QUE FAIRE ?
Boycottons les produits juifs
Aujourd'hui, l'état criminel juif d'Israël massacre et parvient à
obtenir l'aval des grandes puissances! Et nous? Que pouvons-nous concrètement faire pour exprimer notre solidarité avec les victimes de l'idéologie juive qui est en train de massacrer nos frères palestinien? Nous pouvons agir pacifiquement et efficacement en boycottant les produits israéliens dont le code barre commence par 729, et tous les produits juifs. Ainsi nous éviterons de participer inconsciemment à l'effort de guerre juif israélien.
Nous pouvons également
boycotter tous les produits juifs, leurs compagnies
commerciales et leurs magasins de ventes dans le monde entiers.
C'est la moindre des chose que nous pouvons concrètement faire.
Un exemple nous est donné récemment par ma maffia juive en France
qui soutiens concrètement le massacre de nos frères palestiniens à
Gaza ! |
Pour commencer...
Voici une liste préliminaire des
produits juifs
et des firmes juifs qui soutiennent Israël
à Boycotter
L'Union Européenne est le client numéro un d'Israël. Rappelons que durant les années 70-80, le boycott des produits fabriqués en Afrique du Sud a fortement contribué mettre fin au régime de l'apartheid. .. Mais seule une action collective, ciblée et coordonnée internationalement aura de l'efficacité. Ce devrait être une des premières tâches des mouvements de solidarité.
Le code barre sur la plupart des produits israéliens commence
par :
729
|
Exemples des mesures de sanctions immédiates
Il faut adopter des mesures de sanctions immédiates
semblables aux mesures de la lutte anti-apartheid. Le
boycott de l'apartheid de l'Afrique du Sud a été efficace,
mais le régime raciste d'apartheid d'Israël est traité par
les pays occidentaux avec des gants… Cette attitude
international complice doit cesser.
Il
est temps. Depuis longtemps. La meilleure stratégie pour
mettre fin à une occupation sans cesse plus sanglante c'est
qu'Israël devienne la cible du type de mouvement mondial qui
a mis fin à l'apartheid en Afrique du Sud.
En juillet 2005, une vaste coalition de groupes
palestiniens a établi les plans pour réaliser cela même.
Ils en appelaient aux « personnes de conscience de par
le monde, à imposer de larges boycotts et à mettre en
œuvre, contre Israël, des initiatives de
désinvestissement similaires à celles qui avaient été
prises à l'égard de l'Afrique du Sud, du temps de
l'apartheid. » La campagne Boycott, Désinvestissement et
Sanctions – BDS pour faire court – était née.
Chaque jour qu'Israël pilonne Gaza apporte davantage de convertis à la cause de BDS et les pourparlers de cessez-le-feu contribuent peu à ralentir cet élan. Le soutien émerge même parmi des Juifs israéliens. Au milieu de l'offensive, quelque 500 Israéliens, dont des dizaines d'artistes et de professeurs connus, ont adressé une lettre aux ambassadeurs étrangers en poste en Israël. Elle appelle à « l'adoption de mesures restrictives et de sanctions immédiates » et dresse clairement un parallèle avec la lutte anti-apartheid. « Le boycott de l'Afrique du Sud a été efficace, mais Israël est traité avec des gants… Cet appui international doit cesser. »
Pourtant beaucoup ne peuvent encore aller jusque là. Les
raisons sont complexes, émotionnelles et
compréhensibles. Et elles ne sont tout simplement pas
satisfaisantes. Des sanctions économiques constituent
l'instrument le plus efficace dans l'arsenal non
violent. Y renoncer confine à la complicité. Voici les
quatre objections majeures qui sont faites à la
stratégie BDS, suivies de contre-arguments.
Des mesures punitives vont aliéner les Israéliens [juifs] plutôt que les persuader. Le monde a essayé ce qu'on avait l'habitude d'appeler « engagement constructif ». Cela a complètement échoué. Depuis 2006, Israël n'a pas cessé d'avancer dans l'escalade de sa criminalité : accroissant les colonies, lançant une guerre scandaleuse contre le Liban et imposant à Gaza un châtiment collectif par le biais d'un blocus brutal. En dépit de cette escalade, Israël n'a pas été confronté à des mesures punitives, tout au contraire. Les armes et les trois milliards de dollars d'aide annuelle que les Etats-Unis envoient en Israël ne sont que le début. Tout au long de cette période clé, Israël a bénéficié d'un spectaculaire progrès dans ses relations diplomatiques, culturelles et commerciales avec toute une série d'autres alliés. Par exemple, en 2007, Israël est devenu le premier pays non latino-américain à signer un accord de libre échange avec Mercosur. Au cours des neuf premiers mois de 2008, les exportations israéliennes au Canada ont augmenté de 45 pourcents. Un nouvel accord commercial avec l'Union Européenne est établi afin de doubler les exportations israéliennes de produits alimentaires industriels. Et le 8 décembre, les ministres européens ont « rehaussé » l'Accord d'Association UE-Israël, une récompense longtemps convoitée par Jérusalem.
C'est dans ce contexte que les dirigeants israéliens ont
lancé leur dernière guerre, confiants qu'ils ne seraient
confrontés à aucun coût significatif. Il est remarquable
que sur sept jours de commerce en période de guerre,
l'index phare de la bourse de Tel Aviv a augmenté de
10,7 pourcents. Quand la carotte ne donne rien, on a
besoin du bâton.
La pertinence du modèle sud africain tient en ce qu'il prouve que la tactique BDS peut être efficace quand les mesures plus légères (protestations, pétitions, lobbying d'antichambre) ont échoué. Et il y a effectivement de pénibles échos : les cartes d'identité et les permis de conduire avec leur code de couleurs, les maisons rasées au bulldozer et les déplacements forcés, les routes réservées aux colons juifs. Ronnie Kasrils, politicien sud africain important, a dit que l'architecture de la ségrégation qu'il a pu voir en Cisjordanie occupée par les juifs et à Gaza en 2007 était « infiniment pire que l'apartheid ».
- La raison pour laquelle la stratégie BDS devrait être tentée contre Israël est pratique : dans un pays aussi petit et commercialement dépendant, cela pourrait effectivement fonctionner et être rentable.
- Proposer ce plan requiert des
dizaines de coups de téléphone, de courriels et de messages,
de Paris à Toronto ou la ville de Gaza.
Un exemple des succès: après quelques jours de l'assaut israélien contre Gaza, Richard Ramsey, directeur d'une compagnie de télécommunication britannique, a envoyé un courriel à la firme israélienne de technologie MobileMax: « Suite à l'action du gouvernement israélien de ces derniers jours, nous ne serons plus en position d'envisager de faire des affaires avec vous ni avec d'autres compagnies israéliennes. »
Contacté par The Nation, Ramsey a expliqué que sa décision n'était pas politique. « Nous ne pouvons nous permettre de perdre des clients. C'était donc une défensive purement commerciale. »
C'est ce genre de froid calcul commercial qui avait conduit beaucoup de compagnies à quitter l'Afrique du Sud, il y a deux décennies. Et c'est précisément le genre de calcul qui constitue notre espoir le plus réaliste d'amener la justice, si longtemps refusée, en Palestine. |
Les lecteurs de l'Irish Times du 31 janvier 2009 ont
pu voir, en page 5, un "appel irlandais pour une justice
en Palestine" lancé par environ 300 signataires, dont
des députés, des sénateurs, des leaders politiques (dont
Gerry Adams), des dirigeants de syndicats, des
professeurs, des musiciens connus, des célébrités
culturelles... Cet appel ne figure pas sur la version internet de lI.T. mais l'édition du samedi est celle qui est la plus lue en Irlande. Il est d'ailleurs demandé, au bas de la page, de relayer le plus possible cet appel dans le monde, et de faire en sorte qu'il soit reproduit avec la mention "paru dans le Irish Times le 31 janvier 2009". En voici le texte : "Les bombardements sur Gaza ont tué plus de 1300 Palestiniens, dont un tiers d'enfants. Des milliers d'autres ont été blessés, certains s'étant réfugiés dans des bâtiments de l'ONU. Cet assaut est survenu après un an de blocus économique organisé par Israël. Le blocus, interdit par les lois humanitaires internationales, a détruit l'économie de la bande de Gaza et condamné sa population à la pauvreté. Selon un rapport de la Banque Mondiale, "98% de l'activité industrielle est à l'arrêt". Les dernières attaques d'Israël sur Gaza ont été le plus récent volet de l'oppression du peuple palestinien par Israël, et sa volonté de s'approprier leur terre. Israël na jamais déclaré ses frontières. Au contraire, il s'est continuellement étendu aux dépenses des Palestiniens. En 48, Israël s'était déjà emparé de 78% de la Palestine, beaucoup plus que ce que l'Assemblée Générale de l'ONU avait octroyé à l'état juif en 47. Au mépris de toutes les lois internationales, Israël a expulsé plus de sept cent mille Palestiniens de leurs maisons.. Ces réfugiés et leurs descendants, qui maintenant approchent du million, sont dispersés un peu partout dans la région. Ils ont le droit au retour, d'après la juridiction internationale. Ce droit a été confirmé plusieurs fois à l'ONU, à commencer par la résolution 194 en 1948. En 1967, Israël a occupé les 22% qu'il restait de la Palestine : la Cisjordanie et Gaza. Ne respectant aucunement l'article 49 de la Convention de Genève, Israël a construit et continue de le faire, des colonies d'occupation sur ces territoires occupés. Aujourd'hui, on peut trouver environ 500 000 colons israéliens vivant dans les colonies de Cisjordanie (Jérusalem-Est inclus), et leur nombre croît quotidiennement au fur et à mesure qu'Israël étend ses programmes d'implantations. Israël a résisté à la pression de la Communauté Internationale en continuant à ne pas respecter les lois internationales : Non à la demande internationale d'arrêter les implantations et de détruire celles déjà construites (Résolutions 446, 452 et 465 du Conseil de Sécurité), refus de rendre ses annexions illégales à Jérusalem Est (Résol. 252, 267, 271, 298, 476, 478). Depuis septembre 2000, plus de 5 mille Palestiniens, dont mille mineurs, ont été tués par l'armée israélienne. Onze mille Palestiniens, parmi eux des mineurs, sont internés dans des prisons israéliennes. Des centaines sans même avoir été jugés. De plus, Israël ne respecte pas, ici non plus, la loi internationale en les emprisonnant en dehors des territoires occupés, compliquant ainsi la vie de leurs familles, en rendant les visites quasi-impossibles.. Chaque année, des centaines de maisons palestiniennes sont détruites. La population palestinienne de Cisjordanie et de Gaza vit emprisonnée derrière des murs, des barrières de défense et des checkpoints, qui les empêchent d'avoir accès aux commerces, aux écoles, à leur travail, aux hôpitaux et aux lieux de culte. Ils sont soumis aux restrictions de toutes sortes et à des rituels d'humiliation quotidiens par les soldats de l'armée d'occupation et les gardes des check-points. Invasion, occupation, privation de leur terre est la réalité à laquelle doivent faire face les Palestiniens depuis de nombreuses années, de façon quotidienne, pendant que leur pays est déchiqueté sans remords. Sans un arrêt de ces agressions d'Israël, et si des droits démocratiques ne sont pas reconnus au peuple palestinien, il ny aura ni justice ni paix au Moyen Orient. Il doit être mis fin à l'occupation vieille de 40 ans de la Cisjordanie et de Gaza par Israël. L'occupation peut se terminer si une pression politique et économique est exercée sur Israël par la communauté internationale. C'est d'ailleurs ce que réclament les Palestiniens : que la communauté internationale intervienne. Nous, signataires, lançons l'appel suivant : que le gouvernement irlandais cesse ses achats de produits et de services militaires à Israël et appelle publiquement à un embargo militaire contre Israël que le gouvernement irlandais demande publiquement que l'accord Euro-Med qui permet à Israël d'avoir un accès privilégié au marché de l'Union Européenne soit suspendu tant qu'Israël ne respectera pas la Loi Internationale. que le gouvernement irlandais s'oppose à toute nouvelle proposition de relations entre l'U.E. et Israël, que le peuple irlandais boycotte les marchandises et services israéliens tant qu'Israël ne respectera pas la loi internationale. Source: Irish Times du 31 janvier 2009 (Traduit par Claudine LUSCHER pour CAPJPO-EuroPalestine) CAPJPO-EuroPalestine |
Il FAUT
qu’Israël réponde de toutes ses crimes, et nous
devons nous battre pour ça, engager des poursuites
judiciaires contre les criminels de guerre
israéliens mais pas sûr que ça aboutisse avant
longtemps, ou que ça aboutisse tout court. Pour l’instant,
l’outil que nous avons entre les mains,
en tant que syndicalistes/ Il
fonctionne (de mieux
en mieux et de plus en plus). Servons-nous
en !
comme
les dockers grecs, australiens, sud-africains qui
refusent désormais de décharger les marchandises en
provenance ou à destination d’Israël, |
Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal,
mais par ceux qui les regardent sans rien faire.
Aidez-nous à élargir cette liste en
nous fournissant d'autres noms...
Faites circuler ce message, car l'union fait la force
Beaucoup
de marques étrangères soutiennent l’effort de guerre d’Israël
Oran brandira-t-elle
l’arme du boycott ?
Les images insoutenables des enfants ghazaouis assassinés par Tsahal ont fait le tour du monde. La douleur de ce père qui exhibe les corps sans vie de ses enfants à la caméra, a fait pleurer dans les chaumières mais le sentiment d’impuissance était le plus fort.
08 Janvier 2009,
Les manifestations interdites et les slogans de bonne volonté sonnent comme creux devant un massacre qui enregistre son treizième jour. Que peut-on faire à part maudire l’Etat sioniste et le reste des Arabes, coupables de lâcheté tout aussi assassine que les bombes israéliennes? Une des solutions qui revient, à chaque pareille occasion, est l’arme du boycott. Déjà suggérée lors de la dernière guerre entre Israël et le Hezbollah, elle s’impose d’elle-même en absence de toute autre solution. Portée un premier temps, à bras le corps par un discours religieux de circonstance, elle est de plus en plus adoptée par des citoyens sur une échelle individuelle ou en concertation. Djamel, 44 ans, fonctionnaire, estime quant à lui que le vrai problème n’est pas là. « Je pense que les populations arabes et musulmanes doivent réagir et forcer leurs gouvernements respectifs à prendre une position. Quelle qu’elle soit mais une position «, expliquera-t-il. Quant à l’arme du boycott, il dira préférer que le monde arabo-musulman boycotte les produits américains. « Il faut faire pression sur les Etats-Unis d’autant plus qu’avec Obama, il pourrait y avoir des cartes à jouer «, ajoutera-t-il. « Les Israéliens n’ont rien et si depuis les temps bibliques, ils ne faisaient que se plaindre à Dieu, il en est encore le cas de nos temps et c’est Washington qui est devenu leur dieu». Abdelkader, la cinquantaine bien entamée, est plus nuancé. « Naturellement, on devrait tout tenter pour faire fléchir Israël et le boycott est une manière comme une autre pour le faire «, dira-t-il. Beaucoup sont comme Djamel, prêts à faire le sacrifice du ventre pour peu que leur combat ait une signification mais d’autres sont plus circonspects. « Oui, je peux me passer des produits qui soutiennent Israël mais je ne sais pas vraiment », hésitera Dalila, la vingtaine, standardiste dans une boîte privée. Quant aux marques « prescrites », le premier effort mnémonique montre du doigt Coca-cola, la boisson gazeuse qui soutient Israël depuis 1966. Un réflexe du consommateur algérien en particulier et arabo-musulman en général qui a été mis à profit commercialement avec le lancement de la fameuse Mecca-cola en pleine guerre du Golfe. Cependant, la panoplie des produits qui soutiennent l’effort de guerre de l’Etat hébreu est plus exhaustive et comprend, outre Coca et les marques du groupe à l’image de Fanta ou Sprite, le groupe Danone avec ses marques les plus connues Blédina, Volvic, Evian, Lu. Rappelons que le groupe a investi dans le Golan, territoire syrien occupé depuis 1967 par Israël. Les tenants du boycott ciblent également Nestlé et ses marques Crunch, Maggi, Nescafé, Perrier, la société suisse possède 50,1% des capitaux de la chaîne alimentaire israélienne Osem. Le groupe Intel est également cité sur la liste des produits à boycotter. L’entreprise produit la plus grande partie des puces électroniques Pentium 4 utilisées par les ordinateurs PC dans son usine de Kyriat Gat, installée sur le site de Iraq Al-Manshiya, un village palestinien rasé après son évacuation en 1949 par les soldats égyptiens. 2 000 habitants furent chassés de leur terre, malgré un engagement écrit, supervisé par les Nations unies, des Israéliens à ne pas toucher à la population. Une campagne de leurs descendants aux USA, en 2003, a amené Intel à suspendre un projet d’investissements de 2 milliards de dollars pour une extension de l’usine Fab 18 de Kyriat Gat. L’Oréal et ses marques, Biotherm, Cacharel, Giorgio Armani Parfums, Lancôme, Vichy, La Roche-Posay, Jean-Louis David Shampooings, Ushuaïa, entre autres. L’Oréal a ainsi investi des millions en créant une unité de production à Migdal Haemeck, à tel point que le Congrès juif américain a exprimé sa satisfaction de voir l’Oréal « devenir un ami chaleureux de l’Etat d’Israël ». Delta Galil, une entreprise israélienne spécialisée dans la sous-traitance de produits textiles, notamment dans celui des sous-vêtements. De nombreux sous-vêtements de marques étrangères proviennent ainsi directement des usines de Delta Galil. C’est le cas pour Marks & Spencers, Carrefour (Tex), Auchan, Gap, Hugo Boss, Playtex, Calvin Klein... Levi Strauss Jeans et Celio (magasins spécialisés dans les vêtements pour hommes). Ces entreprises fort bien implantées en France, financent les nouvelles colonies en Palestine mais également les écoles des religieux extrémistes dans le monde. Est également montrée du doigt, l’entreprise Disney qui contribue par son soutien à Israël à semer la mort en Palestine. Elle a approuvé ainsi tacitement l’occupation illégale de Jérusalem-Est en faisant de Jérusalem, lors d’une exposition au Centre Epcot en Floride, la capitale d’Israël, cela en violation des résolutions internationales de l’ONU. Le géant finlandais de la téléphonie Nokia commerce activement avec l’Etat d’Israël. Dans une interview au Jérusalem Post, le manager du groupe déclarait qu’Israël faisait partie des priorités de l’entreprise. Un centre de recherche Nokia a ainsi vu le jour en Israël. La compagnie juive Mc Donald’s, l’emblème de l’impérialisme culturel US, est l’un des porte-drapeaux les plus cités, en compagnie de Coca-cola, des enseignes qui soutiennent Israël. La célèbre chaîne de restaurants fast-foods apporte un soutien non négligeable à l’Etat israélien. Mc Donald’s dispose de 80 restaurants en Israël et y emploie près de 3 000 personnes. Elle y interdit à son personnel de parler arabe. Aux USA, l’entreprise figure parmi les heureux partenaires de l’organisation sioniste « Jewish Community » basée à Chicago. Cette organisation travaille en effet pour le maintien de l’aide militaire, économique et diplomatique apportée par les USA à Israël. Les cigarettes Morris, des chaînes hôtelières présentes en Israël sont, elles aussi, la cible des campagnes de boycott initiées par les défenseurs de cette option. Les avis divergent mais, pour les Oranais mus par un sentiment d’injustice et d’impuissance face à ce qui se passe à Ghaza, la moindre initiative même à titre personnel est la bienvenue. Ayoub El Mehdi |
Mc Donald’s Maroc suite à la distribution par la société First Rest International (FRI), gérante de l’enseigne juif Mc Donald’s au Maroc dans ses restaurants de menus pour enfants "Happy Meal" contenant des cartes du Maroc «amputé de ses provinces du Sud», des ONG sont montées au créneau pour réclamer des excuses. Ainsi, l’Association du Sahara Marocain (ASM) affirme avoir envoyé, le 20 novembre 2008, une lettre à FRI, pour demander des excuses officielles pour « grave atteinte à l’intégrité territoriale du Royaume».Et de conclure « qu’au cas où des excuses officielles ne sont pas formulées par l’enseigne américaine et une action en faveur des jeunes enfants n’est pas menée pour réparer le préjudice subi, des manifestations devant les Mc Donald’s du Royaume serontannoncées».Joint par téléphone, le département des relations publiques de First Rest International, a confirmé avoir été contacté par Réda Taoujni mais a nié avoir reçu un quelconque courrier écrit de la part de l’ASM. A souligner que suite à l’ébruitement par la presse de cette affaire, FRI avait retiré tous les menus Happy Meal en question de ses restaurants. Ceux-ci sont au nombre de 23 actuellement à travers le Maroc. Ils ont été cédés voilà quelques années par Holding de Restauration, sous la houlette de Abderrahmane Belghiti, à First Rest International, dont le président directeur général est Nacer Alami. |
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محمد السادس
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لا رأي
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في
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طابور خامس
المارد
الإسلامي
يخرج من |
المقاومة بسلاح المقاطعة: قاطعوا اليهود
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أخي المسلم: إن تعذّر عليك أي فعل أو جهاد مقاوم، فبربّك، على الأقل، قاطع اليهود بكل ما استطعت، وأينما كنت في العالم: ماليا و تجاريا وسياسيا وثقافيا وإجتماعيا وإقتصاديا. وهذا من حقك القانوني الفردي والديمقراطي المشروع. فلا تدعم - بأي طريق، مباشر أو غير مباشر، عدونا اليهودي. وهذا أضعف الإيمان أن تقاطع اليهود وتمتنع من دعمهم كأعداء، سواء بالمال أو بالتعامل التجاري أو السياسي أو الثقافي. وحاول أن تقاطع كل السلع اليهودية وكل الشركات اليهودية وكل المتاجر والمحلات اليهودية. وقاطع أيضا كل خائن يتعامل مع اليهود أو مع تجارتهم وسلعهم ومحلاتهم ومتاجرهم. إن كل ربح تجاري يكسبه منك يهودي قد يذهب كمشاركة منك غير مقصودة للمشاركة في المجهود الحربي اليهودي الإسرائيلي للإستمرار في إحتلال وقتل إخواننا الفلسطينيين كخطوة أولى لإخضاعنا جميعا ولتركيع أمتنا الإسلامية وإذلالها وإستعبادها. |