On croyait avoir tout
vu en matière de servilité
philosioniste, mais les exploits de Wolfgang Thierse,
président du Bundestag allemand, semblent ici
avoir atteint un sommet qu'il sera difficile de
surpasser. Ce haut dignitaire de la République
fédérale se situe au deuxième
rang de l'Etat, juste après le président
Rau. Sa fonction l'oblige, en principe, à se
situer au-dessus de la mêlée, puisqu'il
doit présider le Bundestag et faire en sorte
que les débats parlementaires puissent se
dérouler avec la dignité qui sied aux
représentants du souverain, à savoir le
peuple allemand lui-même. C'est dire à
quel degré d'avilissement le premier citoyen de
l'Etat, garant de la dignité d'un grand peuple,
s'est abaissé en se déplaçant en
personne à Beyrouth pour transmettre les
instructions des organisations juives au gouvernement
libanais, lesquelles avaient cru bon de sortir le
grand jeu pour faire interdire la conférence de
V&J. Selon les usages, un message de gouvernement
à gouvernement, par ordre d'importance,
commence par une note diplomatique ; pour l'appuyer,
l'ambassadeur en poste demandera à être
reçu ; au besoin un envoyé
spécial fera le voyage ; si cela ne suffit pas,
le ministre des Affaires étrangères en
personne interviendra ; et en dernier ressort, le chef
de gouvernement se déplacera en cas de crise
gravissime, comme le premier ministre britannique
Chamberlain l'a fait en se rendant à Munich en
1938 pour conjurer la guerre. Mais le comble est ici
atteint, puisqu'il n'existe pas d'exemple connu d'un
président d'un parlement se
déplaçant en personne pour intervenir
dans une affaire n'étant pas de son ressort,
puisque l'organisateur de la conférence
interdite n'est pas allemand ! Si Herr Doctor Thierse
a dû accourir au coup de sonnette et
déranger son auguste personne, c'est parce que
V&J y a mis son grain de sel. Et ce sont
finalement, entre autres, les gesticulations
grotesques de cette carpette volante qui ont
transformé le grain de sel en grain de sable,
avec pour effet de gripper très
sérieusement l'industrie de l'" Holocauste "
dans les pays islamiques !
Les
effets de la non-conférence de
Beyrouth
Le but premier de la
conférence organisée par V&J
était de sensibiliser le monde islamique au
révisionnisme, dans l'idée de mettre
certaines vérités au service de la juste
cause du peuple palestinien. Il a suffit d'observer la
puissance du tir de barrage dirigé contre
V&J pour se rendre compte à quel point le
principe d'une conférence sur le sionisme et le
révisionnisme était judicieux. La
conférence n'a certes pas eu lieu, mais les
effets escomptés se sont réalisés
mieux que prévus. Dans un commentaire
publié dans notre précédent
numéro, le professeur Faurisson espérait
voir un dirigeant d'un pays islamique franchir le
Rubicon en reconnaissant officiellement le
bien-fondé des thèses
révisionnistes : ce qu'a fait Ali Khamenei,
guide suprême de la Révolution islamique,
dans un discours prononcé à
Téhéran le 24 avril dernier en
présence du président iranien Khatami et
devant les délégués de
trente-quatre pays islamiques. Aussitôt, le
département d'Etat américain a
répliqué en qualifiant de " scandaleux
et déplorables " de tels propos, ajoutant que
ceux-ci " ne sont pas de nature à dissiper les
inquiétudes sur le soutien de l'Iran au
terrorisme et son opposition à la paix au
Proche-Orient " (Le Monde du 26 avril 2001).
L'amalgame est ainsi fait entre révisionnisme
et terrorisme, à la différence
près que le révisionnisme, comme le
ridicule, ne tue pas
Les victimes palestiniennes
apprécieront, elles qui remplissent les
hôpitaux et les cimetières sans susciter
la moindre visite ni le moindre intérêt
d'un quelconque de nos grands vizirs
démocrates, alors qu'un de ceux-ci est accouru
ventre à terre d'Allemagne pour faire interdire
une pacifique réunion d'historiens
révisionnistes. Autre retombée
directement liée à la
non-conférence de Beyrouth, le colloque
révisionniste du 13 mai dernier organisé
par le Dr Ibrahim Alloush, un Palestinien
établi à Amman, président de la
Société des écrivains jordaniens,
qui a appelé les pays arabes et islamiques
à " avoir le courage de soutenir les recherches
des révisionnistes d'autant que, parmi eux,
figurent des juifs " (La Presse du 15 mai 2001). Les
participants à ce colloque ont aussi
condamné l'appel des quatorze intellectuels
arabes qui s'étaient opposés à la
tenue de la conférence de Beyrouth. Parmi ces
derniers, Edward Said et Mahmoud Darwish ont
déclaré avoir été
abusé en signant cet appel et ont retiré
leur signature. Autre participante à ce
colloque, la journaliste libanaise Hayat al-Howeyek,
qui a dénoncé les pressions
européennes et américaines
exercées sur le gouvernement libanais pour le
dissuader d'accueillir la conférence de
V&J. Le 15 mai 2001, Al Jazeera, une chaîne
de télévision transarabe émettant
du Quatar, a organisé un débat au cours
duquel le professeur Faurisson a pu intervenir :
à la question de savoir si les crimes des
Israéliens étaient pires que les crimes
des Nazis, les téléspectateurs
consultés ont répondu par l'affirmative.
Même prise de position de la part du journal
officiel du gouvernement palestinien Al-Hayat
Al-Jadida, qui n'hésite pas à
déclarer, dans son édition du 13 avril
2001 : " Le chiffre de 6 millions de Juifs
brûlés est un mensonge de propagande. La
thèse de l'holocauste a pu se maintenir plus de
50 ans, parce que les médias ont agi en
missionnaires et inlassablement
répété cette histoire, et non pas
parce que cette thèse serait historique ".
Quatre ans après l'affaire Garaudy, la
non-conférence de Beyrouth a relancé la
carte révisionniste dans la partie tragique qui
se joue au Proche-Orient. Le mythe de l'" Holocauste "
justifie la présence et les crimes de
l'entité sioniste en Palestine : en montrant
comment l'" Holocauste " n'est qu'un mythe
fabriqué, le révisionnisme fait acte de
résistance contre un pouvoir colonialiste
oppressif. Le Proche-Orient est sans doute le passage
obligé pour que le révisionnisme puisse
revenir dans une Europe libérée de ses
muselières. Qui dit libération dit
résistance, et comme le dit Lucie Aubrac,
icône de la Résistance française,
" La désobéissance volontaire fait
partie de l'esprit résistant ". /
Quand
un " coucou " niche à
l'Observatoire
Lausanne est le
siège de l'Observatoire International des
Affaires de la Palestine. Cette ONG largement
subventionnée a pour président un
certain Ahmed Benani. Cet " observateur " de la
scène palestinienne est surtout connu pour sa
fréquentation assidue des casinos de Divonne et
d'Evian. Ceci fait qu'il n'a guère surpris son
monde en lançant un appel, - copié mot
pour mot dans le manuel du parfait petit
licraïque, - où il se répand en
imprécations contre le révisionnisme et
les organisateurs de la conférence de Beyrouth.
Au moins sait-on maintenant qui supervise le plan de
vol de ce coucou-là. /
Le
revers de la médaille
Les victoires du
révisionnisme attirent sur les
révisionnistes les foudres des profiteurs du
mensonge holocaustique et de leurs suppôts
corrompus. Pour ne mentionner que les cas les plus
récents venus à notre connaissance,
citons :
" Jean Plantin,
directeur de la revue AKRIBEIA, risque de se voir
privé de ses titres académiques suite
à une condamnation pénale.
" Serge Thion,
longtemps chercheur au CNRS, s'est vu
révoqué de son poste pour avoir
animé un site Internet.
" Jean-Paul
Allard, professeur à l'Université de
Lyon III, objet d'une véritable chasse à
l'homme de la part des organisations " antiracistes ",
a été victime d'un accident
vasculaire-cérébral qui le laisse
gravement handicapé.
" Jean-Louis
Berger, pour avoir tenu des propos
révisionnistes en classe, a été
révoqué de l'Education nationale et sa
peine s'est vue aggravée en deuxième
instance.
" Vincent
Reynouard, directeur du VHO, vient de subir une
nouvelle perquisition et une saisie de ses avoirs
bancaires.
La perversité
du système fait qu'il n'est pas toujours
nécessaire de mettre les révisionnistes
en prison pour les museler : il suffit dans un premier
temps de les priver d'emploi, ensuite de leur
supprimer tout moyen de travail en saisissant
documentation et ordinateur, pour finir par les jeter
à la rue, et dire ensuite que ces gens sont des
" antidémocrates ", ce qui est sans doute le
pire des crimes possibles. Car le vrai drame, c'est
qu'il y a des centaines de milliers d'Européens
de souche qui subissent le même sort, sans avoir
rien fait pour combattre le système inhumain
mis en place par les Juifs et leurs valets
francs-maçons depuis la Révolution
française, par le simple fait qu'ils sont
déclarés inaptes économiquement
selon les critères politiques dominants. Alors,
quant à ceux qui s'avisent de
résister
/
Quelles
nouvelles de Jürgen Graf
?
(suite)
Le président de
V&J figure en bonne place dans la liste de ceux
contraints à vivre dans la clandestinité
ou en exil. Citons pour mémoire le Suisse
Andreas Studer, en exil au Portugal, ou l'Autrichien
Wolfgang Fr?hlich, obligé de vivre
clandestinement, car menacé dans sa vie pour
avoir osé témoigner en faveur de
Jürgen Graf à son procès.
Grâce à ses amis, Jürgen Graf a pu
éviter la prison jusqu'à maintenant.
Mieux encore, il peut toujours poursuivre ses
recherches, contribuant ainsi à l'essor du
révisionnisme. N'oublions pas que Jürgen
Graf fait l'objet d'un mandat d'arrêt
international lancé par les autorités
judiciaires de la Confédération
helvétique, à la fois parce qu'il
devrait purger une peine de 15 mois de prison, mais
aussi parce qu'on lui reproche d'avoir à
nouveau enfreint la loi-muselière. /
Naissance
d'une religion
On sait depuis les
travaux du professeur Faurisson que la thèse de
l " Holocauste " est insoutenable du point de vue de
la science historique. Pour esquiver tout débat
contradictoire, on a invoqué un " devoir de
mémoire ", affirmant avec aplomb que l' "
Holocauste " est du domaine de l'indicible. Les
lois-muselières ne défendent pas un
événement historique fondé sur
des faits scientifiquement établis, mais une
fiction résultant d'une collusion
d'intérêts. L'exemple récent de
l'imposteur suisse Wilkomirsky montre comment il est
possible d'inventer une histoire suffisamment
crédible pour se faire reconnaître comme
tel par les prétendus " survivants de
l'Holocauste ". Le truc n'est même pas nouveau :
Martin Gray, auteur du best-seller Au nom de tous les
miens, avait déjà exploité le
filon il y a une vingtaine d'année grâce
à la complicité du Juif Max Gallo. Cette
" mémoire ", protégée par la loi
tel un brevet d'invention, a permis de mettre en place
une " industrie de l'Holocauste ", dont le
mécanisme a été parfaitement
analysé et décrit par Norman
Finkelstein. Mais voici que l'on s'est avisé
qu'en sacralisant ce juteux business, on
l'élèverait au rang suprême d'une
religion. A ce niveau-là, on ne s'ennuie plus
avec des expertises, des preuves et des
témoignages, vrais ou faux : il y a le dogme,
et il y a les hérésies. On veut ainsi
assimiler le révisionnisme à une
hérésie blasphématoire, autre
truc déjà utilisé il y a
près de 2000 ans contre le Galiléen,
lequel avait déjà eu la mauvaise
idée de dénoncer les petites affaires
des marchands du Temple. Ceci explique pourquoi le
Consistoire juif de France a introduit le 2 mai 2001
un Rituel de la Shoah, en trois parties : d'abord une
prière pour la Shoah, ensuite une
évocation historique retraçant les
tribulations des Juifs de 1933 à 1945, enfin la
lecture d'extraits de textes des inévitables "
grands témoins ", tels Elie Wiesel, Primo Levi
ou Anne Frank. Voilà comment on bétonne
l'histoire de notre époque pour mieux
construire les nouveaux goulags. L'avenir nous dira ce
que vaut cette méthode, - une couche de
religion venant renforcer une couche de lois, -
inspirée, semble-t-il, par la technique
utilisée pour construire le sarcophage de la
centrale nucléaire de Tchernobyl
/
L'Assemblée
générale de V&J
L'Assemblée
générale annuelle de V&J s'est tenue
en présence d'une trentaine de personnes le
dimanche 6 mai 2001 à Yverdon. Le Comité
directeur de l'Association est toujours composé
de Jürgen Graf, président, excusé
pour cause de force majeure, Philippe Brennenstuhl,
vice-président, et René-Louis Berclaz,
secrétaire général. Le
Comité a présenté le bilan de
l'année écoulée, axée
principalement sur l'organisation de la
conférence de Beyrouth. L'Assemblée a
été informée que les membres du
Comité font tous l'objet de poursuites
pénales, en particulier pour avoir
publié Le Contre-Rapport Bergier et Le
Procès Amaudruz. En droit suisse, le
délit d'association de malfaiteurs n'existant
pas, les membres de V&J ne sauraient être
concernés par d'éventuelles
inculpations. L'Assemblée a
décidé à l'unanimité de
doubler le montant de la cotisation annuelle, qui
passera ainsi de dix à vingt francs suisses.
Merci à tous ceux qui ont déjà
payé leur cotisation, de même qu'à
ceux qui le feront prochainement. Vu les frais de
port, il ne sera envoyé aucun rappel. Il faut
être conscient que le montant de la cotisation
est juste suffisant pour payer nos frais de courrier :
pour ceux qui le peuvent, merci de penser à
arrondir leur cotisation, les dons en espèces
ou autres contributions en nature, (en particulier du
matériel informatique et bureautique),
étant toujours les bienvenus. /