La
Conférence internationale sur des problèmes
globaux de l'histoire du monde a été
parrainée par les éditeurs de
l'Encyclopédie de la civilisation russe et ceux de
la Barnes Review de Washington. Sans le
généreux support financier de Willis Carto,
de Washington, cet événement n'aurait pu
avoir lieu.
C'est à Oleg
Platonov, de Moscou, et à Jürgen Graf, que
Willis Carto a confié l'organisation de cette
conférence.
Le lieu de la
conférence, choisi par Platonov et Graf,
n'était autre que la prestigieuse Académie
des Sciences socio-humanitaires, située dans la
banlieue Sud-Ouest de Moscou (métro " Vykhino ").
L'Académie, ensemble de dix grands
bâtiments, se trouve dans un beau et grand parc
arborisé. Tous les intervenants étaient
logés dans une maison d'hôtes très
confortable. La conférence s'est tenue dans une
salle splendide d'une capacité
légèrement supérieure à cent
places. Une traduction simultanée de
qualité, assurée de russe en anglais,
d'anglais en russe et de français en russe, permit
de réduire au minimum les difficultés de
communication.
Une centaine de personnes
furent présentes le premier jour, environ nonante
le second, qui se termina par un somptueux banquet. De
l'avis de tous, intervenants russes et étrangers,
de même que pour le public, cette conférence
fut un succès incontestable. Tous souhaitent que
d'autres rencontres semblables aient lieu
régulièrement.
L'on déplora
pourtant l'absence de plusieurs conférenciers,
accidentés ou retenus par la maladie. Le Dr
Platonov dut être hospitalisé le 25 janvier
pour une jambe cassée, alors que deux
éminentes personnalités, Alexandre
Zinoviev, qui enseigne à l'Académie, ainsi
que B. Milosevic, ambassadeur à Moscou et
frère de l'ancien président yougoslave
Slobodan Milosevic, ne purent prononcer leur discours,
empêchés par la maladie. L'absence de B.
Milosevic, d'une immense popularité auprès
des patriotes russes, fut particulièrement
regrettée.
Le Dr Platonov va
prochainement publier en russe un recueil des textes des
orateurs. Une version anglaise devrait suivre.
Les
intervenants
Christopher
Bollyn
(USA):
Les
événements du 11 septembre
2001
Christopher Bollyn,
écrivain et journaliste à l'American Free
Press, ne fut pas en mesure de venir à Moscou pour
des raisons techniques. Son intervention fut lue par
Frederick Töben (Australie).
Résumé:
la version officielle des tragiques
événements du 11 septembre 2001, selon
laquelle quatre avions de ligne furent
maîtrisés par des Arabes très
légèrement armés, frise
l'incroyable, tant elle foisonne d'anomalies
inexplicables et de contradictions. Horst Ehmke,
coordonnateur des services secrets allemands sous Willy
Brandt, déclara qu'en aucune façon des
terroristes auraient pu mener à bien une telle
opération sans le concours d'un service secret. De
son côté, Andreas von Bülow, qui
supervisa les trois services de l'espionnage allemand, de
1969 à 1994, est d'avis que le responsable de ces
attaques terroristes n'est autre que le Mossad, dont
l'intention serait de retourner l'opinion publique
américaine contre les Arabes. Si tel est le cas,
le Mossad fut sans doute aidé par des
traîtres américains ambitionnant le
contrôle absolu de la planète et de ses
ressources en camouflant odieusement leur activité
criminelle sous l'étendard de la "
Sécurité nationale ".
De toute évidence,
le gouvernement et certains médias
américains conspirent en privilégiant la
politique du pire, en jouant sur les peurs du citoyen, en
créant un règne de la terreur afin de
justifier la suppression de la libre parole sous
prétexte de combattre le terrorisme : d'ailleurs
les journalistes qui mirent en question les conclusions
du gouvernement ne tardèrent pas à devoir
rechercher un nouvel emploi.
Mais voici
quelques-unes des incohérences de la version
officielle:
1) Plusieurs semaines
après l'attentat, les cameramen furent
empêchés de procéder à des
prises de vue des ruines sous certains angles.
2) Le maire de New York,
Rudolf Giuliani, interdit aux pompiers de retirer les
corps de leurs défunts camarades enfouis sous les
décombres.
3) Le poids des tours
était supporté, en leur centre, par des
structures en acier chemisées de béton. Or
le fait d'avoir été fragmentées est
incompatible avec les dégâts
occasionnés par un incendie: les effets en eussent
été tout différents.
4) En juillet 2001, deux
Juifs, Larry Silverstein et Frank Lowry, ont
contracté une couverture d'assurance pour une
durée de 99 ans sur les deux tours, incluant les
dégâts provoqués par des actes
terroristes, se montant à 3 milliards de dollars.
Aujourd'hui, Silverstein exige de recevoir deux fois ce
montant, soit plus de 6 milliards de dollars, puisque,
dit-il, il y a eu deux attaques
séparées.
5) Tandis qu'on nous
raconte que les boîtes noires enregistreuses des
deux avions piratés, boîtes construites pour
résister au choc d'un écrasement et au feu,
n'ont pas été retrouvées, un
prétendu passeport, censé appartenir
à l'un des pirates-terroristes, fut
miraculeusement découvert au sommet d'une pile de
décombres à proximité du WTC
!
6) Pourquoi la tour Sud
s'effondra-t-elle la première, alors qu'elle
n'était pas aussi endommagée que la tour
Nord qui, elle brûla pendant plus d'une heure et
demie avant de s'écrouler ? Si l'on attribue
l'effondrement à la faiblesse de l'acier
porté au rouge, pourquoi fallut-il 104 minutes
à l'incendie de la tour Nord pour que les
structures d'acier atteignissent la température
critique? Un expert en explosifs, Van Romero,
déclara aussitôt après l'attaque que
suite à l'écrasement des avions sur les
tours du WTC, des dispositifs explosifs situés
à l'intérieur des bâtiments avaient
causé leur écroulement ; en ce cas, la
collision des avions sur les tours n'auraient
été que pure attaque de diversion : la
cause de l'implosion des tours n'est autre que des
explosifs. Des témoins corroborent cette version,
qui admettent avoir entendu des explosions alors qu'ils
fuyaient les bâtiments.
Il est hautement probable
que les avions ont été piratés par
télécommande, ce qui relève d'une
technologie développée dans les
années 1970 en vue de recouvrer le contrôle
des avions de ligne qui auraient été
détournés. Ce système de
contrôle, entièrement
cybernétisé, est affranchi de toute
intervention du pilote.
Une fois ce
système de contrôle à distance
activé, l'enregistreur vocal de la cabine ne
contiendra plus aucune donnée audible. Avant le
mois d'octobre, les enquêteurs avaient
déjà retrouvé les dispositifs
d'enregistrements vocaux des avions ayant chuté
respectivement sur le Pentagone et sur Pittsburg, et
confirmèrent publiquement que les appareils ne
livrèrent que le silence le plus absolu. Cela
explique le fait qu'il n'y avait aucun Arabe sur les
listes de passagers et que plusieurs des prétendus
terroristes sont annoncés comme étant bien
vivants. Conclusion : les " pilotes-suicide " n'ont
jamais existé.
Igor
Ilyinski
(Russie):
Mondialisation
et éducation
Le Dr Ilyinski est
directeur de l'Académie des sciences
socio-humanitaires. Il a prononcé un discours
modérément critique sur le mondialisme. A
son avis, les formes modernes de la communication, tel
Internet, et les contacts planétaires entre hommes
de science, sont des aspects positifs de la
mondialisation face auxquels aucune personne raisonnable
ne peut s'opposer. En revanche, la mondialisation a des
côtés ténébreux :
l'enseignement n'est de plus en plus
considéré que d'un point de vue purement
économique : universités et
académies sont contraintes de former des
spécialistes en fonction des exigences du
marché.
Or, ceci conduit à
une sur-spécialisation qui met en danger les
aspects culturels de l'éducation.
Gerhoch
Reisegger
(Autriche):
La
situation monétaire
internationale
avant
le 11 septembre 2001
L'ingénieur
Reisegger possède une longue expérience
dans la production d'ordinateurs. C'est un correspondant
régulier de l'organe de la droite intellectuelle
Staatsbriefe de Munich. Ses sphères
d'intérêt englobent également les
affaires étrangères et la technique
financière. Reisegger s'est exprimé en
anglais.
Résumé:
aujourd'hui, le monde
semble courir à la catastrophe. Les racines de la
crise profonde que nous vivons ne sont autres que la
croissance exponentielle de l'économie qui doit,
tôt ou tard, toucher à sa fin. A la
différence d'une économie basée sur
la réalité de la production de biens
tangibles ou de services effectifs, en un mot
basée sur le travail, celle faisant la part belle
aux affaires monétaires nage en pleine fiction et
biaise les termes de l'échange, puisque en vertu
des lois du capitalisme, un capital croît en
fonction de l'intérêt qu'il rapporte et non
d'un travail fourni : c'est une création " ex
nihilo ", une imitation blasphématoire de l'acte
créateur divin. L'usure est contraire au
commandement de Dieu. D'ailleurs, le seul acte violent
commis par Jésus Christ n'a-t-il pas
été l'expulsion des marchands du Temple
?
Depuis mars 2000, nous
avons observé un effondrement des marchés
boursiers, alors que l'illusion de la croissance n'est
maintenue qu'à coups de manipulations et de
statistiques falsifiées. Les USA sont la nation la
plus endettée du monde ; l'accroissement
stupéfiant de la dette américaine est
à mettre en rapport avec une chute de
l'épargne individuelle : en 1998, plus de 50 % des
familles américaines ont investi leurs
épargnes en actions. Bien avant le 11 septembre
2001, l'index boursier avait accusé un
déclin vertigineux.\
L'attaque des tours
babyloniennes devrait nous inciter à
émettre la réflexion : " Cui bono ? " ou,
en d'autres termes, " à qui le crime profite-t-il
? " Ainsi, sans aucun doute, les événements
du 11 septembre ont distrait l'attention du public de la
situation financière désastreuse des USA et
ont permis au gouvernement d'imputer au " terrorisme " la
catastrophe et ses conséquences.
L'euro n'a
été créé que comme
alternative au dollar ; alternative qui,
évidemment, est sous " leur " contrôle. Le
dollar s'effondrera-t-il ? qu'importe ! les riches se
réfugieront dans cette nouvelle monnaie
!
Les horreurs de la
Deuxième guerre mondiale risquent d'être peu
de chose eu égard à ce qui nous attend !
Mais ces ennemis que nous aurons à affronter, qui
sont-ils ? Le nihilisme, le matérialisme, le
mondialisme : tentative de créer un monde
unipolaire sous un gouvernement orwellien, et la
paranoïa du peuple juif qui se considère
comme " élu ".
Serons-nous en mesure de
surmonter la domination du " Prince de ce Monde ",
ensemble avec le monde orthodoxe et islamique ? Une telle
alliance sera peut-être capable de retarder la
venue de l'Antéchrist.
Mikhail
Kouznetsov
(Russie):
Aspects
légaux de la Mondialisation
Le Dr Kouznetsov est
expert en droit international. Il est aussi un des
juristes chargés de la défense de l'ancien
président yougoslave, Slobodan
Milosevic.
Résumé:
à peine de retour de Londres, où il venait
de participer à des discussions avec des hommes de
loi occidentaux, l'orateur admit en toute
sincérité qu'il ne se fait aucune illusion
sur l'indépendance de la Cour internationale de
justice, transformée en instrument des puissants.
Peut-on parler de justice, si des pays, osant s'opposer
au " Nouvel ordre mondial ", ne sont plus à l'abri
d'une agression pure et simple ? Le principe de
souveraineté nationale a pratiquement cessé
d'exister. Bien que les membres européens de
l'OTAN fussent, au début, peu enclins à
approuver les attaques contre la Yougoslavie, ils
acceptèrent finalement de plier devant le monstre.
Les Nations Unies se sont aussi rangées aux
côtés de l'agresseur, car son
secrétaire général, Kofi Annan,
n'est plus qu'un laquais du mondialisme !
L'ancien conseiller
américain à la sécurité,
Zbigniew Brzezinski, a écrit, il y a quelque
temps, que les changements que subit l'humanité
aujourd'hui sont plus spectaculaires et radicaux que les
révolutions française et russe :
Robespierre et Lénine ne furent que de " suaves
réformateurs ", comparés aux " accoucheurs
de la Mondialisation ".
La Russie et le peuple
russe figurent parmi les principales cibles du
mondialisme. Chaque année, la population de Russie
diminue d'un million d'âmes. Donnons un exemple
éloquent démontrant l'état de
sujétion de la Russie : en 1992, de nouvelles lois
régissant les activités des entreprises
privées furent approuvées par la Douma ;
durant les débats, une délégation de
17 juristes américains se rendit en visite en
Russie ; dans la datcha de Gorbatchev, ils
menèrent des négociations avec les
légistes russes en les convaincant de conformer
leurs lois aux standards américains.
La " privatisation "
n'est en réalité qu'une prédation
sans scrupules des ressources naturelles de la Russie.
Sous le honteux prétexte de la " privatisation ",
les compagnies russes se font digérer par les
entreprises étrangères.
Pour le Dr Kouznetsov, la
principale raison du déclin social et moral
réside en l'éloignement de Dieu : seul un
retour à la religion rétablira l'ordre et
la paix.
René-Louis
Berclaz
(Suisse):
Le
chantage contre la Suisse
René-Louis Berclaz
est secrétaire général de "
Vérité et Justice ", une association
défendant la liberté de parole et la libre
recherche historique en Suisse. Le gouvernement du canton
de Fribourg essaie actuellement d'interdire V&J
à cause de ses activités qui sont
manifestement une épine dans le pied du
régime des fantoches sionistes qui dirigent le
pays. En 1998, Berclaz s'est vu infliger une condamnation
de quatre mois de prison avec sursis pour avoir
publié de la documentation critiquant les
sionistes et leurs méthodes. Il a prononcé
son discours en français.
Résumé:
jusqu'en 1995, c'est à juste titre que la Suisse a
jouit d'une excellente réputation internationale
grâce à sa grande stabilité
politique, d'une politique étrangère
pacifique et empreinte d'humanité, de même
que d'une situation économique exemplaire. Cette
réputation, amplement méritée
grâce au travail du peuple suisse, fut brutalement
flétrie lors d'une campagne haineuse
orchestrée par le " lobby qui n'existe pas ",
autrement dit le lobby juif. Les Suisses furent
accusés d'avoir été d'actifs et
zélés auxiliaires du Troisième Reich
et d'avoir volé d'énormes sommes d'argent
déposées dans les banques par des Juifs
qui, plus tard, périrent du fait de
l'Holocauste.
Il est très
difficile pour un citoyen suisse de défendre
l'honneur de son pays contre des calomniateurs, car la
prétendue " loi antiraciste ", introduite en 1995,
permet aux tribunaux de punir tout citoyen critiquant le
lobby juif. Comme la recherche historique sur les
traditionnelles revendications " holocaustiques " est
strictement interdite, il est devenu impossible de dire
publiquement que la Suisse ne s'est pas faite la complice
du " pire crime de l'Histoire ", tout simplement parce
que ce crime n'a jamais eu lieu. En revanche, la Suisse
et les Suisses peuvent être vilipendés en
toute impunité. (Mortimer Zuckermann,
éditeur de News and World Report, n'a pas
hésité de taxer les Suisses de " voleurs
avides, pilleurs et menteurs ".) Ce chantage
judéo-américain a été
activement soutenu par les médias
suisses.
Les exigences
financières des organisations juives
étaient manifestement infondées, comme le
confirma le Times de Londres dans son édition du
13 octobre 2001. Dès février 1996,
l'Association suisse des banquiers publia les
résultats de ses enquêtes sur les fonds en
déshérence résultant de la
Deuxième guerre mondiale. La montant total de ces
comptes se chiffrait à 38 millions de francs
suisses. Et pourtant, en août 1998, les banques
suisses furent contraintes de payer 1,5 milliard de
dollars aux escrocs de l'Holocauste. Après la
capitulation de la Suisse, les maîtres-chanteurs ne
tardèrent pas à jeter leur dévolu
sur d'autres victimes. Et maintenant, même la
Russie est censée payer des réparations aux
descendants des victimes juives de la Révolution
bolchevique initiée par les Juifs !
Michael
Piper
(USA):
L´assassinat
de Kennedy
Le journaliste
américain Michael Piper est l'auteur de Final
Judgement, livre à grand succès sur
l'assassinat de John F. Kennedy.
Résumé:
du KGB à
Fidel Castro et aux anticastristes cubains, de nombreuses
organisations et personnes ont été
accusées d'être impliquées dans
l'assassinat du président le plus populaire de
l'après-guerre. Plusieurs auteurs ont
démontré de manière
irréfutable que la Mafia et la CIA, les deux
à la fois, étaient impliqués dans
cette affaire. M. Piper reconnaît tout cela sans
conteste, mais révèle que le Mossad
israélien a certainement participé au
complot. Cette éventualité n'a jamais
été mentionnée dans les grands
médias ; pas la moindre allusion non plus à
ce sujet dans le célèbre film d'Oliver
Stone " JFK ". L'on peut dire que virtuellement, tout
suspect, dans l'assassinat de Kennedy, avait des liens
étroits avec Israël ou des Juifs. Citons
comme exemple le célèbre chef mafieux juif
Meyer Lansky qui, comme d'autres membres de la mafia
juive, s'enfuit en Israël quand la situation fut
devenue trop brûlante pour lui aux
Etats-Unis.
La raison qui dicta
à Israël l'élimination physique du
Président des Etats-Unis est évidente : le
président israélien d'alors, Ben Gourion,
haïssait passionnément Kennedy, car celui-ci
s'efforça toujours d'empêcher l'Etat
hébreu de posséder l'arme nucléaire.
Son successeur, Lyndon Johnson, renonça à
s'opposer à ce projet et poursuivit, en
général, une politique très
favorable à l'Etat sioniste. On sait maintenant
qu'Israël détient l'arme nucléaire, et
fait tout pour empêcher les Etats voisins de
l'obtenir.
Bien que le livre de
Piper, extrêmement bien documenté et
annoté, ne soit pas diffusé dans les
grandes librairies, il a été vendu à
des dizaines de milliers d'exemplaires, en partie
grâce à de la publicité parue dans
Spotlight.
En outre, Piper a mainte
fois confronté sa thèse devant des
parterres d'étudiants critiques, lesquels furent
chaque fois bouleversés par ses pertinentes
révélations.
Ahmed
Rami (Maroc/Suède):
Le
pouvoir sioniste en Occident
Ahmed Rami, ancien
officier de blindés dans l'armée marocaine,
s'enfuit en Suède en 1973, après un coup
d'Etat avorté contre le roi Hassan II. En
Suède, Rami fonda Radio Islam, qui est maintenant
un site Internet célèbre
dénonçant l'arrogance des sionistes et
défendant le peuple palestinien si brutalement
opprimé. Rami s'exprima en français, sans
soutien écrit.
Résumé:
dès son adolescence, Rami comprit qu'on ne
pourrait se débarrasser du régime
répressif et corrompu d'Hassan II par des moyens
légaux, et qu'une insurrection populaire n'aurait
pas plus de chance d'aboutir, réprimée sans
merci qu'elle serait par l'armée. C'est ainsi que
Rami décida de rejoindre les forces armées,
afin d'en changer la mentalité de
l'intérieur, pour que, à l'avenir, les
hommes des blindés ne soient plus contre, mais
avec le peuple.
En 1973, le ministre de
la défense, le général Oufkir,
ourdit un coup d'Etat pour renverser la monarchie. Bien
qu'il ne fût que lieutenant, Rami était
déjà depuis un certain temps l'ami et
l'assistant d'Oufkir. La tentative échoua. Tous
les conjurés, dont Oufkir, furent
arrêtés et passés par les armes ;
plusieurs subirent d'affreuses tortures ; toutefois Rami
parvint à s'échapper. Après bien des
aventures, il arriva en Suède, où il fut
accueilli en héros et reçu par le Premier
ministre Olof Palme en personne.
Mais quand Rami inaugura
Radio Islam et commença à critiquer les
sionistes, l'ex-combattant de la liberté prit tout
à coup les traits d'un ennemi de l'Etat, et
presque tous ses bons amis d'antan
l'abandonnèrent. En raison de ses cinglantes
attaques contre les Juifs et leur comportement arrogant,
Rami a même passé plusieurs mois dans les
geôles suédoises. Au cours de son
procès, il cita quelques considérations
anti-juives de Karl Marx, ce qui incita le procureur
à déclarer que Marx avait, de toute
évidence, été influencé par
Adolf Hitler !
Au Maroc, s'il est tout
à fait possible de critiquer un ministre ou de
relever certaines carences sociales, il est
rigoureusement interdit, en revanche, de s'en prendre
à la personne du souverain. De même, dans le
monde dit " libre ", vous pouvez mettre le capitalisme au
pilori, jeter l'anathème sur le communisme, le
christianisme et l'Islam, mais gare à celui qui
émettra la plus petite critique sur la juiverie :
il sera considéré comme un
blasphémateur et poursuivi dans un nombre toujours
plus grand de pays. Une conclusion s'impose : l'Occident
est gouverné par les Juifs, et les politiciens
dits " démocrates " ne sont que des marionnettes
juives, sinon les marionnettes des Juifs.
Rami releva qu'il n'avait
l'intention de persécuter et encore moins
d'exterminer qui que ce soit. Mais de toute
évidence, les non-Juifs sont devenus des citoyens
de seconde classe dans leur propre pays. Il est donc
temps qu'ils réclament les mêmes droits que
ceux dont les Juifs jouissent.
Radio Islam:
www/abbc.net
Nikolai
Simakov
(Russie):
La
Mondialisation
et la mission historique de la Russie
Simakov est
écrivain et historien.
Résumé:
la mondialisation est une conséquence du
libéralisme et de l'athéisme occidental.
Nous sommes actuellement au seuil d'un nouvel âge
où Dieu est déclaré mort. La
dictature mondiale, but que les " accoucheurs de la
mondialisation " poursuivent avec assiduité,
devrait être le royaume de l'Antéchrist,
où Dieu serait remplacé par le culte du "
progrès " et les tentations du
matérialisme.
L'orthodoxie, comme
l'Islam, ont bien compris le vrai visage du Nouvel Ordre
Mondial et ont, par conséquent, de bonnes raisons
de s'y opposer. Afin de neutraliser la création
d'un front commun contre eux, les mondialistes, à
la botte des Etats-Unis, dressent leurs adversaires les
uns contre les autres. C'est, par exemple, ce qui a lieu
en Serbie ou en Tchétchénie, où les
Etats-Unis soutiennent les musulmans contre les
orthodoxes.
La Russie a une mission
historique : après Rome et Byzance, notre nation
doit devenir la " Troisième Rome ". Le grand
Dostoïevski a parlé à maintes reprises
de cette mission sacrée dont le but est la
défense de la Chrétienté.
Voilà qui explique pourquoi les ennemis du Christ
n'ont eu de cesse de persécuter la Russie avec une
cruauté démoniaque. Malgré tout,
l'Eglise orthodoxe a surmonté toutes ces
épreuves ; on ne l'anéantira jamais. Sa
mission ne se limite d'ailleurs pas au salut de la Russie
; comme l'a dit un dignitaire religieux : " la Sainte
Russie doit sauver le monde, pas la banque mondiale !
"
Frederick
Töben
(Australie)
:
La
répression du révisionnisme en
Occident
Le Dr Frederick T?ben est
à la tête de l'Adelaide Institute, lequel
cherche à promouvoir la libre recherche en
histoire. En 1999, il fut arrêté en
Allemagne et passa sept mois en prison pour avoir
publié des informations révisionnistes sur
son site Internet australien. Visiblement, l'Etat
policier allemand est prêt à tout pour
imposer au reste du monde ses scandaleuses lois
censées réprimer " le crime suprême
contre la pensée unique "!
Résumé:
en visite
à Moscou pour la première fois depuis 1971,
T?ben salua la liberté d'expression dont jouit le
pays actuellement, mais déplora le
consumérisme débridé d'inspiration
américaine qui semble maintenant tenir le haut du
pavé en Russie. Les mondialistes usent de cette
tentation que représente la société
de consommation comme d'une camisole de force, pour mieux
contenir les revendications des peuples qui pourraient
devenir incontrôlables : pour beaucoup de gens,
liberté signifie liberté d'acheter,
d'acquérir des biens de consommation. Ceux qui
rejettent le matérialisme stérile sont
frappés d'ostracisme au sein de la
société : à cet égard, les
révisionnistes de l'Holocauste sont
particulièrement touchés. Les
révisionnistes ne nient pas les souffrances des
Juifs durant la Deuxième guerre mondiale ; mais
ils contestent l'existence d'une politique allemande
d'extermination, tout comme le chiffre de six millions de
victimes juives, ainsi que l'existence de chambres
à gaz homicides. Ils sont traités de "
racistes haineux " et d'" antisémites ", bien
qu'ils fassent tout leur possible pour respecter
scrupuleusement la part des faits historiques de celle du
mythe.
Töben s'est
penché sur leur situation dans quatre Etats
européens : l'Allemagne, l'Autriche, la France et
la Suisse, stigmatisant les lois répressives mises
en vigueur dans ces pays dans le but d'étouffer la
libre recherche sur le sort des Juifs durant la
Deuxième guerre mondiale. Il salua les nombreux
révisionnistes condamnés à des
peines de prison ferme ou à des amendes
exorbitantes. Il releva que le révisionnisme est
légal aux Etats-Unis, en vertu du Premier
Amendement de la Constitution, et parla de la situation
en Australie, où il n'existe pas de loi
antirévisionniste, mais où les
révisionnistes sont harcelés par de
prétendues " organisations pour la défense
des droits de l'homme ", pour lesquelles certaines
vérités sont
intolérables.
Pour conclure, T?ben
affirma que les révisionnistes poursuivront sans
désemparer toutes recherches nécessaires
permettant une explication la plus conforme à la
vérité. L'aventure intellectuelle n'est pas
faite pour certains oligophrènes
microcéphales !
Adelaide Institute:
www/adelaideinstitute.org
Russell
Granata
(USA):
Analyse
critique des thèses
officielles sur Auschwitz,
à
la lumière de la chimie et de la technologie
crématoire.
Russell Granata,
enseignant californien à la retraite, publie des
ouvrages révisionnistes aux Etats-Unis.
Résumé:
selon
l'historiographie officielle, Auschwitz fut
inauguré en 1940 comme camp de travail et de
transit, mais, deux ans plus tard, il assuma la fonction
d'un gigantesque " camp d'extermination ". Jusqu'en 1990,
la direction du musée d'Auschwitz a toujours
soutenu avec insistance que pas moins de quatre millions
de personnes avaient péri à Auschwitz ! Ce
nombre fut réduit à 1,5 million, ce qui est
encore dix fois trop. En réalité, les
documents, qui, nombreux, ont échappé
à la destruction, montrent que le nombre de
prisonniers morts dans ce camp, pour la plupart de
maladies et d'épuisement, se situe entre 130 000
et 150 000, dont les Juifs constituent un peu plus de la
moitié.
Les révisionnistes
ne mettent pas en question les souffrances des
internés, mais contestent dires et
témoignages relatifs à l'extermination,
exclusivement basés sur des rapports des
témoins oculaires. Les révisionnistes, en
tant qu'hommes de science, examinent " l'arme du crime ",
la " chambre à gaz homicide ", de même que
les méthodes pour faire disparaître les
corps. Les deux questions principales sont :
1) Les gazages en masse,
tels que décrits par les témoins,
étaient-ils possibles ?
2) Etait-il possible d'incinérer le nombre
allégué de cadavres dans les
crématoires ?
La première
question a été traitée en
détail par le chimiste allemand Germar Rudolf, la
seconde par l'érudit Carlo Mattogno (en
collaboration avec l'ingénieur Franco
Deana).
1) Les "chambres à
gaz homicides ". Comme l'a si bien mis en évidence
Rudolf, il suffit d'un simple coup d'il dans les
chambres de désinfection des vêtements,
à Birkenau, où l'on utilisait l'insecticide
Zyklon-B afin d'éradiquer poux et autres vermines,
pour apercevoir le bleu de Prusse bien visible sur les
parois. Cette molécule est un composé
extrêmement stable, formé par interaction de
l'acide cyanhydrique avec le fer ou le cyanure ferreux ;
le bleu de Prusse est insoluble dans l'eau,
résistant aux pluies acides et aux
intempéries. Les parois des locaux destinés
à l'épouillage sont saturées de
composés de l'acide cyanhydrique. Les analyses
chimiques ont révélé des
concentrations de cyanure allant jusqu'à 13 000
mg/kg dans des échantillons provenant des parois
des chambres d'épouillage, mais des
échantillons provenant de parois des
supposées chambres à gaz homicides du
crématoire II, où l'on affirme que 500 000
Juifs furent mis à mort par le Zyklon-B, montrent
les mêmes basses concentrations en acide
cyanhydrique que dans n'importe quel autre bâtiment
du camp pris au hasard. La conclusion qui s'impose est
qu'aucun gazage homicide n'a été mis en
uvre dans ce local. La morgue du crématoire
II est réputée avoir été
modifiée pour servir de " chambre à gaz
homicide " en 1943 et, dans le but d'introduire les
pastilles de diatomite porteuse du Zyklon-B dans les
chambres à gaz, l'on suppose que quatre
écoutilles ont été ouvertes dans le
toit ; mais il n'y a aucune trace de ces
écoutilles : il en résulte que le poison
n'a pas pu être administré de la
manière décrite par les témoins.
Comme le dit si bien le professeur Robert Faurisson,
célèbre révisionniste
français: " pas d'orifice, pas d'Holocauste !
"
2) Les
crématoires. La première étude
scientifique sérieuse portant sur la
crémation des corps à Auschwitz fut
réalisée par Carlo Mattogno et Franco
Deana. Compte tenu de la capacité maximum des
fours et de la consommation de charbon, les deux auteurs
parviennent à la conclusion que le nombre maximum
de cadavres ayant pu être incinérés
est de l'ordre de 156 000. A lui seul, ce fait invalide
tout prétendu témoignage d'une
extermination de masse.
Russel Granata:
www/
russgranata.com
Jürgen
Graf (Suisse):
Révélations
sur Treblinka
Jürgen Graf est un
philologue polyglotte suisse, poursuivi dans son pays
pour " crimes contre la pensée unique ". Il a fait
paraître sept livres, dont cinq traitent de la
mystification holocaustique ; il est, en outre, co-auteur
de deux autres livres écrits avec l'érudit
Carlo Mattogno qui est sans doute l'expert le plus
compétent en la matière. Avec
l'ingénieur australien Richard Krege, Mattogno et
Graf travaillent actuellement à un livre sur
Treblinka qui paraîtra d'abord en allemand, puis en
anglais dans le courant de cet été (2002).
Lors de son exposé, prononcé en russe, Graf
a résumé cet ouvrage basé
essentiellement sur des recherches dans les archives
moscovites.
Résumé:
selon la version officielle, Treblinka, un camp
situé à environ 80 km au Nord-Est de
Varsovie, n'était qu'une abominable usine à
tuer, où 870 000 Juifs furent gazés par des
gaz de combustion de moteurs Diesel entre juillet 1942 et
octobre 1943. (En 1944, les Soviétiques parlaient
de 3 millions de victimes, mais ce chiffre ne tarda pas
à baisser.) Les cadavres furent, selon la version
officielle, brûlés sur des bûchers
dès février 1943. Cette version est
exclusivement basée sur des témoignages
oculaires, car il n'existe aucun document ou autre fait
susceptible de la confirmer. Cependant, le peu de
fiabilité de ces témoignages, surtout ceux
des Juifs, ont été démontrés
à satiété. Un cas
particulièrement spectaculaire fut le
procès de Demjanjuk à Jérusalem dans
les années 1980, au cours duquel cinq menteurs
juifs avaient formellement identifié un citoyen
américain né en Ukraine, John Demjanjuk,
comme " Ivan le Terrible ", accusé d'avoir commis
des atrocités à peine concevables à
Treblinka. Mais voilà, Demjanjuk n'avait jamais
mis les pieds dans ce camp, et le gouvernement
israélien fut bien obligé de le relaxer en
1993.
La vision actuelle de
Treblinka est radicalement différente des premiers
rapports datant de la période des
hostilités, diffusés à
l'étranger par la résistance polonaise et
les cercles juifs de Varsovie.
Ces rapports
mentionnaient toutes sortes de méthodes
étranges de mise à mort, à commencer
par les " chambres à gaz mobiles " jusqu'aux "
gazages à action retardée permettant aux
victimes de marcher elles-mêmes vers les fosses
communes ", de la chaux vive à
l'électricité, mais avec une
préférence pour les exécutions
à la vapeur portée à haute
température. On attribuera une importance
particulière au rapport publié le 15
novembre 1942 par un groupe clandestin du ghetto de
Varsovie : leurs auteurs soutenaient que deux millions de
Juifs avaient été exécutés
par suffocation à la vapeur surchauffée
entre juillet et novembre 1942. Encore au Procès
de Nuremberg, la version de la chambre à vapeur
surchauffée fut présentée par le
gouvernement polonais. En août 1944, après
que les Soviétiques eurent conquis l'Est de la
Pologne, ils firent courir le bruit d'une autre technique
de mise à mort : pomper l'air hors des chambres
d'exécution. La version des gaz émanant
d'un moteur Diesel finit par prévaloir,
grâce, semble-t-il au charpentier juif Jankiel
Wiernik qui, en mai 1944, plagia le rapport de novembre
1942 en remplaçant " chambres à vapeur "
par " chambres à gaz ".
La version officielle de
Treblinka est radicalement impossible à soutenir
pour de simples raisons techniques. Les gaz
d'échappement Diesel ne contiennent que peu de
monoxyde de carbone ; en revanche, ils contiennent encore
16 % d'oxygène. Selon les témoins, ce ne
furent pas moins de 700 personnes à la fois qui
étaient confinées dans chacune des chambres
à gaz dont le volume unitaire était de 64
m3. Les chambres étaient alors
hermétiquement closes et le gaz injecté.
Mais voici ce qui se serait passé, si tel avait
été le cas : les victimes eussent
été asphyxiées en une vingtaine de
minutes par manque d'oxygène, bien avant que le
monoxyde de carbone eût déployé ses
effets : ainsi, contrairement à l'effet
recherché, insuffler des gaz d'échappement
Diesel aurait prolongé la vie des victimes ! En
outre, la crémation de 870 000 corps aurait
nécessité près de 195 000 tonnes de
bois ; or, les photographies aériennes prises
au-dessus de Treblinka en mai et en novembre 1944 nous
montrent une forêt dense de 100 ha sur les
côtés Nord et Est du camp : d'où
serait donc venu le bois nécessaire ? En fin de
compte, tant les cadavres que le bois auraient fourni
environ 3 000 tonnes de cendres, plus des millions de
dents et de fragments d'os. En réalité,
aucun reste humain suspect n'a jamais été
trouvé à l'emplacement de l'ancien camp,
comme l'a admis une commission polonaise
présidée par le juge Zdzislaw Lukaszkiewicz
en 1945.
En fait, Treblinka
était un camp de transit, d'où les Juifs
étaient acheminés vers Majdanek et d'autres
camp de travail de la région de Lublin, mais aussi
vers les territoires soviétiques
occupés.
Tout cela n'est pas qu'un
simple problème historique, mais revêt de
terribles implications politiques pour le temps
présent : sans le mythe de l'Holocauste, l'Etat
raciste et colonialiste d'Israël n'existerait pas,
et le monde serait plus agréable à vivre.
Or, cet Etat est armé et soutenu par une
super-puissance impérialiste, les Etats-Unis,
où les médias, sous contrôle juif,
ressassent, à longueur de journée,
l'histoire de l'Holocauste en guise d'excuse à la
politique criminelle d'Israël. Les crimes contre
l'humanité perpétrés par le
régime de Washington, tels, par exemple, la famine
entretenue en Irak où plus de 600 000 enfants sont
morts, ou les bombardements de la Serbie, sont
justifiés par la nécessité de
prévenir " un nouvel Hitler " ; mais, dès
lors, tout chef d'Etat osant défier le " Nouvel
Ordre Mondial " sera inévitablement taxé de
" nouvel Hitler ". Ainsi, le mensonge de l'Holocauste,
dont celui de Treblinka est une partie intégrante
cruciale, n'est pas qu'une odieuse escroquerie, mais une
menace directe pour la paix dans le monde.
Richard
Krege
(Australie):
Utilisation
du radar à effet de sol
sur
les lieux des soi-disant "camps d'extermination"
de Belzec et Treblinka (Pologne)
Richard Krege, jeune et
brillant ingénieur australien, s'est rendu deux
fois en Pologne, la première en octobre 1999, la
seconde (avec Jürgen Graf) en août 2000. Sa
contribution fera non seulement l'objet d'un chapitre du
livre à paraître sur Treblinka,
co-signé Carlo Mattogno et Jürgen Graf, mais
d'un ouvrage décrivant l'étude de
manière plus détaillée, " le Rapport
Krege ", comprenant constatations et conclusions,
à paraître prochainement.
Résumé:
Belzec et
Treblinka, deux camps situés à l'Est de la
Pologne, furent, selon les dires officiels, des centres
d'extermination exclusivement destinés à
l'élimination physique des Juifs. Les historiens
de l'Holocauste soutiennent que 600 000 Juifs furent
gazés à Belzec et 870 000 à
Treblinka. (Durant la guerre, les témoins
oculaires firent le descriptif d'au moins huit
méthodes d'exécution à Belzec et dix
à Treblinka ; toutes sombrèrent dans
l'oubli, sauf le gazage.) Ni Belzec, ni Treblinka
n'avaient de crématoire. Selon les témoins
oculaires, sur les témoignages desquels se base la
version officielle de l'histoire de ces camps, les corps
des Juifs tués étaient d'abord
enterrés dans d'énormes fosses communes,
mais ultérieurement déterrés et
brûlés sur des bûchers. Ainsi, toute
l'histoire s'articule sur l'existence de ces fosses
communes. L'ingénieur Krege a examiné le
site de ces deux camps, scrutant le sol au moyen d'un
radar à forte pénétration. Cet
instrument permet la détection de minéraux,
mais aussi et surtout des tombes ou des fosses communes :
plus précisément, il met en évidence
les perturbations du sous-sol.
Krege montra d'abord des
images prises par le radar à effet de sol sur le
site d'une fosse commune d'Auschwitz-Birkenau. En
été et automne 1942, plus de 20 000
internés d'Auschwitz succombèrent à
une épidémie meurtrière de typhus.
Comme le crématoire de Birkenau n'avait pas encore
été construit, les corps furent ensevelis
dans plusieurs fosses communes clairement visibles sur
les photos aériennes : les images
révèlent effectivement d'évidentes
perturbations du sol. De plus, l'on peut aisément
voir à l'il nu que tant la
végétation que la configuration du sol sont
différentes des zones environnantes, là
où aucune fosse n'a été
localisée.
Tant à Belzec et
Treblinka, l'ingénieur compara ces images avec une
douzaine d'observations spectrales du sous-sol des lieux
où les fosses communes avaient été
localisées, d'après les témoins
oculaires. Or, aucun des relevés du radar ne
décela de perturbations dans le sous-sol. Comme le
prouvèrent les photographies aériennes des
mêmes surfaces, la végétation et la
configuration du sol sont exactement les mêmes que
dans les zones environnantes ou aucune ancienne fosse
commune n'est supposée exister.
On en arrive à la
seule conclusion autorisée par ces constatations :
les immenses fosses communes, où 600 000 et 870
000 cadavres, respectivement à Belzec et
Treblinka, sont censés avoir été
enterrés, n'existent pas et, partant, le
gigantesque massacre prétendument
perpétré dans ces deux camps n'a jamais eu
lieu.
Volen
Siderov
(Bulgarie):
La
Mondialisation,
dernière
étape de la colonisation de l'Orient
orthodoxe
Siderov est un
écrivain et historien bulgare. Il a
prononcé son discours en russe.
Résumé:
en 1877, une
caricature tirée d'un journal britannique
représentait la Russie telle une pieuvre hideuse
prête à engloutir l'Europe entière. A
cette époque déjà, l'Empire russe
était considéré comme une menace,
puisque sa puissance croissait rapidement. En effet, peu
avant la Première guerre mondiale, la Russie
produisait plus de blé que les Etats-Unis, le
Canada et l'Argentine réunis. En 1914, un
démographe français annonçait qu'en
1948 la Russie compterait 360 millions d'habitants. Les
dernières décennies de la monarchie ont
été une période de progrès
économiques et sociaux spectaculaires. L'ascendant
apparemment irrésistible qu'exerçait
l'Empire russe- orthodoxe, opposé au
matérialisme athée se développant en
Occident, inquiéta l'élite
financière du monde anglo-saxon, largement
enjuivée. Les banquiers juifs, tels Schiff et
Kuhn, financèrent la révolution bolchevique
qui n'apporta au peuple russe que misère et
destruction, y compris celle de son économie,
éliminant de la sorte un puissant concurrent du
pouvoir anglo-saxon.
Durant la Deuxième
guerre mondiale, les Etats-Unis et la Grande Bretagne se
firent les complices du tyran de la Russie, lui
permettant d'imposer un système despotique
à la moitié orientale de l'Europe. Suite
à l'effondrement des régimes rouges, les
peuples de l'Europe de l'Est, heureux tout au
début de la liberté retrouvée, ne
tardèrent pas, mais surtout les orthodoxes
(Bulgares, Roumains, etc. ), à se rendre compte
que, de la poêle à frire, ils avaient
sauté dans le feu : le capitalisme
débridé avait pris la relève. En
Bulgarie, le résultat des privatisations fut
désastreux. Le libéralisme sauvage, sans
limites ni entraves, a rapidement détruit de
larges secteurs de l'économie. Dans un pays encore
essentiellement agricole, on importe du vin et des fruits
en grande quantité, exposant ainsi les producteurs
locaux à une concurrence ruineuse ! Un grand
nombre d'usines ont été fermées et
leur personnel mis à pied. Une grande partie de la
population vit dans une pauvreté abjecte. Il n'est
par conséquent pas exagéré de dire
que, pour l'Orient orthodoxe, mondialisation rime avec
colonisation.
David
Duke
(USA):
Le
facteur sioniste aux Etats-Unis
David Duke, politicien
défendant les droits des Américains
d'origine européenne, vit actuellement à
Moscou. Il est l'auteur d'un remarquable ouvrage
intitulé My awakening (Mon réveil). La
partie du livre traitant de la question juive a
été traduite en Russe et devient un vrai
succès de librairie. Dans un émouvant
discours, Duke relève que la Russie a
été maintes fois le rempart de l'Europe
contre les invasions barbares venues des steppes
asiatiques. L'Occident et la race blanche ont besoin
d'une Russie forte et fière. La "
Révolution russe " de 1917, qui conduisit au
règne odieux de la terreur bolchevique,
n'était en réalité qu'une
révolution manipulée par les Juifs.
Très peu d'Américains sont conscients de ce
fait. En Amérique, les Juifs contrôlent le
gouvernement, les médias et la finance, toutes
choses qui rendent difficile la communication de cette
vérité aux masses, une vérité
qui finira bien par prévaloir
.
Boris
Mironov
(Russie):
L'influence
de la Mondialisation
sur
le gouvernement russe
Mironov, ancien ministre
de Boris Eltsine, est réputé en tant
qu'ardent nationaliste et antisioniste.
Résumé:
ministre du gouvernement Eltsine, Mironov était
à même d'observer les méthodes
utilisées par les sionistes : leur objectif
inavouable consiste à exterminer le peuple russe.
Dans les années 1990, le produit national brut de
la Russie a chuté de 28 % (comparé à
20 % au cours de la Guerre Civile et 21% pendant la
Deuxième guerre mondiale). Le système "
démocratique ", qui voit un président non
juif être entouré d'une horde de ministres
et conseillers juifs, a infligé un dommage
douloureux à la nation russe. Nous comptons
aujourd'hui officiellement 6 millions de chômeurs,
15 millions de personnes vivant dans une misère
noire, et 2 millions d'enfants sans logis. Et ne perdons
pas de vue que la ville de Moscou n'est en aucun cas
représentative du pays, car il y a des villages
où le salaire hebdomadaire consiste en trois
miches de pain et où les gens ne peuvent
accéder à un lit d'hôpital. De
pauvres gens sont tombés malades pour avoir
mangé du fourrage. Ainsi, alors que
d'honnêtes Russes sont contraints, pour survivre,
de manger des aliments pour le bétail, des
oligarques juifs comme Berezovski, Goussinski, Mammouth
et Abramovitch, ont entassé d'inimaginables
richesses avec l'argent volé au peuple
russe.
De même que
l'Allemagne doit être gouvernée par des
Allemands, la France par des Français, la Russie
doit être dirigée par des Russes, non par
des Juifs. Hélas, les Juifs pillent
systématiquement et sans scrupules aucun les
ressources du pays. Les métaux précieux
sont vendus officiellement à des prix ridiculement
bas, la différence disparaissant dans les poches
des intermédiaires, juifs dans la grande
majorité. La plupart des crédits que la
Russie a reçu du Fonds monétaire
international ont été
détournés par d'avides politiciens, Juifs,
ou au service des Juifs.
Mais ce sont les Juifs
eux-mêmes qui nous montrent comment secouer leur
joug ; ils nous disent souvent : " le nationalisme est un
cancer ". Or ce qui est mauvais pour eux est bon pour
nous. Mettons-nous donc à l'uvre pour
promouvoir une saine réaction nationaliste qui
sauvera notre mère, la Sainte Russie !
Youri
Begounov
(Russie):
Mondialisation
et sionisme
Le professeur Begounov
tient une chaire d'études slaves à
l'Université de
Saint-Pétersbourg.
Résumé:
le mondialisme est un
concept profondément ancré dans
l'idéologie du judaïsme. Dans l'Ancien
Testament déjà, il est proclamé que
les Juifs ont le droit de gouverner les autres peuples,
ce qui est parfaitement identifiable à
l'idée de dictature mondialiste. Or, comme les
Juifs n'ont jamais eu de territoire leur appartenant, ils
recourent à la subversion, minant les Etats de
l'intérieur, promouvant à leur profit
l'idéologie de l'internationalisme sous le slogan
trompeur : " Soyons tous frères et amis ! ". Afin
de déjouer les projets diaboliques des sionistes,
le peuple russe doit développer et promouvoir une
idéologie nationale, l'Idée
Russe.
Mikhail
Lioubomoudrov
(Russie):
La
russophobie
comme
instrument de destruction de notre monde
Le professeur
Lioubomoudrov enseigne la théologie à
l'Université de
Saint-Pétersbourg.
Résumé:
la haine
éprouvée par les mondialistes à
l'égard du peuple russe est véritablement
d'essence satanique. Zbigniew Brzezinski n'a t-il pas
ouvertement déclaré que seule une Russie
inexistante est une bonne Russie, et le "
réformateur "juif Anatoly Choubais n'a-t-il pas
dit cyniquement que " si 30 millions d'hommes devaient
mourir au cours du processus de réformes,
voilà qui serait tout naturel : cela signifie
qu'ils ne sont tout simplement pas aptes à
s'intégrer dans l'économie de
marché."
Dans leurs
réitérées et infatigables tentatives
de conquérir le dernier grand bastion de Dieu, les
mondialistes basent principalement leur confiance sur les
cinquièmes colonnes. Les révolutionnaires
bolcheviques de 1917, russophobes enragés, furent
un exemple de cinquième colonne. Mais,
graduellement, le régime soviétique perdit
son caractère juif et devint un régime
russe, même si son idéologie était
encore fortement empreinte de marxisme. Afin de liquider
l'Union soviétique, les mondialistes
fomentèrent la " perestroïka ". Sous Eltsine,
la Russie devint pratiquement un protectorat
américain. De grands penseurs russes, comme
Dostoïevski et Soloviev, prédirent au XIXe
siècle, que tôt ou tard "
l'Antéchrist occidental " serait confronté
au christianisme russe : c'est ce que nous vivons. La
mission de la Russie est de sauver l'Europe, et partant,
le monde, de l'athéisme et du matérialisme.
Ainsi, la destruction de la culture et de la civilisation
russe est assimilable à la destruction du monde
civilisé : voilà pourquoi la russophobie
est l'idéologie de destruction de notre
monde.
Dans leurs infâmes
tentatives d'effacer le peuple russe et sa culture, les
judéo-bolcheviques ont exterminé des
millions et des millions d'hommes : le voilà,
l'Holocauste, le vrai ! Mais la Russie n'est pas morte.
Sa religion, l'orthodoxie, est le plus puissant rempart
contre les sinistres plans des mondialistes.