"LHistoire
comporte des témoignages, des principes et des
méthodes. Il faut se défier des
témoignages, douter des principes et
naccepter que les méthodes."
Gustave
Le Bon, 1918
La
Suisse et les réfugiés juifs:
ce
que nous cache le Rapport Bergier
Philippe
Brennenstuhl
A la lecture du rapport
Bergier, le citoyen suisse pourra sapercevoir que la
sortie de cette publication est la suite logique de
lopération de déstabilisation nationale
initiée par lintroduction de la loi
muselière (art. 261bis du Code pénal),
verrouillage obligé de laffaire dite des fonds
en déshérence. Les acteurs de cette entreprise
de déstabilisation sont issus des milieux sionistes
et maçonniques qui, de la gauche à la droite,
sont largement influents dans la politique, les
médias et la justice. A la lumière de ce
rapport, on comprend mieux aujourdhui le guet-apens
judiciaire dans lequel sont tombés les
révisionnistes condamnés à de fortes
amendes et à de lourdes peines de prison.
Dans le rapport Bergier, les
historiens de la Commission «indépendante»
cachent le fait quune partie des
réfugiés juifs qui se présentaient
à nos frontières, avant et pendant la
Deuxième guerre mondiale étaient des
activistes extrémistes de gauche,
cest-à-dire les héritiers
idéologiques directs de la sanglante
révolution russe bolchévique de 1917. Le
passage sous silence de ce fait est un mensonge par
omission. Une des raisons principales de
lantisémitisme en Europe à
lépoque du national-socialisme est ainsi
occultée.
Il faut se rappeler
quen Russie, dès octobre 1917, la
révolution bolchévique battait son plein avec
ses millions de gens affamés et massacrés,
soi-disant au nom du prolétariat. Nous savons
maintenant que cette révolution a été
en réalité une opération de prise du
pouvoir par un groupe de Juifs internationalement
organisés, mieux connus sous le nom de
bolchéviques, preuve en est lorganigramme du
premier gouvernement soviétique de 1918, la plupart
des dirigeants ayant même changé leur nom pour
paraître slave (annexe I).
On pourrait aller plus loin
en étudiant les canaux judéo-bancaires
européens et américains qui ont
«sponsorisé» cette révolution
diabolique. Mais cest un autre sujet. Toujours est-il
que la terreur rouge étoilée
(létoile étant le haut symbole de la
domination judéo-maçonnique) avait
embrasé toute la Russie et essayait, par ses
réseaux tentaculaires, de gangrener une Europe
affaiblie politiquement et militairement par la
Première Guerre mondiale.
Dès lors, on
saperçoit que les artifices verbaux dont se
sert abusivement et pompeusement la Commission Bergier, tels
que: «Le plus souvent tacite
(lantisémitisme), tabou ancré dans les
structures mentales et sociales, a entraîné une
marginalisation de la petite minorité juive de Suisse
sur les plans économique, politique et social»
(page 276), ne servent quà camoufler les vraies
raisons qui ont incité le Conseil
fédéral à prendre des mesures
draconiennes de sécurité intérieure en
refusant lentrée de notre territoire à
des agitateurs potentiels.
Il est aussi évident
quAdolf Hitler, dans sa guerre préventive
contre la Russie communiste, naurait pas
accepté un nid dactivistes bolchéviques
au centre de lEurope, ce qui aurait grandement mis en
danger notre intégrité territoriale et notre
paix civile. Il faut ne pas oublier quà cette
époque aussi chez nous régnaient des passions
et des tensions politiques. Preuve en est la fusillade du 19
novembre 1932 à Genève où il y eut 13
morts et 65 blessés chez les communistes de
Léon Nicole, sans parler des défilés
nationaux en Suisse romande du mouvement national de Georges
Oltramare et des frontistes de Suisse allemande.
En toute connaissance de
cause, notre gouvernement a limité volontairement
lentrée des Juifs afin de sauvegarder les
intérêts du peuple tout en évitant la
montée de lantisémitisme. Dans ce but,
il sest servi darguments tels que la lutte
contre «la surpopulation étrangère
(Überfremdung)» (page 17). Grâce à la
clairvoyance politique du Conseil fédéral
dalors, notre peuple est sorti indemne de la
tourmente. Toute autre considération sentimentale ou
raciale nest quune tentative dactualiser
lhistoire de la Deuxième guerre mondiale
à des fins politiques partisanes.
En conclusion, le rapport
Bergier na comme seul but que de culpabiliser
lesprit patriotique ancestral de notre peuple pour le
fondre définitivement dans le moule de la
mondialisation, dont les Etats-Unis et ses relais
judéo-maçonniques sont les instigateurs. Car
aujourdhui, avec plus de succès que hier, des
membres de cette minorité tentent de nous refaire le
coup de 1917, mais cette fois-ci du côté de
Washington et de Wall Street. Par lemprise dun
capitalisme sauvage et apatride, ce lobby sest
approprié tous les leviers économiques,
politiques et militaires de la surpuissante Amérique.
La liste des ministres et hauts fonctionnaires juifs du
gouvernement Clinton en témoigne (annexe II). Pour
nous autres, Suisses, le passage prétendument
obligé sous la domination de létoile
jaune du drapeau européen, est déjà
lourd de conséquences. Pour notre futur, sans une
prise de conscience radicale, le pire est à
craindre.
Annexe I
:
Liste du
premier gouvernement soviétique de 1918
(1)
Lénine
président du gouvernement soviétique
(Vladimir Ilitch Oulianov). Sa mère, née
Blank, est une juive allemande (2).
Trotski
commissaire national aux Affaires
étrangères, aux Affaires militaires et
maritimes, président du Conseil
révolutionnaire militaire de la République
(Lev Davidovitch Bronstein); Juif.
Staline
commissaire national aux Affaires des minorités
(Joseph Vissarionovitch Djugashvili); Géorgien
(3).
Tchitcherine
adjoint du commissaire national aux Affaires
étrangères (Georges Vassilevitch de
Tchicherine); Russe.
Zinoviev
président du Comité exécutif du
Komintern (Grigori Ievseïevitch Apfelbaum);
Juif.
Wolodarski
commissaire national à lInformation (Cohen);
Juif.
Kaufman
commissaire national à la Collectivisation des
terres; Juif.
Steinberg
commissaire national à la Justice;
Juif.
Schmidt
commissaire national à lEmploi;
Juif.
Liliana
commissaire nationale aux Approvisionnements (Knigkisen);
Juive.
Pfenistein
commissaire national aux Migrations; Juif.
Wostanolenin
commissaire national à lHabitat
(Schlichter); Juif.
Larin
président du Conseil économique
suprême (Lurie); Juif.
Kukorski
commissaire national à lEconomie, (Kukor):
Juif.
Spitzberg
commissaire national aux Affaires culturelles;
Juif.
Radomilski
commissaire national aux Elections (Uritzky);
Juif.
Lunatarski
commissaire national à lInstruction
publique; Russe.
Simasko
commissaire national à la Santé publique;
Juif.
Protzian
commissaire national à lAgriculture;
Arménien.
Sur 543
dirigeants soviétiques en 1921, il y avait 447
Juifs (4).
1 Romanescu,
Traian : «La gran Conspiración
judiá», Mexico City, 1956, pages
159-160.
2 Est Juif celui qui a
une mère Juive.
3 Staline aurait
été Juif selon Romanescu, ce qui est
contesté par dautres sources.
4 Begunow, Juri :
«Tajnye sily w istorii Rossii»,
Isdatelstwo Imeni A.S. Syborina, St-Petersburg, 1996,
pages 222-223.
Annexe II
:
Ministres
et hauts fonctionnaires juifs du gouvernement Clinton
(1)
Madeleine
Albright ministre des Affaires
étrangères
Robert
Rubin ministre des Finances
William
Cohen ministre de la Défense
nationale
Alan
Greenspan président de la Banque
centrale
Dan
Glickmann ministre de
lAgriculture
George
Tenet directeur de la C.I.A.
Samuel
Berger président du Conseil national
de sécurité
Evelyn
Lieberman directrice de la radio «Voix
de lAmérique»
Stuart
Eizenstat secrétaire dEtat aux
Affaires européennes
Charlene
Barshefsky
déléguée au commerce
Susan
Thomases chef du bureau de Hillary
Clinton
Gene
Sperling président du Conseil
économique
Ira
Magaziner directrice nationale de la
Santé publique et des Affaires sociales
Peter
Tarnoff vice-ministre des Affaires
étrangères
Alice
Rivlin membre du Conseil
économique
Janet
Yellen membre du Conseil
économique
Emanuel
Rahm conseiller politique à la
présidence
Don
Sosnik conseiller
présidentiel
Jim
Steinberg vice-président du Conseil
national de sécurité
Robert
Weiner coordinateur de la politique
antidrogue
Jay
Footlik délégué
auprès de la Communauté juive
américaine
Robert
Nash directeur des Affaires
présidentielles
Jane
Sherburne avocate à la
présidence
Mark
Penn expert des affaires asiatiques au
Conseil national de sécurité
Sandy
Kristoff directeur national de la
Santé publique
Robert
Boorstine délégué
à la communication
Keith
Boykin délégué à
la communication
Jeff
Eher assistant à la
présidence
Tom
Epstein conseiller en santé
publique
Judith
Feder membre du Conseil national de
sécurité
Richard
Feinberg 2ème président
des Anciens combattants
Hershel
Gober délégué au
ministère de la Santé publique
Steve
Kessler conseiller à la Maison
Blanche
Ron
Klein assistant du ministre de
lInstruction publique
Margaret
Hamburg directrice du service de
presse
Karen
Alder directrice de cabinet au
ministère des Affaires
étrangères
Samuel
Lewis membre du Conseil national de
sécurité
Stanley
Ross membre du Conseil
national de sécurité
Dan
Schifter directeur du Corps de la
Paix
Eli
Segal sous-chef détat-major de
la Maison Blanche
Jack
Lew sous-directeur au
gouvernement
James
Rubin sous-secrétaire
dEtat
David
Lipton sous-secrétaire dEtat au
ministère des Finances
Lanny
Breuer conseiller spécial à la
présidence
Richard
Holbrooke délégué
auprès de lOTAN
Kenneth
Apfel ministre du Budget
Joel
Klein conseiller à la Maison
Blanche
Sydney
Blumenthal conseiller spécial de
Hillary Clinton
David
Kessler ministre du Commerce
Seth
Waxmann directeur général
à la Maison Blanche
Dennis
Ross conseiller spécial
Howard
Shapiro directeur du F.B.I.
Lanny
Davis conseiller à la Maison
Blanche
Sally
Katzen présidente de
ladministration fédérale
Kathleen
Koch directrice du personnel au
F.B.I.
John
Podesta sous-chef détat-major
à la Maison Blanche
Alan
Blinder vice-président de la
Banque centrale
Janet
Yellen conseillère
économique à la
présidence
(1) The Truth at
Last No 404, avril 1998 (PO Box 121, Marietta, GA
30061, USA)