No hate. No violence. Races? Only one Human race. United We Stand, Divided We Fall. Know Your enemy. Act Now! Tomorrow it will be too late.

QUAND LA VERITE N’EST PAS LIBRE, LA LIBERTE N’EST PAS VRAIE

Bulletin d’information
de l´Association Vérité et Justice, CP 355, 1618, Châtel-Saint-Denis, Suisse, Rédacteur : René-Louis Berclaz
Nr: 1 - 2 - 3 - 4 - 5 - 6 - 7 - 8 - 9 - 10 - 11 - 12 - 13 - 14 - 15


Le Contre Rapport Bergier
Anatomie d'une falsification de l'Histoire
Jürgen Graf
 


"L’Histoire comporte des témoignages, des principes et des méthodes. Il faut se défier des témoignages, douter des principes et n’accepter que les méthodes." Gustave Le Bon, 1918

5. Le silence des historiens

Après un tel constat, il devrait apparaître clairement pourquoi von Salis et Bonjour n’ont rien su de la prétendue extermination des Juifs pendant la guerre. Autre question d’actualité: pour quelles raisons les historiens contemporains ne se risquent-ils publiquement à appeler les choses par leur nom? A cause du climat de terreur que font régner les milieux politiques et les médias, afin d’empêcher tout débat ouvert sur la question de l’ «Holocauste». De plus en plus d’Etats européens promulguent des lois-muselières pour protéger la version juive de l’histoire de la Seconde Guerre mondiale. Ces lois sont renforcées par des campagnes de délation et de diffamation orchestrées par les médias qui s’occupent charitablement d’avertir quiconque aurait la moindre velléité d’exprimer publiquement le plus petit doute à ce sujet. Ce sont ces lois scélérates qui servent, en prime, à condamner à la mort économique et professionnelle les réfractaires et les incrédules...

A titre d’exemple tiré de l’actualité la plus récente citons le cas de ces deux escrocs sans vergogne que sont J.-P. Reemtsma et H. Heer, qui ont pu faire tourner plusieurs années durant, à la manière d’un cirque ambulant, leur «Exposition sur les crimes de la Wehrmacht». Cette exposition se fait fort d’établir, au moyen de photographies falsifiées, la preuve du caractère criminel de l’armée allemande et de ses généraux. On y a fait défiler d’innombrables écoliers afin de leur inoculer toute la haine possible à l’égard de la génération de leurs grands-parents; le nombre total des visiteurs approchait le million. En automne 1999, l’exposition fut subitement et honteusement interrompue, après que l’historien polonais Bogdan Musial eut dévoilé les méthodes frauduleuses de Reemtsma et Heer.

Après le déclenchement de la guerre préventive de l’Allemagne contre l’URSS124, en juin 1941, le NKWD, les services de sécurité soviétiques, assassina des dizaines de milliers de prisonniers politiques dans les régions occidentales de l’Union soviétique, afin d’empêcher leur libération par les Allemands. Les témoins conduisirent les soldats allemands vers les fosses qui dissimulaient les victimes; elles furent ouvertes et les corps furent photographiés. Ces mêmes photographies des victimes du régime de terreur des bolcheviques, avec des soldats de la Wehrmacht se tenant au bord de ces fosses, ont ensuite été truquées par Reemtsma et Heer pour servir de preuve des atrocités allemandes, de sorte que les coupables étaient tout simplement invertis! Dans le Welt am Sonntag du 24 octobre 1999, neuf de ces photographies, qui ne constituent que la pointe de l’iceberg, ont été reproduites. Entretemps, il s’est révélé que moins de 10 % des photographies de l’exposition montraient vraiment des actions de la Wehrmacht, à quoi il faut ajouter que de telles actes ne peuvent être assimilés sans autre à des «crimes de guerre». L’exécution de francs-tireurs, par exemple, était conforme aux Conventions de Genève, de semblables exécutions étant d’ailleurs aussi le fait des Alliés. En guise de conclusion quant à la fin honteuse de cette exposition, l’hebdomadaire Focus (n°43/1999) faisait le commentaire suivant:

 

Mais pourquoi donc aucun historien allemand n’a-t-il révélé les nombreuses erreurs et les artifices de cette exposition? Les professeurs d’histoire ne nous donnent la réponse que si nous leur promettons de ne pas révéler leur nom: «Les historiens ont perçu immédiatement la désinvolture et le caractère tendancieux qui ont présidé au montage de cette exposition, mais qui a encore envie de se faire publiquement descendre en flammes?». Ceux qui s’arrogent la mission de poursuivre les mal pensants ont poussé très loin cette pratique.

Malheureusement l’hebdomadaire Focus «oublia», à cette occasion, de mentionner qu’il avait lui-même vaillamment pris part à la chasse à courre contre des chercheurs révisionnistes. Songeons un instant que le thème des «crimes allemands en Union soviétique» est incomparablement moins porteur que celui d’ Auschwitz, et que la contestation des prétendus massacres commis par les Allemands sur le front de l’Est, au contraire de la contestation des prétendus gazages homicides, ne donne pas prise, ou pas encore, à des poursuites pénales. On conçoit facilement que ces universitaires, qui par souci de leur réputation et de leur carrière, ne s’engagent qu’avec la plus grande prudence sur le thème de l’exposition sur la Wehrmacht, ne sont guère acquis à l’idée d’un débat ouvert et objectif au sujet d’Auschwitz. La complaisance avec laquelle se déterminent les historiens de Cour, créatures dépourvues d’éthique et de probité intellectuelle, leur garantit une carrière enviable tant qu’ils cautionnent la thèse officielle. Ces gens peuvent alors dire n’importe quoi, la faveur des médias leur reste acquise, et aucun étudiant ne se risquera à leur soumettre des questions trop pointues. Les historiens qui possèdent encore un minimum de conscience et d’éthique professionnelle évitent ce sujet brûlant dans la mesure du possible; le fait qu’en Suisse les universités ne proposent pratiquement aucun cours ou séminaire sur l’ «Holocauste», est un indice parlant. Nous avons de la compréhension pour ces historiens. En fin de compte, ils veulent conserver leur place et continuer d’honorer leurs factures. Ils n’ont guère envie d’être jetés en pâture aux chacals des médias, d’être traités comme des criminels par la presse et la télévision, et enfin d’encourir de sévères condamnations et des peines de prison pour «discrimination raciale». Aussi longtemps qu’il faudra subir cette ambiance de chasse aux sorcières et de terrorisme intellectuel, il est prématuré d’envisager à une discussion objective et publique sur ce thème.

Pourtant, il y aurait beaucoup à faire, comme l’écrit le professeur français Robert Faurisson, défenseur infatigable de la libre recherche en Histoire 125:

 

A Auschwitz, les Allemands, nous dit-on, auraient commis un crime aux proportions gigantesques. Une expertise de l’arme qu’ils auraient utilisée pour perpétrer une telle abomination devient indispensable. On expertise aujourd’hui des vestiges qui remontent à plusieurs milliers d’années. Dès lors, pourquoi ne pas expertiser des bâtiments ou des vestiges vieux d’un demi-siècle seulement? (…) Quant à la prétendue «chambre à gaz» du crématoire II, elle est, sous son toit effondré, quasiment préservée: une aubaine pour les experts. (…) Le plus grand crime de l’histoire ne peut continuer à se passer d’une expertise au grand jour. Les juges de Nuremberg s’en sont tranquillement dispensés et bien d’autres juges à leur suite, en particulier ceux du procès dit «des gardiens d’Auschwitz» (Francfort, 20 décembre 1963 - 20 août 1965); au cours de deux descentes de justice à Auschwitz, l’arme présumée du crime n’a pas même fait l’objet d’une inspection de la part des magistrats allemands. (…) Certes, on voit bien ce que la légende qui s’est développée autour du nom d’Auschwitz perdrait à une telle expertise mais il ne fait pas de doute que la science, l’histoire et la justice y gagneraient.

Pour leur part, les révisionnistes ont mené différentes enquêtes et expertises scientifiques sur les lieux présumés du crime ainsi que sur les méthodes supposées d’exécution: dans leurs expertises des «chambres à gaz» d’Auschwitz, Fred Leuchter 126  et Germar Rudolf 127  sont arrivés à la conclusion que, pour des raisons qui relèvent des lois de la chimie et des techniques de construction, les prétendus homicides par gazage n’ont pas pu se produire dans les lieux désignés à cet effet.

Suite à leurs recherches menées sur les crématoires d’Auschwitz, Carlo Mattogno et Franco Deana 128  tiennent pour définitivement acquis que ceux-ci ne pouvaient réduire en cendres plus de 162 000 cadavres, ce qui correspond assez exactement au nombre des cas de mortalité documentés pour ce camp, qui était le plus vaste du système concentrationnaire allemand 129.

Après analyse des photographies prises durant la guerre des «camps d’extermination» de Sobibor, Belzec et Treblinka, l’expert en prises de vue aériennes John C. Ball 130  parvient à la conclusion que les gigantesques fosses communes décrites par des témoins oculaires, dans lesquelles les cadavres (1,72 million en tout, selon l’Encyclopédie de l’Holocauste) des Juifs assassinés dans ces camps étaient, dit-on, calcinés, n’ont jamais existé; que les fosses d’incinération décrites par des témoins à Birkenau, au printemps 1944, ne sauraient exister; que le ravin de Babi Yar, près de Kiev, où fin septembre 1943, les Allemands auraient dû déterrer et brûler les restes de 33 000 à 300 000 Juifs exécutés et enfouis là deux ans auparavant, n’aurait connu aucune activité humaine, précisément à cette époque, et que les prises de vue aérienne ne laissent soupçonner aucune trace de fouilles ou autres travaux de terrassement.

Dans leurs recherches concernant Treblinka, Friedrich P. Berg 131  et Arnulf Neumaier 132 , ingénieurs diplômés, sont parvenus à la conclusion que les méthodes d’homicides en masse, que des témoins oculaires affirmaient avoir été utilisées dans ce camp, étaient aussi absolument impossibles, d’un point de vue technique, que les prétendues méthodes pour en effacer toute trace.

Afin de disqualifier ces expertises, les milieux qui donnent le ton en politique, ainsi que les tribunaux, se contentent de les qualifier de «pseudo-scienti-fiques». Pourquoi alors ne pas envoyer une commission de techniciens et d’ingénieurs à Auschwitz, afin d’examiner le caractère fonctionnel des chambres à gaz et la capacité des crématoires, au lieu de se limiter aux seuls témoignages? Pourquoi ne font-ils effectuer aucune fouille à Sobibor, Belzec, Treblinka et Babi Yar, afin de savoir si ces gigantesques fosses communes ont existé ou non !

Pour nous autres Suisses, de telles investigations seraient de la plus haute importance, car la prochaine campagne d’extorsion du Congrès juif mondial arrivera aussi sûrement que Noël en décembre. Avant qu’on ne nous impute une complicité pour l’ «extermination industrielle des Juifs» et qu’on nous accuse, plein de mépris, d’être les receleurs des bourreaux, on voudrait d’abord, s’il vous plaît, que l’existence d’une semblable «extermination industrielle» soit réellement démontrée. Aurions-nous aujourd’hui un Conseil fédéral décidé à s’engager pour défendre l’honneur du pays, de la même trempe que celui qui pilota la barque de la Confédération dans la tourmente du dernier conflit mondial, qu’il aurait mandaté une commission capable d’enquêter sur ces questions. Dans ce cas, le Conseil fédéral aurait fait appel à des scientifiques compétents, des chimistes, des toxicologues, des ingénieurs, des spécialistes de la crémation ainsi que des géologues: ce que ne sont pas MM. Bergier, Friedländer, Bartoszewski, Kreis, Picard et Tanner, manifestement dépassés par les exigences et l’ampleur de cette tâche.



Le Contre Rapport Bergier

1.

Introduction

2.

Le nombre des réfugiés juifs refoulés et leur destin

3.

La Suisse avait-elle connaissance, en 1942, d’une extermination des Juifs ?

4.

Que savait-on à l’étranger?

5.

Le silence des historiens

 

Ce que cache le rapport Bergier - Philippe Brennenstuhl

6.

NOTES




Bulletin d’information
de l´Association Vérité et Justice, CP 355, 1618, Châtel-Saint-Denis, Suisse, Rédacteur : René-Louis Berclaz
Nr: 1 - 2 - 3 - 4 - 5 - 6 - 7 - 8 - 9 - 10 - 11 - 12 - 13 - 14 - 15
En Suisse: la "Judéocratie" remplacera-t-elle la démocratie?

Israël rééduque la Suisse !

Une parodie juive en Suisse!_

Une parodie juive au scanaire


La Suisse occupée !

La Suisse existe-t-elle?-

La Suisse et les "fonds juifs"

Louis Farrakhan
Benjamin Franklin
Luther


( "Les negociations de paix" au Moyen Orient! )
Enfin, maintenant nous avons trouvé un negociateur
Palestinien acceptable pour Israel. Commencons a negocier.



"Les negociations de ` paix ´" au Moyen Orient!


 





The Jewish USA´s "administration" as "judge" between...
...the Jews
and
..the Palestinians


HOME