No hate. No violence. Races? Only one Human race. United We Stand, Divided We Fall. Know Your enemy. Act Now! Tomorrow it will be too late.

QUAND LA VERITE N’EST PAS LIBRE, LA LIBERTE N’EST PAS VRAIE
Bulletin d’information
de l´Association Vérité et Justice, CP 355, 1618, Châtel-Saint-Denis, Suisse, Rédacteur : René-Louis Berclaz
Nr: 1 - 2 - 3 - 4 - 5 - 6 - 7 - 8 - 9 - 10 - 11 - 12 - 13 - 14 - 15
En Suisse: la "Judéocratie" remplacera-t-elle la démocratie?

Israël rééduque la Suisse !

Une parodie juive en Suisse!_

Une parodie juive au scanaire


La Suisse occupée !

La Suisse existe-t-elle?-

La Suisse et les "fonds juifs"


No 3 / décembre 1999
SOMMAIRE

" Notre actualité

" Le Billet du Trésorier

" Les conférences de Jürgen Graf, Président de Vérité & Justice

" Le colloque d'Histoire révisionniste de Paris

" Un entretien exclusif avec le Dr Picarus sur le rapport Bergier

" Extraits de nos courriers\

" Funérailles nationales pour un révisionniste

" Le massacre d'Andelot

" Pour un révisionnisme total


Notre actualité

A la veille de l'assemblée générale annuelle du mois de janvier de l'an 2000, il convient de tirer un bilan après cette première année d'activité. Rappelons tout d'abord que les buts de V&J sont la recherche de la vérité historique et la défense des libertés d'opinion et d'expression. Or, la publication du rapport Bergier, le 10 décembre dernier, est un défi par rapport à nos buts que nous ne pouvons que relever. Notre prochain objectif sera par conséquent d'en publier une analyse critique. Selon les premiers échos publiés par les médias, il ressort que la pierre d'achoppement sur lequel repose cette salutaire entreprise de révision de notre histoire nationale - car s'il y a d'infréquentables révisionnistes, bien heureusement, il en existe de " politiquement corrects " comme le sont les historiens de Cour - consiste dans le fait que le Conseil fédéral de l'époque, c'est-à-dire celui de 1942, devait savoir que les réfugiés Juifs refoulés aux frontières étaient voués à la mort dans les camps d'extermination du Troisième Reich. Nous attendons de connaître les références qui pourraient justifier de telles allégations, puisque le rapport Bergier, à peine publié, semble déjà être épuisé... Les historiens n'ont certes pas attendu que le Conseil fédéral mandate officiellement une commission d'experts pour étudier cette question. Ainsi, l'historien révisionniste Carlo Mattogno, qui se réfère en grande partie au rapport Ludwig, a publié dans le premier numéro de la revue AKRIBEIA (1) d'octobre 1997 un article fortement documenté sur la " solution finale ", et ce qu'en savaient les Alliés et les neutres en 1941 et 1942. Carlo Mattogno arrive à la conclusion que les informations connues à l'époque ressortent de la propagande de guerre et qu'aucun document véritablement probant n'a pu être trouvé par les historiens. Nous verrons bien quelles sont les références de la Commission Bergier, mais il semble évident que si ses chercheurs avaient pu mettre la main sur un document probatoire inédit, elle n'aurait pas manqué de le produire sans plus tarder à l'appui de sa thèse. Mieux encore, dans son inconcevable présomption, la Commission Bergier semble ne pas avoir tenu compte des recherches de Serge Klarsfeld, lequel s'adonne accessoirement au sport sans doute passionnant de " chasseur de nazis " ; ce dernier affirme, selon " 24 Heures " du 16 décembre 1999, qu'un maximum de 5000 Juifs auraient été refoulés aux frontières suisses, sur un total de 24 398 refoulements pris en compte par la Commission Bergier. Ce que Serge Klarsfeld se garde bien de dire, c'est que les Juifs utilisent fréquemment plusieurs identités, et que certains ont pu se présenter plusieurs fois à différents postes de douane pour s'y voir à chaque fois refoulés. Il n'en reste pas moins qu'il s'agit-là d'un problème vu par le petit bout de la lorgnette, car il est bien entendu acquis que la Commission Bergier ne s'est posée aucune question quant au sort véritable des Juifs refoulés en Allemagne, admettant sans le moindre doute comme véridique la légende des " chambres à gaz homicides ". La Commission Bergier a étudié au microscope un épisode de notre histoire nationale volontairement confiné dans d'étroites limites, sans apercevoir les monuments de contradictions qui l'entouraient de toutes parts. C'est pourquoi notre action est plus nécessaire que jamais, si l'on veut remettre l'église au milieu du village. Les conférences que V&J a organisées à Genève le 23 octobre 1999 et à Zürich le 9 décembre 1999 montrent qu'il existe un besoin pressant d'obtenir une information non censurée, à la mesure de la désinformation pratiquée par les médias de la pensée unique. Il est évident que la percée du révisionnisme ne se fera pas à travers le champ de mines d'institutions politiques ou judiciaires totalement sous influence. Quand la grande horloge de l'Histoire se remettra en marche, actionnée par le poids de toutes les contradictions et de toutes les aberrations du système, le révisionnisme pourra alors bénéficier du mouvement induit pour remettre les pendules à l'heure.


(1) AKRIBEIA
45/3, rte de Vourles
F-69230 Saint Genis Laval

 

 

Le billet du Trésorier

Il n'est pas nécessaire d'avoir le don de double vue pour deviner quel sera le sujet abordé par le trésorier d'une association. Par contre, ce même trésorier aimerait bien voir double quand il entre en méditation devant la colonne des revenus du livre de caisse. Et une telle méditation ne peut que se transformer en prière adressée à tous ceux qui ont la possibilité de doubler, voire de tripler la mise de leur cotisation. Nous avons volontairement opté pour des cotisations modestes, avec l'idée d'offrir à un maximum de personnes la possibilité de s'engager pour une cause qui demande la participation active de chacun. Cela veut dire aussi que le montant statutaire de nos cotisations constitue une base de départ, car n'oublions pas qu'il ne nous est pas possible d'obtenir le revenu normal que devrait nous procurer la vente publique de nos publications, à cause des entraves légales à la liberté d'expression. De même, l'organisation de nos conférences exige des mesures de sécurité qui ne sont pas gratuites. Gardons à l'esprit qu'il s'agit là d'un manque à gagner totalement injustifié par rapport au travail réalisé. Nous avons prévu de mettre en vente publique notre étude sur le rapport Bergier, ce qui devrait nous assurer des rentrées financières à la mesure de l'intérêt que ce rapport suscite dans le public. Dans l'intervalle, ce travail demande un investissement en temps mais aussi en argent, que nous devons assumer par nos propres ressources. Quelques chiffres pour traduire les résultats de nos activités : malgré les entraves qui limitent nos possibilités de recrutement, nous enregistrons presque chaque semaine des adhésions ainsi qu'une demande croissante de nos brochures, aussi bien de la version allemande que de celle française. Pour cela, il n'y a qu'une seule méthode : se déplacer, faire des rencontres, discuter, expliquer et convaincre. A fin décembre, V&J compte 49 membres individuels actifs, entretient des relations avec 10 avocats, compte 9 correspondants dans la presse suisse et 11 dans la presse étrangère, a établi des relations avec 26 personnalités suisses et étrangères susceptibles de relayer notre message, peut compter sur un noyau de plus de 160 sympathisants et dispose d'une tribune sur plusieurs sites Internet. En 1999, nous avons organisé deux conférences, participé à un colloque et publié deux brochures. Sur la plan juridique, notre documentation a permis d'obtenir que la LICRA, et à travers elle toutes les associations qui avaient pour habitude de se porter partie civile dans les procès intentés aux révisionnistes, ne sont désormais plus reconnues comme telles. Gageons que si le montant des indemnités qui échappent ainsi à la rapacité de ceux que la Justice a reconnu implicitement comme étant de fausses victimes nous était rétrocédé, V&J n'aurait plus aucun problème de trésorerie pour longtemps !


Cotisation 2000

Nous vous remercions de bien vouloir vous acquitter de votre cotisation en début d'année. Cette manière de faire se justifie par la simplification qu'elle implique pour notre comptabilité. Nous n'enverrons aucun rappel pour des raisons de coûts. Le montant de cette cotisation, dix francs suisses ou quarante francs français, suffit juste à couvrir nos frais de courrier. Il faut être conscient que sans un apport financier supplémentaire, il nous sera difficile de réaliser nos objectifs.

CCP 17 - 658980 - 4


 

 

Les conférences de Jürgen Graf à Genève (23 10 99) et à Zürich ( 09 12 99).

Autant à Genève, devant près de 100 invités, qu'à Zürich, face à plus de 150 invités, le président de V&J a fait salle comble, confirmant ainsi le besoin d'un large public d'avoir accès à une information libre et non censurée. A Zürich, deux autres intervenants se sont exprimés : Gaston-Armand Amaudruz et Bernhard Schaub. Le premier a décortiqué le dernier arrêt du Tribunal fédéral concernant l'affaire Ferraglia, le diffuseur suisse du livre de Roger Garaudy, " Les mythes fondateurs de la politique israélienne ". Point important, le Tribunal fédéral confirme que les pourvois des parties civiles, dont la LICRA, sont irrecevables. Pour le reste, le Tribunal fédéral a cassé l'acquittement de Ferraglia et renvoyé l'affaire devant le Tribunal cantonal, accordant ainsi la priorité à la loi-muselière sur celle qui réglemente la presse (article 27 CPS). Le flou volontaire du texte de la loi-muselière ne permet pas au justiciable de savoir ce qui est punissable de ce qui ne l'est pas. On le voit, les pires craintes exprimées avant la votation du 25 septembre 1994 se trouvent confirmées. Amaudruz conclut logiquement en préconisant l'abrogation d'une loi qui bloque la solution des problèmes, assure la dictature mondialiste, instaure la pensée unique et prépare le génocide par métissage de la race blanche. Quant à Bernhard Schaub, il a fustigé sans concession l'emprise croissante du mondialisme, illustrant ses propos d'exemples tirés de l'actualité la plus récente comme de faits anciens méconnus.

 

 

La loi-muselière,
instrument de la répression politique.

Il faut le dire et ne pas craindre de le rappeler, depuis le premier janvier 1995, la liberté d'expression n'existe plus en Suisse. La prétendue loi antiraciste a servi de prétexte pour orchestrer une quarantaine de procès politiques dont le plus spectaculaire a été celui qu'on a fait à mon éditeur Gerhard F?rster, décédé le 23 septembre de l'an dernier, et à moi-même. Puisque nos brochures sont à la disposition de vous tous, il me paraît inutile de parler en détail de ce procès aujourd'hui, et me contenterai de souligner deux irrégularités particulièrement scandaleuses qui l'ont caractérisé.

Premièrement. - Tout juriste connaît le principe fondamental d'un Etat de droit : Nulla poena sine lege, pas de peine sans loi. Comme l'article 261bis du Code pénal suisse n'est entré en vigueur qu'en 1995, il est tout à fait évident que, dans un Etat respectueux de ce vénérable principe, personne ne devrait être puni pour des propos tenus ou des livres écrits avant cette date. Or, il n'en est rien, car le tribunal de Baden m'a condamné non seulement pour ce que j'avais publié dès 1995, mais également pour trois livres parus en 1993 et 1994. Il est vrai que j'avais continué à vendre mes ouvrages Der Holocaust auf dem Prüfstand et Der Holocaust-Schwindel après l'entrée en vigueur de la loi-muselière, mais comme je ne les avais envoyés qu'à des personnes qui les avaient commandés, et comme je n'avais jamais fait de publicité pour ces deux ouvrages, il est évident que le " délit " n'était pas de nature publique. Or, selon le texte de la loi-muselière, la discrimination raciale n'est punissable qu'à condition d'être publique. Il s'ensuit que dans un procès équitable, j'aurais dû être acquitté sur ce point. La même chose vaut pour mon troisième livre révisionniste, Auschwitz: T?tergest?ndnisse und Augenzeugen des Holocaust, terminé en mai 1994 et sorti chez Neue Visionen en août de la même année, donc bien avant que l'article 261bis entre en vigueur. Bien que je n'eusse jamais vendu un seul exemplaire de ce livre moi-même, je fus condamné pour ne pas avoir interdit à mon éditeur Gerhard F?rster de le vendre.

 

Très franchement, je ne m'attendais pas à cette bassesse de la part la justice suisse. Certes, je m'attendais à être condamné pour mes ouvrages écrits en 1995 et 1996 ; parfaitement conscient de la situation politique et de la proportion des forces prévalant dans notre pays, je n'étais pas suffisamment naïf pour croire les yeux fermés à la pieuse légende de la justice impartiale propre aux sociétés démocratiques. Par contre, je ne prévoyais pas que le tribunal de Baden aurait l'impudence de violer le principe juridique fondamental de la non-rétroactivité des lois.

 

Deuxièmement. - Le traitement infligé au témoin de la défense, l'ingénieur chimiste autrichien Wolfgang Fr?hlich, spécialiste des gazages pour la destruction de la vermine et des germes pathogènes, fut une autre violation odieuse des principes d'un Etat de droit. Après que cet ingénieur, questionné par le procureur Dominik Aufdenblatten, eut déclaré que les gazages massifs qui, selon les témoins oculaires, auraient eu lieu dans les morgues des crématoires d'Auschwitz étaient techniquement impossibles, le procureur invita le tribunal à porter plainte contre le témoin pour violation de l'article 261bis. Pour les observateurs de ce procès, la leçon fut drastique. Si l'un ou l'autre parmi eux croyait encore à l'indépendance de la Justice, il a certainement été guéri de cette illusion le 16 juillet 1998. La mauvaise foi de ce procureur et de ces juges, leur mépris cynique du droit et de la vérité n'étaient que trop évidents.

 

Bref, les juges se sont pliés aux directives des médias et de ceux qui les contrôlent. Certains d'entre vous ont assisté au procès d'appel qui s'est déroulé à Aarau il y a exactement cinq mois, et ils se rappelleront que, dans une magnifique plaidoirie de presqu'une heure, mon avocat, le docteur Urs Oswald, a mis en évidence l'arbitraire de ma condamnation, démontrant point par point que le premier jugement était basé sur une perversion absolue des faits. A la surprise du public, le procureur Aufdenblatten s'est montré totalement incapable d'y opposer des arguments ; il s'est contenté de répéter, en bégayant, ce qu'il avait déjà dit, en bégayant, l'année précédente. Cependant, la cour d'appel a confirmé le jugement après une délibération de pure forme d'environ une heure, durée manifestement insuffisante pour pondérer les nombreux arguments exposés par mon avocat. Cela prouve que le procès d'appel n'était qu'une sinistre comédie, la confirmation de la sentence étant fixée d'avance.

 

En France, les révisionnistes sont condamnés sur la base de la tristement célèbre Loi Gayssot, ainsi nommée, bien que son véritable auteur ait été le ministre socialiste Juif Laurent Fabius, le député communiste non-Juif Jean-Luc Gayssot n'étant que son homme de paille. Mais, aux juges français, on peut concéder quelques circonstances atténuantes vu que cette loi, si monstrueuse qu'elle soit, a au moins l'avantage de définir clairement le délit. On peut donc prévoir si une certaine affirmation sera considérée comme une violation de la Loi Gayssot, ou non. Si, par exemple, un citoyen français conteste l'existence de chambres à gaz homicides à Auschwitz, le juge sera bien obligé de le condamner, car la loi l'exige, le reste ne regardant que sa conscience, si les juges en ont encore une. En revanche, la loi-muselière suisse est une loi caoutchouc qui ne dit pratiquement rien de concret, et son application reste totalement aléatoire, car elle baigne dans un flou juridique voulu.

 

Contrairement à la loi Gayssot, l'article 261bis ne définit pas le délit. Il fait l'amalgame entre deux choses fondamentalement différentes, à savoir le " racisme " et le " révisionnisme ". Or, on peut fort bien être ce que nos médias appellent " raciste ", c'est-à-dire opposé à l'invasion allogène et au mélange des races, sans pour autant être révisionniste, comme il est parfaitement possible d'être révisionniste sans être " raciste ". Le célèbre révisionniste américan Bradley Smith qui, en seconde noce, a épousé une Indienne mexicaine après avoir été marié à une Juive, ne pourra certainement être soupçonné de racisme !

 

Certains journalistes, éminents critiques de livres qu'ils n'ont pas lus, brillants experts de documents qu'ils n'ont pas étudiés et illustres spécialistes de lieux qu'ils n'ont pas visités, dénoncent le révisionnisme comme une " idéologie d'extrême droite ". Mais le révisionnisme n'a rien à voir avec une idéologie. Il n'est que l'application à un sujet donné de certains principes méthodologiques scientifiquement reconnus, et dont " l'Holocauste " n'a de loin pas l'exclusivité.

 

Les historiens et les juristes savent que la preuve matérielle et la preuve documentaire ont une valeur supérieure au témoignage. Quand il y a contradiction entre un fait matériellement avéré, ou un document, et un témoignage, c'est bien le fait matériel ou le document qui aura le plus grand crédit. Un exemple banal suffira pour illustrer ce fait. Prenons le cas d'un procès ou quelqu'un est accusé d'avoir envoyé une lettre anonyme. L'inculpé jure par tout ce qu'il y a de plus sacré qu'il n'est pas l'auteur de cette lettre, mais un examen de cette dernière permet de voir ses empreintes digitales sur le papier. Il aura beau protester de son innocence, l'existence de la lettre et l'analyse des empreintes digitales l'emporteront sur son témoignage, et il sera confondu.

 

Selon les historiens orthodoxes, les Allemands auraient gazé plusieurs millions de Juifs dans des " camps d'extermination ". Pour prouver cette accusation, les défenseurs de la version officielle ne peuvent s'appuyer que sur des témoignages, les preuves documentaires et matérielles étant tout simplement inexistantes. Même les adversaires les plus acharnés du révisionnisme sont contraints d'admettre qu'on n'a jamais trouvé un seul document établissant la réalité d'une politique d'extermination des Juifs, ou l'existence de chambres à gaz homicides dans les camps de concentration ; les seules chambres à gaz dont l'existence est attestée par des documents servaient à la désinsectisation. L'historien antirévisionniste français Jacques Baynac a dû admettre dans deux articles remarquables, parus dans le Nouveau Quotidien de Lausanne des 3 et 4 septembre 1996, que, faute de toute base documentaire, il n'est pas possible de prouver l'existence des chambres à gaz.

En effet, les très nombreux documents conservés démontrent, sans la moindre ambiguïté, que la politique des nationaux-socialistes ne visait nullement à tuer les Juifs, mais à les expulser d'Europe. Comme une expulsion massive n'était pas possible pendant la guerre, et comme les Allemands avaient prioritairement besoin de main-d'œuvre pour soutenir l'effort de guerre, les Juifs ont partiellement été internés dans des camps de travail où les conditions étaient certes très dures, et où la mortalité était extrêmement élevée à cause des épidémies qui y sévissaient. Les documents allemands contredisent tous de manière catégorique les thèses des exterminationnistes.

 

Autre exemple, dans un crématoire moderne, il faut environ une heure pour incinérer un cadavre. Selon le témoignage de Rudolf H?ss, premier commandant d'Auschwitz, la crémation simultanée de trois cadavres dans un mouffle des fours de ce camp ne durait que 15 minutes, de sorte que la capacité d'incinération de ces crématoires aurait été supérieure de douze fois à celle des crématoires modernes. Cette affirmation ridicule, arrachée à H?ss par ses tortionnaires britanniques, a été reprise par de nombreux autres témoins, et nos brillants historiens l'acceptent sans sourciller, sans prendre la peine d'une facile vérification. La version officielle du sort des Juifs pendant la Deuxième guerre mondiale est entièrement fondée sur une méthodologie aberrante, à savoir la prépondérance du témoignage sur la preuve documentaire et matérielle. Il va de soi que les raisons qui poussent les historiens à appliquer une telle méthodologie sont d'ordre purement politique. Et puisque les historiens sont incapables de réfuter les thèses des révisionnistes, le système judéo-maçonnique a assigné à la Justice le rôle dégradant de les faire taire en les condamnant à des amendes ruineuses, voire à des peines de prison ferme. Mais les révisionnistes n'accepteront jamais les ukases de la pensée unique officielle. Ils ne se laisseront convaincre que par des arguments solides et des preuves irréfutables.

 

Cela dit, il est inadmissible de condamner les révisionnistes pour " propagande raciste ", et nos juges le savent bien. Pourtant, ils le font parce qu'ils sont eux-mêmes prisonniers d'une loi totalitaire. Il est vrai qu'il existe des exceptions : les juges de la cour d'appel du canton de Vaud ont acquitté notre ami Aldo Ferraglia, condamné à une lourde peine en première instance pour avoir diffusé le livre révisionniste de Roger Garaudy. Mais le Tribunal fédéral vient d'annuler cette décision, de sorte qu'Aldo Ferraglia sera sans doute condamné en fin de cause. C'est ainsi que fonctionne une Justice soumise au droit du plus fort.

 

La loi-muselière interdit la négation d'un génocide. Vu que le concept de " génocide " est inexistant dans la législation suisse, il faut appliquer la définition de la Convention de l'ONU sur la répression du crime de génocide. Selon cette convention, commet un génocide qui tue des membres d`'une communauté ethnique. Comme les nationaux-socialistes ont bien tué des Juifs, leur politique devra incontestablement être qualifiée de " génocidaire " selon la définition de la Convention de l'ONU, mais aucun révisionniste n'a jamais contesté un génocide ainsi défini. Les révisionnistes contestent l'existence d'un plan d'extermination des Juifs, l'existence de chambres à gaz homicides et le chiffre de 5 à 6 millions de victimes juives avancé par les historiens de cour. Tout cela n'est pas interdit par l'article 261bis. Par conséquent, aucun révisionniste ne devrait être condamné pour avoir " nié un génocide ", si la loi était appliquée correctement. Mais en réalité, celle-ci est brandie comme une arme à l'encontre de tout ceux qui osent mettre en question le dogme officiel des 6 millions de victimes.

 

Procédons à l'analyse des termes " nier " et " négation ". Le verbe " nier " signifie contester mensongèrement un fait prouvé. Afin de condamner un révisioniste pour avoir " nié " l'existence des chambres à gaz homicides, le juge devrait donc prouver que l'accusé croit aux chambres à gaz, mais feint de ne pas y croire. Où nos juges ont-ils appris l'art de lire les pensées d'autrui ? Signalons en passant que la langue germanique fait exactement la même distinction que le français, le verbe bestreiten correspondant à " contester " et le verbe leugnen à " nier ". Par contre, l'italien ne reconnaît pas cette distinction : " negare " signifie à la fois " nier " et " contester " et n'a aucune connotation péjorative.

 

Outre la " négation " d'un génocide, la loi-muselière interdit également la minimisation d'un tel crime. Afin de pouvoir décider où commence la " minimisation ", on devrait pouvoir partir de chiffres admis et reconnus. Or, en ce qui concerne le nombre des victimes des différents camps de concentration, les exterminationnistes se contredisent de manière flagrante. L'exemple le plus spectaculaire est celui d'Auschwitz. Combien de détenus y ont trouvé la mort selon les statistiques exterminationnistes ? Voici une liste qui est loin d'être exhaustive :

 

 

9.000.000 selon le film Nuit et Brouillard

8.000.000 selon la Commission française pour l'investigation

des crimes de guerre en 1945

5.000.000 selon le journal Le Monde du 20 avril 1978

4.000.000 selon le document de Nuremberg URSS-008

3.000.000 selon la confession de H?ss (IMT 3868-PS)

2.000.000 selon Lucy Dawidowicz (The War against the Jews, 1990, p. 191)

1. 300.000 (dont 1.000.000 de juifs) selon Raul Hilberg (Die Vernichtung der europschen Juden, 1990, p. 956)

1.000.000 à 1.500.000 selon J.-C. Pressac en 1989 (Technique and Operation of the Gas Chambers, p. 553).

850.000 à 950.000 selon Gerald Reitlinger (Die Endl?sung, 1990, p. 956)

775.000 à 800.000 (dont 630.000 gazés) selon J.-C. Pressac en 1993 (Les crématoires d'Auschwitz, p. 148)

631.000 à 711.000 (dont 470.000 gazés) selon J.-C. Pressac en 1994 (Die Krematorien von Auschwitz, traduction allemande du titre

précédant, p. 202).

 

Voilà les questions qu'il faudrait poser à nos juges : lequel de ces chiffres est-il juridiquement obligatoire, et pourquoi ? Où commence la minimisation ? Pour lequel des chiffres divergents alignés dans ses trois livres, Jean-Claude Pressac sera-t-il poursuivi ? Un chiffre exagéré est-il constitutif d'une discrimination au détriment des Allemands, comme le voudrait la logique et l'équité ? J'attends avec impatience la réponse de nos juges.

 

Tout cela démontre la perversité manifeste d'une juridiction à laquelle le pouvoir politique a assigné le rôle d'une moderne Inquisition. Mis à part le fait que les magistrats ne sont nullement qualifiés pour résoudre des controverses historiques, l'idée même d'inscrire dans le Code pénal une certaine version de l'Histoire est aberrante, parce que la méthode même de tout historien sérieux n'est que révision permanente. Par son travail, l'historien peut découvrir des faits nouveaux, qui le conduisent à remettre en question des thèses établies, de même que des faits indiscutés peuvent être interprétés de manière différente. Deux exemples suffiront pour l'illustrer.

 

Personne n'a jamais contesté que le 22 juin 1941, la Wehrmacht a attaqué l'Union Soviétique. D'un point de vue purement formel, les Allemands étaient donc incontestablement les agresseurs. Mais à la lumière de recherches faites par des historiens comme Viktor Souvorov et Karlheinz Hoffmann, on a découvert que Staline préparait une invasion de l'Europe occidentale : tout porte à croire que l'attaque allemande était en réalité une guerre préventive. Voici un exemple classique de révisionnisme. Bien que la thèse de la guerre préventive ne soit pas " politiquement correcte ", les auteurs qui la défendent ne sont pas poursuivis pénalement.

 

Un autre exemple fameux concerne le saint suaire de Turin. Il y a une dizaine d'années, des chercheurs utilisant la méthode de datation utilisant le carbone 14 sont arrivés à la conclusion que le Suaire datait du Moyen Age. D'autres chercheurs ont mis en évidence l'incertitude de cette méthode, soulignant que plusieurs fois, des chercheurs qui avaient soumis les mêmes objets à une analyse basée sur cette méthode étaient parvenus à des résultats radicalement différents quant à l'âge de ces objets. Qui ira en prison : ceux qui croient à l'authenticité du saint suaire ou ceux qui la contestent ?

 

Tout cela est tellement évident que n'importe qui pourvu d'une intelligence normale devrait le comprendre facilement. Mais voilà, qui a dit bizarre, nos politiciens ne comprennent pas, nos journalistes ne comprennent pas, nos magistrats ne comprennent pas et nos historiens patentés encore moins !

 

Restons indulgents, les historiens sont les moins coupables. Un professeur d'histoire contemporaine désireux de garder son poste tout en évitant de mentir se trouve dans une situation difficile. La majorité de ces historiens esquivent donc le sujet autant que possible, alors que des créatures sans conscience, des menteurs éhontés à la Eberhard J?ckel et Christopher Browning, se prostituent en servant de propagandistes à la version juive des événements. Ils savent qu'il peuvent débiter les pires sornettes sans jamais être inquiétés par des questions embarassantes de leurs étudiants. L'atmosphère de terreur créée par les politiciens et les journalistes empêche tout débat ouvert et objectif sur la question. Déjà avant 1995, toute personne qui osait mettre en question le dogme de l'Holocauste risquait l'ostracisme social et la ruine économique : pire encore, depuis 1995, l'ombre de la prison plane sur la liberté d'expression.

 

Au Moyen Age, quand les chevaliers se battaient à l'épée et à la lance, on pouvait certes haïr son ennemi, mais on ne pouvait pas le mépriser, car lui aussi risquait sa peau. En revanche, l'aspect le plus déplorable de la lutte révisionniste à notre époque réside peut-être dans le fait que nous n'avons aucun adversaire digne de respect : la veulerie de ceux qui, faute d'arguments, ne savent que recourir au mensonge, à la calomnie et à l'intimidation, craignent la libre confrontation comme le diable l'eau bénite. Voilà où en est l'Israelitisches Wochenblatt du 22 octobre 1999. A la page 11, M. Yitzchak Mayer, ambassadeur d'Israël à Berne, cloue au pilori ceux qui, je cite, " prétendent qu'Auschwitz n'est qu'une chimère ". Même les lecteurs du Israelitisches Wochenblatt ne seront pas assez stupides pour croire que les révisionnistes contestent l'existence même du camp de concentration d'Auschwitz. Pourquoi donc ce mensonge gratuit ? Ces messieurs sont-ils peut-être si habitués à mentir qu'il mentent toujours et automatiquement, même sans réelle nécessité ?

 

Mais nos adversaires commettent des erreurs. Ils ne savent pas quand il faut s'arrêter et exagèrent. Ils ne se rendent pas compte que nombre de gens n'ont jamais eu l'occasion de connaître un seul argument révisionniste mais commencent à se méfier instinctivement de la version officielle des faits, parce qu'une vérité évidente et incontestable n'a pas besoin d'être répétée tous les jours, et parce qu'il ne faut nulle loi pour l'imposer. Si quelqu'un affirme que Adolf Hitler est une figure de roman et que la Deuxième guerre mondiale n'a jamais eu lieu, nous n'aurions pas besoin d'une loi pour le réfuter. Nous disposerions de preuves en suffisance.

 

A la même page 11 de l'Israelitisches Wochenblatt du 22 octobre, nous apprenons que, selon un sondage de la télévision, 10% de la population suisse approuve le fait que M. Christoph Blocher a loué ma brochure Vom Untergang der schweizerischen Freiheit (Du déclin de la liberté en Helvétie). Le tirage de cette brochure était de 6000 exemplaires. Quelques centaines d'exemplaires ont été confisqués par la police argovienne au domicile de mon éditeur, Gerhard F?rster, et au moins mille exemplaires ont été vendus en Allemagne, ce qui revient à dire que le nombre des exemplaires distribués en Suisse est inférieur à 5000. Supposons que chaque livre soit lu par deux personnes. Dans ce cas, environ 10.000 personnes au plus connaissent le contenu de ma brochure. Et pourtant, un Suisse sur dix dit qu'il approuve la louange de Blocher, et pour chaque Suisse qui a le courage de le déclarer à la TV, il y a certainement d'autres qui pensent la même chose sans oser le dire publiquement.

 

Grâce à MM. Bronfmann, Burg et Hevesi, l'atmosphère en Suisse a changé. Profitons-en pour diffuser les écrits révisionnistes. Nos arguments sont tellement convaincants que toute personne encore capable de penser logiquement en dépit d'une propagande abrutissante en comprend le bien-fondé.

 

Avant de terminer, mon ami René-Louis Berclaz m'a prié d'aborder la question de savoir si l'existence de la loi-muselière est compatible avec notre nouvelle Constitution fédérale. Et bien, elle ne l'est pas. L'article 15 de la Constitution dit que la liberté de la croyance est garantie. On n'est donc pas obligé à croire aux chambres à gaz et aux six millions. L'article 16 garantit la liberté d'opinion et l'accès libre aux informations. On a donc le droit d'être révisionniste et de publier des écrits qui contestent l'exactitude de la version obligée quant au sort des Juifs pendant le régime national-socialiste. L'article 17 précise que la censure est interdite. Les magistrats n'ont donc pas le droit de faire saisir nos livres, nos revues et nos brochures. L'article 20 garantit la liberté de la recherche scientifique. Par conséquent, la recherche historique doit être libre de toute entrave politique, et les condamnations des révisionnsistes doivent être annulées.

 

Le trait le plus détestable du système dans lequel nous vivons est son hypocrisie. Il est vrai que la censure et les procès politiques sont des phénomènes susceptibles d'apparaître dans n'importe quel système politique. Tout régime qui se sent menacé recourt à la répression. Mais les systèmes autoritaires ont au moins l'avantage de l'honnêteté. Sous Mussolini, il n'était pas permis de prôner le renversement du régime fasciste, et qui le faisait quand même risquait d'être banni dans un village isolé. Sous Hitler, il n'était pas légal de préconiser l'instauration d'un gouvernement marxiste ou libéral, et qui le faisait quand même risquait le camp de concentration. La différence entre les régimes autoritaires du type fasciste ou national-socialiste et nos faux démocrates est que les fascistes et les nationaux-socialistes n'ont jamais fait de la liberté d'expression un droit fondamental. Entre une dictature honnête et populaire et une dictature hypocrite et antipopulaire, je préfère de loin la première.

 



Le colloque d'Histoire révisionniste de Paris (06 11 99).

Organisé à Paris par la Fondation pour le libre examen historique (VHO), ce colloque a permis aux révisionnistes de se retrouver pour entendre plusieurs intervenants. Après une introduction de Vincent Reynouard, l'initiateur et l'organisateur d'une manifestation qui s'est déroulée dans des conditions parfaites, les orateurs ont présenté les thèmes suivants :

 

1. Philippe Gautier : " la germanophobie à travers les siècles ",

 

2. René-Louis Berclaz : " Le Dr Mathez, un révisionniste avant l'heure ".

 

3. Jürgen Graf : " La déportation des Juifs hongrois en 1944 ".

 

4. Me Eric Delcroix : " Bilan de la répression des libertés d'opinion et d'expression ".

 

5. Jean-Louis Berger : " La chasse aux sorcières dans l'Education nationale ".

 

6. Robert Faurisson : " Pour un révisionnisme sans complexe ".

 

Vincent Reynouard a conclu avec réalisme en relevant que si le révisionnisme a l'avenir pour lui, la répression et les entraves pénales restent le lot d'un quotidien que les révisionnistes vivent au jour le jour. Les actes de ce colloque seront publiés prochainement : dès lors, nous vous invitons à vous référer à cette publication que vous pouvez d'ores et déjà commander à l'adresse suivante :

VHO
Postbus 60
B - 2600 Berchem 2 (Belgique)


Un entretien exclusif
avec le Dr Picarus sur les conséquences du rapport Bergier

 

Suite aux scènes d'hystérie collective suscitées par la publication du rapport Bergier, l'éminent professeur Picarus, psychiatre mondialement connu pour sa hauteur de vue, a bien voulu nous accorder un entretien exclusif.

 

Question. - Comment expliquez-vous de telles réactions hystériques ?

 

Réponse. - Le choc d'apprendre brutalement que ce vénérable et attachant grand-père qui nous racontait de si belles histoires sur la Mob était en réalité un sinistre pourvoyeur des chambres à gaz peut créer un traumatisme profond que l'effet de masse amplifie.

 

Question. - Existe-t-il un traitement efficace ?

 

Réponse. - Je peux vous dire qu'il existe une thérapie très efficace qui a fait ses preuves depuis longtemps.

 

Question. - Voilà qui est rassurant. Et de quoi s'agit-il ?

 

Réponse. - Par un travail sur soi-même, soutenu et encadré par des groupes de réflexion, le malade commence à prendre conscience de sa responsabilité par rapport à la culpabilité de l'entité historique et culturelle à laquelle il appartient, ce qui représente une étape importante sur le chemin de la guérison.

 

Question. - Parce que le traitement se développe en plusieurs étapes ?

 

Réponse. - Quand le mal est si profond, il faut compléter le travail sur soi-même par une série d'actes susceptibles de structurer dans le subconscient les effets de la thérapie.

 

Question. - En quoi consistent ces actes ?

 

Réponse. - Ces actes thérapeutiques transcendent le traumatisme du niveau de l'hypoconscience du sous-moi égocentrique sur-critique à celui de l'hyperconscience du sur-moi altruiste sous-critique. Après cette véritable cure de mémoire, tout votre être éprouvera un soulagement durable, délivré qu'il sera de ses doutes susceptibles d'entraver l'élan du moi transcendantal vers les hauteurs où les contraires s'annulent dans une juste vision des choses...

 

Question . - Ca plane pour moi ! Mais au fait, cher Docteur Picarus, juste encore un détail : à qui faut-il verser l'argent ?


Extraits de nos courriers

Nous avons envoyé deux courriers importants en vue de sensibiliser des responsables politiques aux questions que nous soulevons. Nous n'avons reçu aucune réponse. Un tel silence est significatif de l'impuissance des Autorités à répondre aux arguments développés par les révisionnistes.

La première de ces lettres a été adressée au conseiller fédéral Adolf Ogi, chef du Département fédéral de la défense, en date du 8 novembre 1999.

 


Monsieur le Conseiller fédéral,

Nous nous référons à un article paru dans le quotidien " 24 Heures " du 5 novembre dernier, article dans lequel le colonel commandant de corps Fernand Carrel est interrogé par le journaliste Xavier Dormond, et plus particulièrement au passage suivant :

" Aujourd'hui, quinze accords bilatéraux ont été signés avec dix armées de l'air étrangères. Des accords au grand jour. Il n'en a pas toujours été de même. En mars-avril 1979, deux pilotes israéliens ont pu voler secrètement sur des Mirages helvétiques, depuis l'aérodrome de Payerne, pour s'entraîner au combat aérien contre le nouveau F-5 Tiger, un modèle que l'Egypte venait aussi d'acquérir. "

Cet article rejoint celui paru dans le quotidien " La Liberté " du 20 septembre 1999, lequel se référait à une dépêche de l'ATS :

" En parallèle à cette affaire (l'affaire Bellasi), le Sonntagsblick a indiqué que des membres des forces de sécurité israéliennes ont été formés de 1979 à 1983 à la sécurité des ambassades et des synagogues en Europe. "

Le 12 septembre 1993, le quotidien " Le Monde " publiait l'article suivant au sujet du respect des droits de l'homme en Israël :

" Cette organisation humanitaire (Betselem, organisation israélienne) indique aussi qu'au moins vingt mille détenus sont torturés, chaque année, dans des centres de détention militaire, au cours d'interrogatoires. "

Auriez-vous l'obligeance, Monsieur le Conseiller fédéral, de bien vouloir nous dire sur quelles bases légales a eu lieu cette politique de " collaboration ", sachant que l'Etat d'Israël était alors sous le régime de la loi martiale, que la Cour suprême israélienne avait légalisé la torture le 15 novembre 1996, et que l'Assemblée générale des Nations Unies avait adopté une Résolution le 10 novembre 1975 (Résolution 3379-xxx) définissant le sionisme comme " une forme de discrimination raciale ".

De plus, l'Etat d'Israël violait au moment des faits incriminés l'article 49 de la Convention de Genève, lequel stipule : " La puissance occupante ne pourra procéder au transfert d'une partie de sa propre population civile dans le territoire occupé par elle ". Relevons que cette situation, dans les faits, reste inchangée.

Notre Association a pour buts de promouvoir la libre recherche historique et de défendre les libertés d'opinion et d'expression, lesquelles sont garanties en principe par l'article 16 de la nouvelle Constitution fédérale. Il nous semble digne d'intérêt d'obtenir des éclaircissements au sujet de cette politique de " collaboration " menée par la Suisse neutre avec un Etat raciste et terroriste, en vue d'informer objectivement l'opinion publique.

Nous vous remercions de votre obligeante attention, et vous prions de croire, Monsieur le Conseiller fédéral, à l'assurance de notre haute considération.

Vérité & Justice


La deuxième de ces lettres a été adressée aux chefs des Départements de l'Instruction publique des cantons de Suisse romande, en date du 24 novembre 1999. (reproduction de la version genevoise)

 


Madame le Conseiller d'Etat,

Nous nous référons à la récente venue d'Elie Wiesel à Fribourg. Ce dernier a exprimé le souhait que les programmes d'histoire contemporaine des écoles de Suisse romande consacrent une part plus importante à l'étude de l'Holocauste.

Ce " grand témoin " a publié en 1958 sous le titre La Nuit la version française de son témoignage. Il dit qu'à Auschwitz, il y avait une fosse incandescente pour les adultes et une autre pour les bébés. Il écrit, page 57 :

" Non loin de nous, des flammes montaient d'une fosse, des flammes gigantesques. On y brûlait quelque chose. Un camion s'approcha du trou et y déversa sa charge : c'étaient des petits enfants. Des bébés ! Oui, je l'avais vu, de mes yeux vu…Des enfants dans les flammes. "

Dans un autre de ses ouvrages, Paroles d'étranger, il écrit a propos de Babi-Yar, localité d'Ukraine où auraient eu lieu des exécutions massives, page 86 :

" Plus tard, j'appris par un témoin que, pendant des mois et des mois, le sol n'avait cessé de trembler ; et que, de temps en temps, des geysers de sang en avaient giclé. "

A propos d'Elie Wiesel, Pierre Vidal-Naquet déclarait dans le mensuel Zéro d'avril 1987, page 57 :

" Le rabbin Kahane, cet extrémiste juif (…) est moins dangereux qu'un homme comme Elie Wiesel qui raconte n'importe quoi… Il suffit de lire certaine description de La Nuit pour savoir que certaines de ses descriptions ne sont pas exactes et qu'il finit par se transformer en marchand de Shoah… Eh bien lui aussi porte un tort, et un tort immense, à la vérité historique. "

Notre Association a justement pour but de promouvoir la vérité historique. Une information libre et transparente reste le meilleur moyen de s'en approcher, car il est certain qu'une décision politique basée sur de faux renseignements conduirait à prendre des mesures inadéquates pour le bien public. C'est la raison pour laquelle nous nous permettons de vous communiquer les observations suivantes.

Le problème des chambres à gaz homicides n'est qu'un aspect de la question, mais c'est celui qui représente le mieux toute la problématique liée à l'Holocauste et à ses tabous. Le Zyklon-B est un gaz cyanhydrique, très toxique, utilisé depuis 1922, et aujourd'hui encore, pour tuer la vermine des habits, des bâtiments, des casernements, les cales de navires, etc… Les spécialistes qui l'utilisent doivent suivre une procédure rigoureuse, en particulier au moment de pénétrer là où ce gaz a été utilisé. Ce gaz adhère aux surfaces et pénètre dans l'organisme par les voies respiratoires, la peau et les muqueuses. Il est difficile à ventiler et il peut exploser. On l'utilise aux Etats-Unis pour exécuter des condamnés à mort. Ces chambres à gaz ont toujours été d'une grande complexité à cause précisément des risques de toutes sortes que leur fonctionnement implique. Le risque le plus grand est d'y entrer après une exécution capitale pour manipuler le corps imprégné de gaz, pour le décontaminer et le sortir de la chambre à gaz.

La légende veut qu'à Auschwitz, les corvées chargées, après les gazages homicides, de pénétrer dans les locaux et d'y manipuler des centaines, voire des milliers de cadavres, l'aient fait sans précaution particulière, voire en fumant et en mangeant, c'est-à-dire sans même un masque à gaz.

Pénétrer ainsi dans un local rempli de cadavres saturés de gaz cyanhydrique, c'est se vouer à une mort certaine. Manipuler des cadavres qui, par simple contact de la peau imprégnée de gaz les auraient contaminés à leur tour, c'est prendre un risque mortel. Aux désinfecteurs professionnels, il est prescrit d'éviter tout effort physique au moment où, munis d'un masque à gaz à filtre spécial, ils pénètrent dans un local pour le ventiler. A titre d'exemple, s'ils ont des difficultés à ouvrir une fenêtre, ils ne doivent pas insister sinon l'effort physique entraînera une accélération du rythme respiratoire et le masque risquerait alors de perdre de son efficacité.

Dans ces conditions, comment aurait-on pu, dans les chambres à gaz d'Auschwitz, pénétrer dans un local saturé de gaz alors que la ventilation a tout juste commencé, et comment aurait-on pu manipuler sans aucune précaution des centaines de corps hautement toxiques, ainsi que le prétendent les " témoins " ?

Reconnaissons à Elie Wiesel qu'il ne parle nulle part dans son autobiographie des chambres à gaz d'Auschwitz. Ceci n'empêche pas ce nouveau Moïse de déclarer au sujet de la Shoah dans The Jewish Chronicle du 30 juin 1978 :

" (…) un secret, un mystère à comparer avec la Délivrance de la Loi sur le Mont Sinaï. "

Le philosophe et théologien allemand Karl Barth a résumé toute la question en affirmant dans la revue Le Droit de vivre d'octobre 1988, page 11 :

" Expliquer le crime d'Auschwitz, c'est effacer le crime. Or, c'est un crime inexplicable et ineffaçable. Il faut donc admettre sa monstruosité et ne pas chercher à l'expliquer. "

Les élèves genevois pourront peut-être étudier la question selon les principes de M. Ouriel Resheff, tels qu'ils sont décrits dans le programme 1988-89 des enseignements et séminaires de l'Ecole des Hautes études en science sociale de Paris, page 124 :

" Il s'agit d'une interpellation incontournable face à laquelle l'approche strictement historique se révèle impuissante. Aussi fera-t-on appel tour à tour à la littérature, à la philosophie et à la théologie pour sonder les approches diverses et les perceptions extrêmement multiformes face à ce que tous les survivants s'accordent à désigner comme l'incommunicable absolu. "

A partir d'un tel constat, il devrait être possible de revenir au point de départ de toutes ces questions. Une pareille démarche n'est toutefois possible que si la libre recherche historique est autorisée, et c'est là le point sensible sur lequel nous nous permettons d'attirer votre attention.

L'article 16 de la Constitution fédérale est un droit fondamental qui garantit les libertés d'opinion et d'expression. Interpellé au sujet de l'incompatibilité de ce droit avec l'article 261 bis du Code pénal suisse, le Conseil fédéral a répondu en invoquant l'article 36 de la Constitution, intitulé " Restriction des droits fondamentaux " et à son alinéa 2 qui dit que " Toute restriction d'un droit fondamental doit être justifiée par un intérêt public ou par la protection d'un droit fondamental d'autrui. " Or, quel est le but de l'article 261 bis du Code pénal, autrement dit de la loi-muselière ? Ce but consiste essentiellement à protéger la dignité humaine, qui est un autre droit fondamental protégé par la Constitution. En quoi consiste explicitement la dignité humaine, cela le Conseil fédéral ne le dit pas, car il ne veut pas d'une définition qui l'engagerait. Cela lui permet d'affirmer que " la protection contre les discriminations jouit de la priorité sur la liberté d'opinion quand une opinion exprimée viole la dignité de l'homme. " Une telle déclaration montre que la nouvelle Constitution a été très habilement conçue pour être interprétée de différentes manières, ce qui n'a pas été compris au moment de la votation populaire du 18 avril 1999, sauf par notre Association qui avait publié avant la votation une mise en garde à ce sujet. Mais, par principe, un révisionniste n'a-t-il pas toujours tort ?

Il n'en reste pas moins que tous les historiens dignes de ce nom sont révisionnistes par formation et par vocation. Le " révisionnisme " n'est pas une idéologie, mais une méthode scientifique, à l'opposé du dogmatisme historique qui résulte d'une volonté totalitaire d'imposer une vision de l'Histoire profitable aux seuls intérêts des représentants de l'idéologie dominante. Le " négationnisme " est une étiquette utilisée improprement pour qualifier le révisionnisme, car le verbe nier signifie contester mensongèrement un fait établi. En fait, les Tribunaux se font les négateurs des lois de la physique ou de la chimie quand ils refusent d'examiner les rapports scientifiques ou de prendre en considération les témoignages d'experts scientifiques, quand bien même ces rapports font l'objet de préavis favorables de la part des experts neutres mandatés par la Justice elle-même, avant d'être aussitôt occultés, car, reconnus comme " scientifiquement corrects ", ils n'en sont que plus gênants. Les négationnistes ne sont pas forcément ceux que l'on croit.

Ces questions, et de nombreuses autres toutes aussi sensibles, il n'est pas possible de les poser et d'en débattre, puisque le Tribunal fédéral, sans apporter aucune réponse scientifiquement fondée, et sans autre argument que celui de l'autorité, interdit tout doute à ce sujet, et considère que poser de telles questions, c'est déjà porter atteinte à la dignité humaine.

A cette conception arbitraire du Droit imposée par un système totalitaire et partisan, les révisionnistes opposent le droit à la vérité historique, et considèrent que ce droit est une condition inhérente à la véritable dignité humaine. Cela, les révisionnistes en font un devoir vis-à-vis de la société et de leur conscience, malgré l'exclusion sociale et les condamnations pénales qui les frappent sans discernement.

Nous vous remercions de votre obligeante attention, et vous prions de croire, Madame le Conseiller d'Etat, à l'assurance de notre parfaite considération

Vérité & Justice


Funérailles nationales pour un révisionniste

Le président Franjo Tudjman, fondateur et chef de l'Etat Croate, est mort le 11 décembre dernier à l'âge de 77 ans. Né le 14 mai 1922, cet ancien général de l'ex-Yougoslavie avait été condamné en 1972 et en 1981 à deux peines de prison de 3 et 2 ans pour " dissidences ". Ces recherches d'historien avaient soulevé la colère d'Israël, qui n'hésita pas en 1997 à sommer la Croatie de répudier son président à cause de ses écrits révisionnistes ! Franjo Tudjman est ainsi le premier révisionniste à avoir droit à des funérailles nationales. Le peuple croate les firent grandioses.


Le massacre d'Andelot

La Deuxième division blindée commandée par le général Leclerc, après avoir " libéré " Paris, poursuivit sa marche jusqu'à Strasbourg, et de là en Allemagne. Le 12 septembre 1944 le bourg d'Andelot, en Haute-Marne, se trouve sur la route de la Division Leclerc : en moins de deux heures, Andelot est nettoyé. Officiellement, on compte, du côté allemand, 60 tués et 800 prisonniers. Selon le professeur Daniel Guerain, la réalité est moins glorieuse. Sur la base de témoignages d'anciens combattants de la Deuxième D.B. près de 300 soldats allemands auraient été massacrés après s'être rendus. Une version confirmée par des survivants allemands que le professeur Guerain a pu retrouver. Le résultat de cette enquête est présenté dans un ouvrage de 220 pages, sous le titre " L'Envers de la Légende : Histoire d'une Libération " actuellement en souscription chez l'auteur, au prix de 210 francs français.

Pour tous renseignements complémentaires :

Daniel Guerain
220, rue des Gentianes
F - 74130 Bonneville


Pour un révisionnisme total

Rappelons que le révisionnisme n'est pas une idéologie, mais une méthode scientifique. Cette méthode est celle utilisée par tous les historiens dignes de ce nom, et en général par tous les scientifiques. Que certains considèrent comme dérangeants les faits présentés par le révisionnisme résulte d'un point de vue qui lui est de nature idéologique. Le révisionnisme historique n'est donc pas unique et n'a nullement la prétention de l'être. Il serait même faux de croire que le révisionnisme historique est seul confronté à la répression pénale. Nous en voulons pour preuve la répression qui frappe ceux qui mettent en cause la médecine officielle ainsi que la loi sur l'assurance maladie. La logique du système, fruit de la " pensée unique ", axée entièrement sur le profit à court terme, a fait de la santé publique un instrument au service des multinationales de la chimie et de la pharmacie. La perversion du système est totale, sachant que l'industrie agroalimentaire produit une alimentation susceptible de générer des maladies. La boucle se referme implacablement sur le patient potentiel, devenu lui-même un simple instrument économique dénué du droit et de la responsabilité de choisir. On sait par exemple que la médecine traditionnelle chinoise applique une médecine préventive, où le médecin est payé tant que l'on se porte bien. L'éthique occidentale privilégie quant à elle une médecine curative, où le médecin est payé une fois la maladie déclarée. Mais notre système de santé publique préfère quant à lui ponctionner " l'assuré " dans tous les cas de figure, bien ou mal portant. Ce patient-là a au moins l'assurance que sa vocation est d'entretenir une santé publique devenue iatrogène.

Pour en savoir davantage sur le révisionnisme total.
Librairie du Savoir
5, rue Malebranche
F - 75005 Paris

 

Libre R
Altantis Center
CH - 1628 Vuadens





La Suisse et les fonds juifs en déshérence

Mémoire en défense contre le Ministère public de l'Etat de Fribourg



 



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