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QUAND LA VERITE N’EST PAS LIBRE, LA LIBERTE N’EST PAS VRAIE

Bulletin d’information
de l´Association Vérité et Justice, CP 355, 1618, Châtel-Saint-Denis, Suisse, Rédacteur : René-Louis Berclaz
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Le Contre Rapport Bergier
Anatomie d'une falsification de l'Histoire

"L’Histoire comporte des témoignages, des principes et des méthodes. Il faut se défier des témoignages, douter des principes et n’accepter que les méthodes." Gustave Le Bon, 1918

 

La Suisse et les réfugiés juifs:
ce que nous cache le Rapport Bergier

 Philippe Brennenstuhl

A la lecture du rapport Bergier, le citoyen suisse pourra s’apercevoir que la sortie de cette publication est la suite logique de l’opération de déstabilisation nationale initiée par l’introduction de la loi muselière (art. 261bis du Code pénal), verrouillage obligé de l’affaire dite des fonds en déshérence. Les acteurs de cette entreprise de déstabilisation sont issus des milieux sionistes et maçonniques qui, de la gauche à la droite, sont largement influents dans la politique, les médias et la justice. A la lumière de ce rapport, on comprend mieux aujourd’hui le guet-apens judiciaire dans lequel sont tombés les révisionnistes condamnés à de fortes amendes et à de lourdes peines de prison.

Dans le rapport Bergier, les historiens de la Commission «indépendante» cachent le fait qu’une partie des réfugiés juifs qui se présentaient à nos frontières, avant et pendant la Deuxième guerre mondiale‚ étaient des activistes extrémistes de gauche, c’est-à-dire les héritiers idéologiques directs de la sanglante révolution russe bolchévique de 1917. Le passage sous silence de ce fait est un mensonge par omission. Une des raisons principales de l’antisémitisme en Europe à l’époque du national-socialisme est ainsi occultée.

Il faut se rappeler qu’en Russie, dès octobre 1917, la révolution bolchévique battait son plein avec ses millions de gens affamés et massacrés, soi-disant au nom du prolétariat. Nous savons maintenant que cette révolution a été en réalité une opération de prise du pouvoir par un groupe de Juifs internationalement organisés, mieux connus sous le nom de bolchéviques, preuve en est l’organigramme du premier gouvernement soviétique de 1918, la plupart des dirigeants ayant même changé leur nom pour paraître slave (annexe I).

On pourrait aller plus loin en étudiant les canaux judéo-bancaires européens et américains qui ont «sponsorisé» cette révolution diabolique. Mais c’est un autre sujet. Toujours est-il que la terreur rouge étoilée (l’étoile étant le haut symbole de la domination judéo-maçonnique) avait embrasé toute la Russie et essayait, par ses réseaux tentaculaires, de gangrener une Europe affaiblie politiquement et militairement par la Première Guerre mondiale.

Dès lors, on s’aperçoit que les artifices verbaux dont se sert abusivement et pompeusement la Commission Bergier, tels que: «Le plus souvent tacite (l’antisémitisme), tabou ancré dans les structures mentales et sociales, a entraîné une marginalisation de la petite minorité juive de Suisse sur les plans économique, politique et social» (page 276), ne servent qu’à camoufler les vraies raisons qui ont incité le Conseil fédéral à prendre des mesures draconiennes de sécurité intérieure en refusant l’entrée de notre territoire à des agitateurs potentiels.

Il est aussi évident qu’Adolf Hitler, dans sa guerre préventive contre la Russie communiste, n’aurait pas accepté un nid d’activistes bolchéviques au centre de l’Europe, ce qui aurait grandement mis en danger notre intégrité territoriale et notre paix civile. Il faut ne pas oublier qu’à cette époque aussi chez nous régnaient des passions et des tensions politiques. Preuve en est la fusillade du 19 novembre 1932 à Genève où il y eut 13 morts et 65 blessés chez les communistes de Léon Nicole, sans parler des défilés nationaux en Suisse romande du mouvement national de Georges Oltramare et des frontistes de Suisse allemande.

En toute connaissance de cause, notre gouvernement a limité volontairement l’entrée des Juifs afin de sauvegarder les intérêts du peuple tout en évitant la montée de l’antisémitisme. Dans ce but, il s’est servi d’arguments tels que la lutte contre «la surpopulation étrangère (Überfremdung)» (page 17). Grâce à la clairvoyance politique du Conseil fédéral d’alors, notre peuple est sorti indemne de la tourmente. Toute autre considération sentimentale ou raciale n’est qu’une tentative d’actualiser l’histoire de la Deuxième guerre mondiale à des fins politiques partisanes.

En conclusion, le rapport Bergier n’a comme seul but que de culpabiliser l’esprit patriotique ancestral de notre peuple pour le fondre définitivement dans le moule de la mondialisation, dont les Etats-Unis et ses relais judéo-maçonniques sont les instigateurs. Car aujourd’hui, avec plus de succès que hier, des membres de cette minorité tentent de nous refaire le coup de 1917, mais cette fois-ci du côté de Washington et de Wall Street. Par l’emprise d’un capitalisme sauvage et apatride, ce lobby s’est approprié tous les leviers économiques, politiques et militaires de la surpuissante Amérique. La liste des ministres et hauts fonctionnaires juifs du gouvernement Clinton en témoigne (annexe II). Pour nous autres, Suisses, le passage prétendument obligé sous la domination de l’étoile jaune du drapeau européen, est déjà lourd de conséquences. Pour notre futur, sans une prise de conscience radicale, le pire est à craindre.

Annexe I :

Liste du premier gouvernement soviétique de 1918 (1)

 

Lénine président du gouvernement soviétique (Vladimir Ilitch Oulianov). Sa mère, née Blank, est une juive allemande (2).

 

Trotski commissaire national aux Affaires étrangères, aux Affaires militaires et maritimes, président du Conseil révolutionnaire militaire de la République (Lev Davidovitch Bronstein); Juif.

 

Staline commissaire national aux Affaires des minorités (Joseph Vissarionovitch Djugashvili); Géorgien (3).

 

Tchitcherine adjoint du commissaire national aux Affaires étrangères (Georges Vassilevitch de Tchicherine); Russe.

 

Zinoviev président du Comité exécutif du Komintern (Grigori Ievseïevitch Apfelbaum); Juif.

 

Wolodarski commissaire national à l’Information (Cohen); Juif.

 

Kaufman commissaire national à la Collectivisation des terres; Juif.

 

Steinberg commissaire national à la Justice; Juif.

 

Schmidt commissaire national à l’Emploi; Juif.

 

Liliana commissaire nationale aux Approvisionnements (Knigkisen); Juive.

 

Pfenistein commissaire national aux Migrations; Juif.

 

Wostanolenin commissaire national à l’Habitat (Schlichter); Juif.

 

Larin président du Conseil économique suprême (Lurie); Juif.

 

Kukorski commissaire national à l’Economie, (Kukor): Juif.

 

Spitzberg commissaire national aux Affaires culturelles; Juif.

 

Radomilski commissaire national aux Elections (Uritzky); Juif.

 

Lunatarski commissaire national à l’Instruction publique; Russe.

 

Simasko commissaire national à la Santé publique; Juif.

 

Protzian commissaire national à l’Agriculture; Arménien.

Sur 543 dirigeants soviétiques en 1921, il y avait 447 Juifs (4).


1 Romanescu, Traian : «La gran Conspiración judiá», Mexico City, 1956, pages 159-160.

2 Est Juif celui qui a une mère Juive.

3 Staline aurait été Juif selon Romanescu, ce qui est contesté par d’autres sources.

4 Begunow, Juri : «Tajnye sily w istorii Rossii», Isdatelstwo Imeni A.S. Syborina, St-Petersburg, 1996, pages 222-223.


Annexe II :

Ministres et hauts fonctionnaires juifs du gouvernement Clinton (1)

 

Madeleine Albright   ministre des Affaires étrangères

 

Robert Rubin ministre des Finances

 

William Cohen ministre de la Défense nationale

 

Alan Greenspan président de la Banque centrale

 

Dan Glickmann ministre de l’Agriculture

 

George Tenet directeur de la C.I.A.

 

Samuel Berger président du Conseil national de sécurité

 

Evelyn Lieberman directrice de la radio «Voix de l’Amérique»

 

Stuart Eizenstat secrétaire d’Etat aux Affaires européennes

 

Charlene Barshefsky   déléguée au commerce

 

Susan Thomases   chef du bureau de Hillary Clinton

 

Gene Sperling président du Conseil économique

 

Ira Magaziner directrice nationale de la Santé publique et des Affaires sociales

 

Peter Tarnoff   vice-ministre des Affaires étrangères

 

Alice Rivlin membre du Conseil économique

 

Janet Yellen membre du Conseil économique

 

Emanuel Rahm conseiller politique à la présidence

 

Don Sosnik conseiller présidentiel

 

Jim Steinberg vice-président du Conseil national de sécurité

 

Robert Weiner coordinateur de la politique antidrogue

 

Jay Footlik délégué auprès de la Communauté juive américaine

 

Robert Nash directeur des Affaires présidentielles

 

Jane Sherburne avocate à la présidence

 

Mark Penn expert des affaires asiatiques au Conseil national de sécurité

 

Sandy Kristoff directeur national de la Santé publique

 

Robert Boorstine délégué à la communication

 

Keith Boykin délégué à la communication

 

Jeff Eher assistant à la présidence

 

Tom Epstein conseiller en santé publique

 

Judith Feder membre du Conseil national de sécurité

 

Richard Feinberg   2ème président des Anciens combattants

 

Hershel Gober délégué au ministère de la Santé publique

 

Steve Kessler conseiller à la Maison Blanche

 

Ron Klein assistant du ministre de l’Instruction publique

 

Margaret Hamburg directrice du service de presse

 

Karen Alder directrice de cabinet au ministère des Affaires étrangères

 

Samuel Lewis membre du Conseil national de sécurité

 

Stanley Ross membre du Conseil national de sécurité

 

Dan Schifter directeur du Corps de la Paix

 

Eli Segal sous-chef d’état-major de la Maison Blanche

 

Jack Lew sous-directeur au gouvernement

 

James Rubin sous-secrétaire d’Etat

 

David Lipton sous-secrétaire d’Etat au ministère des Finances

 

Lanny Breuer conseiller spécial à la présidence

 

Richard Holbrooke délégué auprès de l’OTAN

 

Kenneth Apfel ministre du Budget

 

Joel Klein conseiller à la Maison Blanche

 

Sydney Blumenthal conseiller spécial de Hillary Clinton

 

David Kessler ministre du Commerce

 

Seth Waxmann directeur général à la Maison Blanche

 

Dennis Ross conseiller spécial

 

Howard Shapiro directeur du F.B.I.

 

Lanny Davis conseiller à la Maison Blanche

 

Sally Katzen   présidente de l’administration fédérale

 

Kathleen Koch directrice du personnel au F.B.I.

 

John Podesta sous-chef d’état-major à la Maison Blanche

 

Alan Blinder   vice-président de la Banque centrale

 

Janet Yellen    conseillère économique à la présidence

(1) The Truth at Last No 404, avril 1998 (PO Box 121, Marietta, GA 30061, USA)




Le Contre Rapport Bergier

1.

Introduction

2.

Le nombre des réfugiés juifs refoulés et leur destin

3.

La Suisse avait-elle connaissance, en 1942, d’une extermination des Juifs ?

4.

Que savait-on à l’étranger?

5.

Le silence des historiens

 

Ce que cache le rapport Bergier - Philippe Brennenstuhl

6.

NOTES




Bulletin d’information
de l´Association Vérité et Justice, CP 355, 1618, Châtel-Saint-Denis, Suisse, Rédacteur : René-Louis Berclaz
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En Suisse: la "Judéocratie" remplacera-t-elle la démocratie?

Israël rééduque la Suisse !

Une parodie juive en Suisse!_

Une parodie juive au scanaire


La Suisse occupée !

La Suisse existe-t-elle?-

La Suisse et les "fonds juifs"

Louis Farrakhan
Benjamin Franklin
Luther


( "Les negociations de paix" au Moyen Orient! )
Enfin, maintenant nous avons trouvé un negociateur
Palestinien acceptable pour Israel. Commencons a negocier.



"Les negociations de ` paix ´" au Moyen Orient!


 





The Jewish USA´s "administration" as "judge" between...
...the Jews
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..the Palestinians


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