No hate. No violence. Races? Only one Human race. United We Stand, Divided We Fall. Know Your enemy. Act Now! Tomorrow it will be too late.



Bulletin d’information
de l´Association Vérité et Justice, CP 355, 1618, Châtel-Saint-Denis, Suisse, Rédacteur : René-Louis Berclaz
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Le Contre Rapport Bergier
Anatomie d'une falsification de l'Histoire

Le Rapport Bergier
vu par la presse écrite
René-Louis Berclaz
Cette revue de presse est limitée aux journaux parus le samedi 11 décembre 1999 : radio et télévision n’ont certes pas manqué de commenter le rapport Bergier, mais il eut été trop aléatoire de rapporter tout ce qui s’est dit à ce sujet, sans compter la difficulté de rendre compte fidèlement des propos tenus si l’on ne dispose pas d’enregistrements.

En général, les médias fonctionnent comme un projecteur dans l’obscurité: n’est éclairé que ce que l’on veut bien montrer. En principe, la lecture des médias, s’ils sont d’opinions différentes, permet de mieux approcher la réalité. Par exemple, si un projecteur illumine le pied du Cervin, on verra qu’il s’agit là d’une montagne, mais sans pouvoir la situer; si un autre projecteur se braque sur le sommet, on devinera qu’il y a là un lieu élevé. Mais pour identifier avec certitude le site en question, il faudra que plusieurs projecteurs éclairent l’ensemble de la montagne pour qu’une image plus complète s’en dégage. Remarquons que cette métaphore s’applique également au rapport Bergier lui-même. Cette manière unilatérale de présenter les choses est caractéristique du règne de la pensée unique, laquelle veut réduire la réalité à une vision dirigée, voire même obligée, en supprimant tout fait susceptible de troubler l’image ainsi imposée à l’opinion publique.

C’est ainsi que la presse suisse, mis à part quelques légères fausses notes vite étouffées, a chanté d’une seule voix les louanges du rapport Bergier, se joignant ainsi au chœur des flagellants de la grande presse étrangère dans l’interprétation d’une partition écrite de longue date par les Maîtres chanteurs du Mur des lamentations.

 

Commençons par la presse française, avec Le Monde qui titre : «Un nouveau rapport stigmatise la Suisse pour le refoulement des réfugiés juifs». Ce rapport analyse «sans complaisance» l’attitude de la Suisse officielle à l’égard des réfugiés, en particulier juifs. «Il apporte un éclairage cru sur l’un des aspects les plus troubles de cette période et marque une étape importante dans l’examen de conscience de la Suisse envers son propre passé», écrit encore Le Monde. Quant au Figaro, il note que le rapport Bergier, publié quelques jours après celui de la Commission Volcker sur les fonds en déshérence, «vient renforcer l’image d’une Suisse officielle et de la finance prête à s’accommoder de la politique du Reich pour souvent en tirer bénéfice». A Londres, le Financial Times prévoit que la Suisse sera à nouveau confrontée aux pressions des survivants juifs victimes des persécutions nazies. Le rapport Bergier étant officiel, le journal économique considère que le gouvernement suisse sera sans doute obligé de dédommager les rescapés juifs. En Allemagne, la Frankfurter Allgemeine Zeitung mentionne une «politique suisse des réfugiés peu glorieuse». Alors même que les banques suisses ont été blanchies par le rapport Volcker de l’accusation de s’être approprié systématiquement l’argent des victimes juives, en comparaison, le comportement des autorités suisses frappe plus durement encore. Pour la Suddeutsche Zeitung, le rapport est considéré davantage comme un «état des lieux» que comme une «révélation». En Autriche, le Kurier parle de découvertes désagréables et s’attend à de vives discussions.

Sur l’autre rive de l’Atlantique, le New York Times a publié un article sous le titre : «Un rapport d’historiens critique la Suisse pour le refoulement de Juifs durant la guerre», mais cite la remarque du Conseil fédéral selon laquelle le rapport Bergier ne tient pas suffisamment compte du contexte international de l’époque. Par ailleurs, selon le sous-secrétaire d’Etat américain Stuart Eizenstat, le rapport Bergier peut servir d’exemple à d’autres pays.

Du côté de la Terre promise, si la presse israélienne n’a que peu évoqué la publication du rapport Bergier, Israel Singer, secrétaire général du Congrès juif mondial, n’a pas oublié de plastronner : «La Suisse fait enfin l’apprentissage de l’autocritique». Avec ce document, elle a fait montre d’une «parcelle d’honnêteté» dont d’autres pays sont incapables, a-t-il encore confié au Sonntagsblick. L’engagement de la Suisse à faire toute la lumière sur son passé a été notamment salué par les autorités de l’Etat hébreu. «La volonté de faire émerger la vérité est tout à l’honneur de la Suisse», a déclaré Amira Dotan, porte-parole du Ministère israélien des Affaires étrangères. Noah Flug, secrétaire général des Organisations de survivants de l’Holocauste, a aussi loué «les efforts des autorités suisses pour traquer la vérité, même si elle fait mal».

Enfin, la presse suisse n’a pas été en reste dans ses commentaires. Pour les journaux de boulevard, Le Matin de Lausanne titre «Un rapport sévère, mais salutaire», souhaitant même «la remise à jour de nos livres d’histoire», alors que le Blick entonne le même refrain, avec un titre hautement pédagogique : «Cela ne doit plus jamais se reproduire !», et de raconter l’histoire forcément tragique de trois réfugiés refoulés. Large écho dans Le Temps, qui titre «Notre histoire, notre faute» : «Il n’y a pas de vérité relative ou absolue. Il y a les faits et ils nous font un choc au ventre», se lamente avec complaisance l’éditorialiste, qui apprécie comme il se doit «les paroles de contrition, d’excuses et de recueillement» du Conseil fédéral. La Tribune de Genève met l’accent sur la Suisse contemporaine : critiquer la génération de la Mob est «hypocrite» si on ne fait pas mieux aujourd’hui. L’éditorialiste dénonce l’actuelle loi sur l’asile pour conclure : «Au fond, on serait enclin à trouver plus d’excuses au Conseil fédéral des années quarante qu’au peuple des années nonante». La Berner Zeitung pour sa part s’inquiète de l’antisémitisme «qui n’est pas une relique du passé, mais qui sévit dans les cours d’école». Parlant de «honte», le Tages Anzeiger voudrait honorer la mémoire des victimes juives de l’époque. A son avis, le Conseil fédéral s’est contenté d’un «service minimum», et il affaiblit ses excuses en le truffant de critiques et de justifications déplacées, ce qui est une nouvelle honte, selon le très masochiste quotidien zurichois. Ces critiques du Conseil fédéral, la Neue Luzerner Zeitung les reprend pour elle : les historiens de la Commission Bergier n’ont pas assez tenu compte des circonstances dramatiques de l’époque, ajoutant même que le Conseil fédéral a bien fait de ne pas présenter de nouvelles excuses, ce qui aurait «attisé inutilement un antisémitisme toujours présent». Plus habilement, la Neue Zürcher Zeitung titre «Une chance manquée». Non pas la chance qu’auraient eue les Juifs de pouvoir se réfugier en Suisse en 1942, mais bien la chance manquée d’influencer durablement la mentalité suisse avec un rapport qui offre trop de prises à la critique et qui risque de faire effet contraire, car «on ne peut pas écrire l’histoire avec des textes votés à la majorité». Reste deux irréductibles autant que lucides quotidiens romands : Le Nouvelliste de Sion, parle sans ambages «d’autoflagellation proclamée», et L’Express de Neuchâtel affirme sans complexe qu’il ne lira jamais ce «galimatias», ce «brouet un peu écœurant» qui veut «enfoncer jusqu’au trognon dans le cerveau du bon peuple la conviction que la Suisse, sans être complice de l’Allemagne nazie, en a cependant été la supplétive zélée». Parlant «d’introspections censément purificatrices», L’Express voit dans ce rapport une manœuvre des «nouveaux procureurs» qui souhaitent une politique d’asile plus tolérante encore, et qui font tout pour «ébrécher, si ce n’est dynamiter le socle des valeurs traditionnelles de la Suisse».

Pour terminer, l’article paru dans la Jüdische Rundschau du 2 décembre 1999, c’est-à-dire antérieur à la publication du rapport Bergier, laisse entrevoir qui tire les ficelles et comment se préparent dans les coulisses les événements à venir, ainsi que la manière dont ils seront «servis» au «souverain» par les médias empressés.

On y apprend sans détour comment un conseiller fédéral reçoit les instructions de ses deux «parrains», les inévitables autant qu’omnipotents MM. Bloch et Feigel. Ainsi, Rolf Bloch, président des Communautés israélites de Suisse dit avoir déclaré à Joseph Deiss : «Je l’ai encouragé à accepter les résultats de l’enquête juridico-historique sur l’activité de ses prédécesseurs du temps des années du régime nazi et à les désavouer.» Quand le bon Joseph s’inquiète de savoir ce qu’il faut faire maintenant pour réparer les «crimes» de nos ancêtres, les compères juifs se font soudain magnanimes : il ne s’agit plus d’obtenir de l’argent, mais seulement de mettre sur pied des programmes éducatifs pour grands et petits afin de combattre efficacement le racisme, l’antisémitisme et la xénophobie. En clair, cela veut dire renforcer la répression contre les patriotes, restreindre encore davantage les libertés d’opinion et d’expression et intensifier la propagande en faveur de la nouvelle religion «holocaustique». On comprend mieux maintenant le sens des propos de certains éditoriaux qui viennent d’être cités.

Ainsi se répète l’histoire des trompettes de Jéricho. Le progrès, ici, est que les trompettes sont à la fois intra et extra-muros. Une débauche sonore presque inutile, puisque, avec nos politiciens et nos magistrats, même suprêmes, un simple coup de sonnette suffit, celui qui fait accourir les domestiques.

Mais qui pourrait conclure mieux que David Ben Gourion, ancien premier ministre israélien, quand il déclare : «Peu importe ce que dira le monde. Ce qui compte, c’est ce que feront les Juifs !» 1.

 


1 Yann Moncomble, Les vrais responsables de la troisième guerre mondiale, Faits et Documents, 1982, page 274




Le Contre Rapport Bergier

1.

Introduction

2.

Le nombre des réfugiés juifs refoulés et leur destin

3.

La Suisse avait-elle connaissance, en 1942, d’une extermination des Juifs ?

4.

Que savait-on à l’étranger?

5.

Le silence des historiens

 

Ce que cache le rapport Bergier - Philippe Brennenstuhl

6.

NOTES




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En Suisse: la "Judéocratie" remplacera-t-elle la démocratie?

Israël rééduque la Suisse !

Une parodie juive en Suisse!_

Une parodie juive au scanaire


La Suisse occupée !

La Suisse existe-t-elle?-

La Suisse et les "fonds juifs"


Louis Farrakhan
Benjamin Franklin
Luther


( "Les negociations de paix" au Moyen Orient! )
Enfin, maintenant nous avons trouvé un negociateur
Palestinien acceptable pour Israel. Commencons a negocier.



"Les negociations de ` paix ´" au Moyen Orient!


 





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