"LHistoire comporte des témoignages,
des principes et des méthodes. Il faut se
défier des témoignages, douter des
principes et naccepter que les méthodes."
Gustave
Le Bon, 1918
5.
Le
silence des historiens
Après un tel constat,
il devrait apparaître clairement pourquoi von Salis et
Bonjour nont rien su de la prétendue
extermination des Juifs pendant la guerre. Autre question
dactualité: pour quelles raisons les historiens
contemporains ne se risquent-ils publiquement à
appeler les choses par leur nom? A cause du climat de
terreur que font régner les milieux politiques et les
médias, afin dempêcher tout débat
ouvert sur la question de l «Holocauste». De
plus en plus dEtats européens promulguent des
lois-muselières pour protéger la version juive
de lhistoire de la Seconde Guerre mondiale. Ces lois
sont renforcées par des campagnes de délation
et de diffamation orchestrées par les médias
qui soccupent charitablement davertir quiconque
aurait la moindre velléité dexprimer
publiquement le plus petit doute à ce sujet. Ce sont
ces lois scélérates qui servent, en prime,
à condamner à la mort économique et
professionnelle les réfractaires et les
incrédules...
A titre dexemple
tiré de lactualité la plus
récente citons le cas de ces deux escrocs sans
vergogne que sont J.-P. Reemtsma et H. Heer, qui ont pu
faire tourner plusieurs années durant, à la
manière dun cirque ambulant, leur
«Exposition sur les crimes de la Wehrmacht». Cette
exposition se fait fort détablir, au moyen de
photographies falsifiées, la preuve du
caractère criminel de larmée allemande
et de ses généraux. On y a fait défiler
dinnombrables écoliers afin de leur inoculer
toute la haine possible à légard de la
génération de leurs grands-parents; le nombre
total des visiteurs approchait le million. En automne 1999,
lexposition fut subitement et honteusement
interrompue, après que lhistorien polonais
Bogdan Musial eut dévoilé les méthodes
frauduleuses de Reemtsma et Heer.
Après le
déclenchement de la guerre préventive de
lAllemagne contre lURSS124, en juin 1941, le
NKWD, les services de sécurité
soviétiques, assassina des dizaines de milliers de
prisonniers politiques dans les régions occidentales
de lUnion soviétique, afin
dempêcher leur libération par les
Allemands. Les témoins conduisirent les soldats
allemands vers les fosses qui dissimulaient les victimes;
elles furent ouvertes et les corps furent
photographiés. Ces mêmes photographies des
victimes du régime de terreur des bolcheviques, avec
des soldats de la Wehrmacht se tenant au bord de ces fosses,
ont ensuite été truquées par Reemtsma
et Heer pour servir de preuve des atrocités
allemandes, de sorte que les coupables étaient tout
simplement invertis! Dans le Welt am Sonntag du 24
octobre 1999, neuf de ces photographies, qui ne constituent
que la pointe de liceberg, ont été
reproduites. Entretemps, il sest
révélé que moins de 10 % des
photographies de lexposition montraient vraiment des
actions de la Wehrmacht, à quoi il faut ajouter que
de telles actes ne peuvent être assimilés sans
autre à des «crimes de guerre».
Lexécution de francs-tireurs, par exemple,
était conforme aux Conventions de Genève, de
semblables exécutions étant dailleurs
aussi le fait des Alliés. En guise de conclusion
quant à la fin honteuse de cette exposition,
lhebdomadaire Focus (n°43/1999) faisait le
commentaire suivant:
Mais pourquoi donc
aucun historien allemand na-t-il
révélé les nombreuses erreurs et les
artifices de cette exposition? Les professeurs
dhistoire ne nous donnent la réponse que si
nous leur promettons de ne pas révéler leur
nom: «Les historiens ont perçu
immédiatement la désinvolture et le
caractère tendancieux qui ont
présidé au montage de cette exposition,
mais qui a encore envie de se faire publiquement
descendre en flammes?». Ceux qui sarrogent la
mission de poursuivre les mal pensants ont poussé
très loin cette pratique.
Malheureusement
lhebdomadaire Focus «oublia»,
à cette occasion, de mentionner quil avait
lui-même vaillamment pris part à la chasse
à courre contre des chercheurs révisionnistes.
Songeons un instant que le thème des «crimes
allemands en Union soviétique» est
incomparablement moins porteur que celui d Auschwitz,
et que la contestation des prétendus massacres commis
par les Allemands sur le front de lEst, au contraire
de la contestation des prétendus gazages homicides,
ne donne pas prise, ou pas encore, à des poursuites
pénales. On conçoit facilement que ces
universitaires, qui par souci de leur réputation et
de leur carrière, ne sengagent quavec la
plus grande prudence sur le thème de
lexposition sur la Wehrmacht, ne sont guère
acquis à lidée dun débat
ouvert et objectif au sujet dAuschwitz. La
complaisance avec laquelle se déterminent les
historiens de Cour, créatures dépourvues
déthique et de probité intellectuelle,
leur garantit une carrière enviable tant quils
cautionnent la thèse officielle. Ces gens peuvent
alors dire nimporte quoi, la faveur des médias
leur reste acquise, et aucun étudiant ne se risquera
à leur soumettre des questions trop pointues. Les
historiens qui possèdent encore un minimum de
conscience et déthique professionnelle
évitent ce sujet brûlant dans la mesure du
possible; le fait quen Suisse les universités
ne proposent pratiquement aucun cours ou séminaire
sur l «Holocauste», est un indice parlant.
Nous avons de la compréhension pour ces historiens.
En fin de compte, ils veulent conserver leur place et
continuer dhonorer leurs factures. Ils nont
guère envie dêtre jetés en
pâture aux chacals des médias,
dêtre traités comme des criminels par la
presse et la télévision, et enfin
dencourir de sévères condamnations et
des peines de prison pour «discrimination
raciale». Aussi longtemps quil faudra subir cette
ambiance de chasse aux sorcières et de terrorisme
intellectuel, il est prématuré
denvisager à une discussion objective et
publique sur ce thème.
Pourtant, il y aurait
beaucoup à faire, comme lécrit le
professeur français Robert Faurisson,
défenseur infatigable de la libre recherche en
Histoire 125:
A Auschwitz, les
Allemands, nous dit-on, auraient commis un crime aux
proportions gigantesques. Une expertise de larme
quils auraient utilisée pour
perpétrer une telle abomination devient
indispensable. On expertise aujourdhui des vestiges
qui remontent à plusieurs milliers
dannées. Dès lors, pourquoi ne pas
expertiser des bâtiments ou des vestiges vieux
dun demi-siècle seulement? (
) Quant
à la prétendue «chambre à
gaz» du crématoire II, elle est, sous son
toit effondré, quasiment préservée:
une aubaine pour les experts. (
) Le plus grand
crime de lhistoire ne peut continuer à se
passer dune expertise au grand jour. Les juges de
Nuremberg sen sont tranquillement dispensés
et bien dautres juges à leur suite, en
particulier ceux du procès dit «des gardiens
dAuschwitz» (Francfort, 20 décembre
1963 - 20 août 1965); au cours de deux descentes de
justice à Auschwitz, larme
présumée du crime na pas même
fait lobjet dune inspection de la part des
magistrats allemands. (
) Certes, on voit bien ce
que la légende qui sest
développée autour du nom dAuschwitz
perdrait à une telle expertise mais il ne fait pas
de doute que la science, lhistoire et la justice y
gagneraient.
Pour leur part, les
révisionnistes ont mené différentes
enquêtes et expertises scientifiques sur les lieux
présumés du crime ainsi que sur les
méthodes supposées dexécution:
dans leurs expertises des «chambres à gaz»
dAuschwitz, Fred Leuchter 126 et Germar Rudolf
127 sont arrivés à la conclusion que,
pour des raisons qui relèvent des lois de la chimie
et des techniques de construction, les prétendus
homicides par gazage nont pas pu se produire dans les
lieux désignés à cet effet.
Suite à leurs
recherches menées sur les crématoires
dAuschwitz, Carlo Mattogno et Franco Deana 128
tiennent pour définitivement acquis que ceux-ci ne
pouvaient réduire en cendres plus de 162 000
cadavres, ce qui correspond assez exactement au nombre des
cas de mortalité documentés pour ce camp, qui
était le plus vaste du système
concentrationnaire allemand 129.
Après analyse des
photographies prises durant la guerre des «camps
dextermination» de Sobibor, Belzec et Treblinka,
lexpert en prises de vue aériennes John C. Ball
130 parvient à la conclusion que les
gigantesques fosses communes décrites par des
témoins oculaires, dans lesquelles les
cadavres (1,72 million en tout, selon
lEncyclopédie de lHolocauste) des
Juifs assassinés dans ces camps étaient,
dit-on, calcinés, nont jamais existé;
que les fosses dincinération décrites
par des témoins à Birkenau, au printemps 1944,
ne sauraient exister; que le ravin de Babi Yar, près
de Kiev, où fin septembre 1943, les Allemands
auraient dû déterrer et brûler les restes
de 33 000 à 300 000 Juifs exécutés et
enfouis là deux ans auparavant, naurait connu
aucune activité humaine, précisément
à cette époque, et que les prises de vue
aérienne ne laissent soupçonner aucune trace
de fouilles ou autres travaux de terrassement.
Dans leurs recherches
concernant Treblinka, Friedrich P. Berg 131 et Arnulf
Neumaier 132 , ingénieurs diplômés,
sont parvenus à la conclusion que les méthodes
dhomicides en masse, que des témoins oculaires
affirmaient avoir été utilisées dans ce
camp, étaient aussi absolument impossibles, dun
point de vue technique, que les prétendues
méthodes pour en effacer toute trace.
Afin de disqualifier ces
expertises, les milieux qui donnent le ton en politique,
ainsi que les tribunaux, se contentent de les qualifier de
«pseudo-scienti-fiques». Pourquoi alors ne pas
envoyer une commission de techniciens et
dingénieurs à Auschwitz, afin
dexaminer le caractère fonctionnel des chambres
à gaz et la capacité des crématoires,
au lieu de se limiter aux seuls témoignages? Pourquoi
ne font-ils effectuer aucune fouille à Sobibor,
Belzec, Treblinka et Babi Yar, afin de savoir si ces
gigantesques fosses communes ont existé ou non
!
Pour nous autres Suisses, de
telles investigations seraient de la plus haute importance,
car la prochaine campagne dextorsion du Congrès
juif mondial arrivera aussi sûrement que Noël en
décembre. Avant quon ne nous impute une
complicité pour l «extermination
industrielle des Juifs» et quon nous accuse,
plein de mépris, dêtre les receleurs des
bourreaux, on voudrait dabord, sil vous
plaît, que lexistence dune semblable
«extermination industrielle» soit
réellement démontrée. Aurions-nous
aujourdhui un Conseil fédéral
décidé à sengager pour
défendre lhonneur du pays, de la même
trempe que celui qui pilota la barque de la
Confédération dans la tourmente du dernier
conflit mondial, quil aurait mandaté une
commission capable denquêter sur ces questions.
Dans ce cas, le Conseil fédéral aurait fait
appel à des scientifiques compétents, des
chimistes, des toxicologues, des ingénieurs, des
spécialistes de la crémation ainsi que des
géologues: ce que ne sont pas MM. Bergier,
Friedländer, Bartoszewski, Kreis, Picard et Tanner,
manifestement dépassés par les exigences et
lampleur de cette tâche.