Parlant de la
propagande politique, Nahum Goldmann, ancien
président du Congrès juif mondial (Nahum
Goldmann, le paradoxe juif, Stock, 1976, page 80)
reprenait à son compte la déclaration du
président Lincoln : " On peut tromper tout le
monde pendant un certain temps, on peut tromper tout
le temps une partie du monde, mais on ne peut pas
tromper tout le monde tout le temps. " Et Nahum
Goldmann de conclure : " Voilà qui devrait
faire réfléchir nos spécialistes
de la propagande
" Les spécialistes ont
bien réfléchi, pour préconiser
finalement la mise en place de lois-muselières
comme " solution finale " à la question des
chambres à gaz et clore ainsi tout débat
sur l'" Holocauste ". L'échec de cette
propagande est magistralement illustré par le
remplacement du slogan fameux de Mai 68 " il est
interdit d'interdire " par une variante au raccourci
saisissant, " il est interdit de dire ". Dès
lors, le mythe de l'" Holocauste ", devenu obligatoire
par la force de lois scélérates, devait
subir une mutation autant monstrueuse que lucrative,
comme nous l'explique Norman Finkelstein dans son
ouvrage iconoclaste L'industrie de l'Holocauste.
L'erreur, après les révélations
de Finkelstein, serait de ne voir dans les profiteurs
du mythe de l'" Holocauste " que les seuls "
survivants " de l'" Holocauste " et leurs " souteneurs
" patentés. En fait, l'industrie de l'"
Holocauste " s'apparente maintenant davantage à
la traditionnelle assiette au beurre, avec " arrosage
" de " liquide " à la clé. Dès
lors, tous ceux qui comptent dans nos
républiques bananières se retrouvent "
mouillés " jusqu'à l'os, avec comme
conséquence l'" omerta " sur tout ce qui touche
au révisionnisme. En brisant un pan du mur du
silence, Finkelstein fait brutalement déchoir
l'" Holocauste " de son piédestal mythique pour
le montrer tel qu'il est : une " affaire " de plus,
mais une affaire d'une ampleur sans
précédent, dont la chute risque bien
cette fois de faire tomber le système tout
entier. Affaire à suivre donc, et à
pousser surtout
Quelles
nouvelles de Jürgen Graf
?
(suite)
Après avoir exploré des archives en
Pologne, en Ukraine et en Russie, le président
de V&J a transité par la Turquie avant
d'arriver en Iran, où il se trouve
actuellement. Il faut savoir qu'à part quelques
pays européens sous influence, personne n'est
obligé ailleurs dans le monde de croire
à l'" Holocauste " sous peine de finir en
prison. Les lois-muselières ont
révélé hors d'Europe l'hypocrisie
des donneurs de leçons en matière de "
Droits de l'homme " et de liberté d'expression,
alors que ces mêmes donneurs de leçons
font taire chez eux les opinions dissidentes. C'est
pourquoi Jürgen Graf ne manque pas d'informer le
plus largement possible les médias et les
milieux concernés des pays qu'il visite afin de
les éclairer : il ne faut plus voir dans
certains pays européens des modèles
à suivre en matière de libertés
publiques, mais bien au contraire des exemples
à éviter. Les peuples européens
devront se libérer par leurs propres moyens de
l'oppression d'un mondialisme totalitaire, ce qui
n'empêche pas de cultiver hors de l'Europe les
sympathies de ceux qui partagent les mêmes
problèmes face aux mêmes ennemis.
Quelles
nouvelles de Vérité & Justice
?
Nous avons pu éprouver dernièrement
l'action particulièrement insidieuse de la
répression qui a cours en Suisse. La
répression frappe aussi bien ouvertement, avec
deux perquisitions récentes au siège de
V&J pour séquestrer deux de nos
publications, à savoir Le Contre-Rapport
Bergier et Le Procès Amaudruz,
qu'indirectement, avec des mesures discriminatoires
contre ceux qui expriment des opinions politiquement
incorrectes. En effet, dans une circulaire
envoyée au mois d'août, l'Union patronale
suisse invite ses membres à licencier toute
personne soupçonnée d'appartenir
à la droite dite " extrême ". Cette
directive ne fait que confirmer une pratique
déjà largement répandue aussi
bien dans le secteur privé que dans la fonction
publique. Il est évident que ces mesures
renforcent sournoisement la panoplie répressive
utilisée par la police de la pensée pour
intimider les résistants à la dictature
démocratique, car elles privent les personnes
visées du droit de travailler. Il est encore
plus évident que V&J va
persévérer dans son combat en faveur de
la Justice et de la Vérité.
Stupéfiantes
révélations sur le massacre de l'Ordre
du Temple solaire
La tragédie de l'OTS reste encore bien
présente dans les mémoires. Des familles
de victimes éprouvent un sentiment de
révolte face aux maigres explications de la
Justice. C'est pourquoi des avocats de ces familles,
assistés d'enquêteurs privés, ont
porté cette affaire devant la Cour
européenne des droits de l'homme de Strasbourg.
Il ressort de ce dossier que le prétendu
suicide collectif de 72 personnes membres de l'OTS
(Suisse/Canada octobre 94 ; France, Vercors,
décembre 95) était en fait
organisé et mis en uvre par des
fonctionnaires de la République
française et plus particulièrement par
des agents de la Direction générale des
Services extérieurs (DGSE, ex-SDECE, plus
précisément la Division Action de la
DGSE, active à l'étranger, comme le
confirme Pierre Marion, ancien patron de la DGSE dans
son livre La Mission impossible, Calmann-Lévy,
1991) Avant la chute de l'Empire soviétique,
les services secrets des pays occidentaux favorisaient
le développement de certaines sectes
para-maçonniques (OTS, ORT, AMORC, etc
),
téléguidées par des loges
maçonniques (Pierre Marion admet son
appartenance à la maçonnerie), pour les
utiliser à des fins de basse politique
(corruption, trafic d'influence, trafic de drogue,
trafic d'armes, blanchiment d'argent sale, financement
occulte des partis). Il arrive que les responsables de
ces sectes deviennent incontrôlables (Di Mambro,
formé en Israël, était atteint d'un
cancer en phase terminale et avait
détourné d'énormes sommes dont
des traces ont été retrouvées en
Australie). L'assassinat des 72 membres de l'OTS est
la conséquence des détournements commis
par les chefs de l'OTS, une opération à
prendre aussi comme un avertissement adressé
aux membres d'autres sectes maçonniques
impliqués dans les nombreuses " affaires " qui
font la une des journaux (financement des partis,
affaire ELF, etc
). N'oublions pas l'implication
du trafiquant de drogue franc-maçon Charles
Pasqua (accessoirement ministre RPR de
l'Intérieur) dans cette affaire, qui avait
fourni de faux passeports à des membres de
l'OTS. A Cheiry, dans le canton de Fribourg, lieu du
massacre de 23 adeptes, le système de mise
à feu fut perturbé par une panne
d'électricité totalement
imprévisible survenue dans tout le village.
Conséquence : un incendie avorté et de
nombreux indices compromettants intacts. C'est alors
que le juge franc-maçon André Piller, en
charge de cette affaire, décidera de
brûler ces indices, sous le prétexte
grotesque que ces vestiges auraient pu servir à
un culte morbide ! Quand on connaît le soin que
prennent les enquêteurs à recueillir et
à conserver le moindre élément de
preuve, on reste stupéfait devant ce manquement
aux règles les plus élémentaires
de la criminologie. Depuis, juges et policiers du
canton de Fribourg vivent dans la peur que cette
affaire sorte au grand jour. Selon L'Hebdo du 16
novembre 2000, " C'est le régime de la terreur
" et c'est surtout à l'Office des juges
d'instruction que le malaise et la crainte sont les
plus profonds. La grave crise que traverse la Justice
du canton de Fribourg est unique dans les annales de
la Suisse, où l'on sait d'habitude dans ce
milieu-là laver son linge sale en famille. Afin
de donner le change, on livre en pâture aux
journalistes des " peccadilles " (affaires de
murs, prostitution) afin de masquer la vraie
nature du mal. L'opinion publique s'étonne de
voir l'énormité des effets (inculpations
de policiers et de juges trop bavards) par rapport
à l'insignifiance des causes. Quand cette
même opinion publique découvrira la
vérité, elle comprendra mieux pourquoi
François Gross, autre franc-maçon
notoire et ancien rédacteur en chef du
quotidien La Liberté de Fribourg pouvait se
permettre d'écrire : " Ne dites pas à ma
mère que je suis juge à Fribourg, elle
me croit pianiste dans un bordel ". (L'Hebdo du 16
novembre 2000). Et dire que ces gens-là sont
chargés d'appliquer la loi !
Le
procès Amaudruz
(suite)
Lundi noir à la Bourse de " l'industrie de
l'Holocauste ". Suite à un jugement de la Cour
de cassation pénale du Tribunal cantonal
vaudois rendu le 20 novembre dernier, le cours des
actions s'est effondré de manière
catastrophique, la valeur des indemnités pour
tort moral allouées en première instance
aux " victimes " ayant chuté de 1 000 à
1 franc (le franc symbolique), et les dépens
accordés aux avocats des parties civiles
réduits globalement de 53 000 à 6 500
francs. De même, la peine d'un an
d'emprisonnement est réduite à 3 mois,
mais elle reste ferme. La Cour a cru utile de
préciser que la loi ne sanctionne pas le
délit d'opinion, mais seulement le "
délit d'expression d'une opinion ". " Ce sont
d'horribles hypocrites ! ", commenta un ami. "
Pourtant, ce sont des juges ! ", répliqua un
autre. Et le premier de conclure : " C'est bien ce que
je dis, j'emploie seulement un terme plus
mesuré que vous ! "
La
Conférence internationale de
Vérité & Justice
Les récents événements de la
scène du Proche-Orient ainsi que les embarras
causés par les perquisitions nous obligent
à remettre la conférence internationale
à une date ultérieure. Celle-ci aura
finalement lieu les 21, 22 et 23 janvier 2001, dans
une grande capitale extra-européenne. Cette
conférence est très importante pour la
cause du révisionnisme à
l'échelle internationale.
La "
nouvelle " du Millénaire !
Nous remercions très chaleureusement de leur
soutien tous les amis de V&J et profitons du
dernier Bulletin du Millénaire pour inviter au
paiement de la cotisation 2001. Pour ceux qui le
peuvent, merci de nous donner les moyens de poursuivre
notre action en nous apportant périodiquement
un soutien financier supplémentaire. N'en
doutons pas, le nouveau Millénaire qui
commencera le 1er janvier prochain sera celui du
Révisionnisme, même s'il faut travailler
999 ans pour y arriver !
Association Vérité &
Justice
CCP 17 - 658980 - 4
Nous sommes
en mesure de vous
proposer
deux
livres inédits:
F.
Trocase,
L'Autriche
juive, paru en 1899,
403 pages. Cet ouvrage
analyse jusque dans les moindres détails les
causes de la chute de l'Empire Austro-Hongrois, avec
comme conséquence les bouleversements qui
devaient affecter l'Europe du XXe siècle,
jusqu'à la crise actuelle des Balkans. Il
permet de comprendre aussi pourquoi Hitler ne pouvait
naître qu'en Autriche
Prix pour la Suisse, franco de port,
Frs 40,--
Norman
Finkelstein,
L'industrie de
l'Holocauste.
traduction française, 2000, 160 pages.
Ce livre scandalisa l'Amérique du politiquement
correct et fut vomi par le lobby juif. Pour cette
seule raison, mais il y en a bien d'autres, il faut le
lire toutes affaires cessantes !
Prix pour la Suisse, franco de port,
Frs 40,--
Le livre
offert en souscription, le
Juif international, paraîtra
en février 2001, après la
conférence.
Flagrant
délit de manipulation médiatique
!
" 24 Heures ", le plus grand quotidien de Suisse
romande, se doit, pour justifier sa vocation de
journal " neutre " d'information, de publier les
opinions de ses lecteurs. Ce qui fut fait avec la
lettre reproduite ici. Toutefois, le lieu
mentionné, Lavigny, comme étant celui du
siège de V&J, est faux. Le siège de
V&J est toujours à
Châtel-Saint-Denis, dans le canton de Fribourg.
Les lecteurs intéressés par V&J sont
ainsi induits en erreur et auront de la peine à
nous trouver