le triomphe de l'arbitraire, de la déraison et de l'iniquité, autrement dit de faire valoir ostensiblement le droit du plus fort, dans le sens où la raison du plus fort est toujours la meilleure. Cela étant dit, n'oublions pas que la force, sous sa forme répressive, est déjà un symptôme de déclin et de faiblesse, car elle ne peut plus qu'inquiéter, diviser et réprimer pour se maintenir, au contraire des forces positives, qui rassurent, rassemblent et permettent d'envisager l'avenir avec confiance. Comme le disait Stendhal dans une lettre adressée au baron de Mareste le 21 décembre 1819 : " Une collection de baïonnettes ou de guillotines ne peut pas plus arrêter une opinion qu'une collection de louis d'or ne peut arrêter la goutte ". Ces forces positives et constructives resurgiront des décombres du mur des mensonges, ces mensonges que Jürgen Graf a dénoncés sans haine et sans crainte, avec courage, détermination et talent. RLB

 


 

L'affaire Reynouard

Pour avoir publié de nombreux ouvrages révisionnistes, Vincent Reynouard a été révoqué de l'Education nationale le 18 avril 1997. Depuis cette date, lui, sa femme et ses trois enfants, n'ont plus de domicile fixe ni de revenus réguliers. Après de nombreuses tribulations, la famille Reynouard a dû s'expatrier en Belgique où un ami accepte de les loger. Dans ces conditions, Vincent Reynouard ne peut faire vivre sa famille qu'en vendant les livres dont il est l'auteur. Ses écrits lui ont valu une condamnation à 3 mois de prison ferme, et son procès en appel aura lieu le 16 décembre 1999 à Rennes. Malgré tout, Vincent Reynouard n'abandonne pas son combat révisionniste. Rédacteur principal de VHO Informations, Vincent Reynouard publie un bulletin dont le mérite premier revient à mettre en lumière les effets des mensonges historiques institués, résultant de la Deuxième guerre mondiale, par rapport aux événements de l'actualité la plus récente. Vincent Reynouard ne manque pas de projets, mais de moyens pour les réaliser. Ce qu'il a déjà fait est une preuve de sa compétence et de son engagement. Pour venir en aide à la famille Reynouard, un Cercle des Amis de la famille Reynouard a été constitué à l'adresse suivante :

Vincent et Marina Reynouard
C/O V.H.O
Postbus 60
B-2600 Berchem-2


L'affaire Plantin

Jean Plantin est un jeune universitaire titulaire d'une maîtrise d'histoire et d'un DEA, âgé de 33 ans. Formé à la recherche historique, il publie une revue historique de haute volée, " AKRIBEIA ". Pour avoir simplement mentionné dans sa revue trois publications révisionnistes interdites de diffusion par le ministère de l'Intérieur, il a été interpellé le 13 janvier 1999 par des policiers, conduit dans les locaux de la police de Lyon et retenu pendant 24 heures dans des conditions indignes d'une nation civilisée. Jean Plantin vient d'être condamné le 27 mai 1999 à 6 mois de prison avec sursis, à 10'000 FF d'amende et à 39'000 FF de dommages-intérêts en faveur d'associations juives. lesquelles exigent maintenant que l'Université de Lyon annule les diplômes obtenus par Jean Plantin. Renseignements pour s'abonner à AKRIBEIA à l'adresse suivante :

Jean Plantin
45/3 route de Vourles
F-69230 Saint-Genis-Laval


En Suisse: la "Judéocratie" remplacera-t-elle la démocratie?

Israël rééduque la Suisse !

Une parodie juive en Suisse!_

Une parodie juive au scanaire


La Suisse occupée !

La Suisse existe-t-elle?-

La Suisse et les "fonds juifs"



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